mercredi 18 juin 2008

MONSIEUR GABIN

Vous vous en étes allé une nuit,un matin
Je ne sais plus trés bien en novembre ça j'en suis certain
Et ce fut pour moi dans mon coeur beaucoup de chagrin
Que de perdre l'immense acteur que vous étiez monsieur GABIN.

Vos cendres furent dispersées en pleine mer
C'est ce que vous désiriez que plutot d'etre mis en biére.
Vous resterez toujours dans ma mémoire
Comme un homme que j'aurais aimé en réel voir.

Des grandes familles au pacha
En passant par MAIGRET ou le chat
Vous pouviez jouer tous les roles
Du plus sérieux au plus drole.

Votre casquette vissée sur votre téte
Et au bout de vos doigts votre éternelle cigarette
Vous étiez toujours sur les plateaux
A attendre de jouer dans vos films les plus beaux.

De votre allure de patriarche bourru
Vous impressionniez les premiers venus
C'est peut etre pour cette raison la
Que l'ont vous respectaient comme cela.

jeudi 12 juin 2008

LES FEMMES

Elles peuvent etre douces et fragiles
Caractérielles ou dociles.
Prendre dans leurs bras un enfant
Ou brandir leurs poings de mécontentement.

S'habiller élégamment chez SAINT LAURENT
Ou courir les soldes à AUCHAN.
Etre prétes pour une virée à moto
Ou fredonner maman do.

Etre amoureuse à l'extréme
Et rompre sans problémes.
Se masser le corps et se poudrer le visage
Pour tenter d'effacer l'outrage de l'age.

Etre chefs de production
Ou vendeuses chez CHAMPION.
Elles assument leur condition
Avec plus ou moins de conviction.

Malgré tout vous serez toujours les mémes
C'est sans doute pour cela que l'ont vous aimes.

mardi 10 juin 2008

LES VACANCES DE MON ENFANCE

J'ai beaucoup de mal à réaliser
Que je ne reverrai plus ces gens que j ai aimé.

Le souvenir des virées sur la plage
Comme une tribu que nous étions
Peu importait nos ages
Nous faisions tout en communion.

Les tournois de volley ball sur le terrain voisin
Que nous faisions tous aprés le bain.
Les parties de boules aprés le diner
A la nuit tombante avant de se coucher.

Et la cagnotte que nous remplissions
Que chaque perdant s'obligeait a y mettre ses ronds
Pour s'offrir quand elle était pleine
Des gateaux a la créme,c'était l aubaine.

La belote chez le paysan copain
C'était un rituel quand le ciel n'était pas serein.
Et sa femme pendant ce temps la
Qui nous préparait des délicieuses merveilles ,je vous dis pas!

La nostalgie des basses marées
A se manger des huitres à peine levé
Ou à marée haute à jouer les rabatteurs amateurs
Avec des mulets qui se prenaient dans la senne comme par bonheur!.

Le cirque entre nous les gamins
Que nous avions installé pour les voisins
Qui payaient tous leurs places
Pour nous permettrent de s'offrir des glaces.

Ou sont ils passé tous ces gens?
Se souviennent-ils comme moi
De tous ces bons moments
Que nous passions chaque année au méme mois.

dimanche 1 juin 2008

LE QUAND DIRA T ON

Ce jour de 14 juillet,il grillait sa cigarette
A sa fenétre et regardait les autres faire la féte.
Ce n'était pas que ça l'amusait
Mais depuis qu'il était seul il s'habituait.

Le bonjour bonsoir des voisins
C'était son seul quotidien.
Personne ne le fréquentait
Car tout le monde s'en méfiait.

La disparition d'un petit garçon
était dans toutes les conversations
Accusant méme l homme en question
De l'avoir entérré dans le jardin de sa maison.

Personne ne pouvait imaginé
Que l'enfant retrouvé
S'était accidentellement noyé
En allant seul péché!

Conclusion le quand dirat on
Quand il vous tient c 'est pour de bon.