Les feuilles tapissaient notre chemin
Ou nous étions partis main dans la main
Nous promener ce dernier matin
Il y a six moi déja demain.
J'y suis revenu maintes fois sans toi
Pensant t'y retrouver comme la derniére fois.
Ta bonne humeur me réchauffant le coeur
A partager tous les deux notre bonheur.
Tu m'as quitter sans un seul mot
Sans aucune explication sur mes défauts.
Je réfléchis sur les raisons
Qui ton poussé à partir de cette façon.
Devant ma page je t'écris
Pour te supplier de revenir ici
Comme autrefois au bon vieux temps
A partager nos fous rire d'antan.
mercredi 31 octobre 2007
lundi 15 octobre 2007
LA VIEILLE DAME AU CHIEN
La vieille dame promenait son chien
A la méme heure c'était son quotidien
Aux regards de ses voisins
Qui tous l'aimaient bien.
L'animal était toute sa vie
Le seul étre à partager son ennui
Depuis la mort de son mari.
Ce matin là personne ne l'aperçut
Ni les autres jours non plus
L'inquiétude grandit petit à petit
Avant que la vérité se répandit.
La malheureuse avait été retrouvé
Son chien à ses pieds
Qui n'arrétait pas de la lécher
Avec l'espoir de la réveiller.
A la méme heure c'était son quotidien
Aux regards de ses voisins
Qui tous l'aimaient bien.
L'animal était toute sa vie
Le seul étre à partager son ennui
Depuis la mort de son mari.
Ce matin là personne ne l'aperçut
Ni les autres jours non plus
L'inquiétude grandit petit à petit
Avant que la vérité se répandit.
La malheureuse avait été retrouvé
Son chien à ses pieds
Qui n'arrétait pas de la lécher
Avec l'espoir de la réveiller.
lundi 8 octobre 2007
LA FEMME VIOLEE
De ton regard j'avais en mémoire
Ta folie ton désespoir
Tes yeux souvent me fixaient
Comme pour me reprocher ce que l on t'avait fait.
Enfermée depuis une année
Dans ta chambre à ne plus exister
Murer dans ton silence
Tu n'acceptes plus ta souffrance.
Ton obsession c'étaient eux
Qui ont mis fin à tes jours heureux
La mort seule pourrait te délivrer
Mais cette attente n'est jamais arrivée.
Maintenant tu coules une vie d'etre abimée
Prés des gens que tu as tant aimé
A espérer un tout prochain procés
De ceux qui ton fait mal à jamais.
Ta folie ton désespoir
Tes yeux souvent me fixaient
Comme pour me reprocher ce que l on t'avait fait.
Enfermée depuis une année
Dans ta chambre à ne plus exister
Murer dans ton silence
Tu n'acceptes plus ta souffrance.
Ton obsession c'étaient eux
Qui ont mis fin à tes jours heureux
La mort seule pourrait te délivrer
Mais cette attente n'est jamais arrivée.
Maintenant tu coules une vie d'etre abimée
Prés des gens que tu as tant aimé
A espérer un tout prochain procés
De ceux qui ton fait mal à jamais.
samedi 6 octobre 2007
LA JEUNE FILLE DE LA PASSERELLE
Appuyé sur la rambarde
Les cheveux aux vents
La jeune fille s'attarde
A languir son amant.
Depuis 20 minutes à attendre le garçon
Sa montre devient sa seul fixation
Son impatience se transforme en tourment
Ses réves s'envolent dés à présent.
D'un pas lent elle quitte la passerelle
En croisant le sourire d'un passant
Mais le coeur de la demoiselle
Est ailleurs en ce moment.
Les cheveux aux vents
La jeune fille s'attarde
A languir son amant.
Depuis 20 minutes à attendre le garçon
Sa montre devient sa seul fixation
Son impatience se transforme en tourment
Ses réves s'envolent dés à présent.
D'un pas lent elle quitte la passerelle
En croisant le sourire d'un passant
Mais le coeur de la demoiselle
Est ailleurs en ce moment.
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