samedi 29 mai 2010

DU HAUT DE LA FALAISE

Du haute de la falaise
Il fallait que tous se taisent.
Afin que je puisse tranquillement écouter
Le bruit des vagues se fracasser sur les rochers.
Je fermais lentement les paupiéres
Et je m'imaginais entrain de voler avec les mouettes derrriéres.
J'étais dans un réve le plus complet
A penser que le monde comme tel était parfait.

Depuis les années se sont écoulées
Et je regarde maintenant le soleil se lever
Avec sur la mer son reflet orangé
Qui apporte au paysage une réelle beauté.
Je me rappelle du vent qui fouettait mon visage poupon
A faire des signes inutiles aux bateaux chargé de poissons.
Une légére brume voilait l'horizon.
Au flanc de la falaise il y avait une maison
Pas n'importe quelle maison
Mais celle ou je revois les saisons.
Et toujours cette eau abondante
Avec ses lames grandissantes
Qui rejétent sur les rochers leur colére
Me réjouis d'etre là sur terre.
A croire que tout est irréel
Tant la mer est si cruelle.

Mille pensées surgissent de mon esprit.
La famille,les amis qui ont quitté ma vie.
Les enfants qui tout en bas avec les galets
S'évertuaient sur la mer a faire des ricochets.
Et les jours ou je dominais tout du haut de la falaise
Le cul assis entre deux chaises
A pas savoir quoi faire
Avec les filles pour leur plaire.
Et le soir aprés le diner
Le soleil et son coucher.
Il ne fallait pas grand chose
Pour que la vie soit si rose.

samedi 15 mai 2010

CAUCHEMAR

Que font-ils tous ces gens
Qui hantent mes nuits depuis trop longtemps
A lignés comme des soldats de plomb
Devant moi à croire que je perd la raison.
Ils sont la à me sourire
A me faire des signes de désirs
Pour que je vienne avec eux
Dans leurs délires facétieux.
Pourquoi toi le pére
Veux tu m'emmener jusqu'en enfer
Toi de ton vivant si gentil
M'emportes tu pas plutot au paradis.
Que t'ont ils fait la haut
A attendre mon dernier sursaut.
Et toi ma tante qu'as tu fait de ton rire
Qui s'est évanoui avec ton dernier soupir
Dans les bras de ne je sais qui
A vampiriser toutes mes nuits.
Comment ma soeur si froide de ton vivant
Es tu si chaude comme une braise attisée par le vent.
J ai mal de vous voir là
A me tirer par les bras
Avec ces inconnus venu de la rue
Qui me montrent tous leurs attribus.
Vous étes tous la derriére
Ce diable de LUCIFER
Avec ses cornes et son trident
Qui me menace a chaque instant.
Je vis un mauvais réve
Dans mes nuits sans tréve
A etre réveillé sans cesse
Dans mon combat contre ce stress.