Il suffisait d'un rien
Pour que ma vie trace ton chemin
Peut etre quelques années de moins
Et j'aurais suivi ton entrain.
Je ne pourrais jamais rajeunir
Pour satisfaire tous tes plaisirs.
Je ne peux que sourire
A te voir contre moi te blottir.
Je sais que d'ici quelques temps
Je ne pourrais plus suivre ton allant.
Les vagues de ton insouciance
A giront sur ma patience.
J'aurais tant voulu avoir ton age
Pour t'emmener dans mon sillage
A la rencontre de la vie
Et croquer toutes tes envies.
lundi 10 août 2009
vendredi 7 août 2009
LETTRE FINALE D 'UNE PASSION
Mon coeur s'est lassé
Il en est revenu blessé
Comme un petit soldat
A la fin d'un combat.
La passion a tout ravagé
De ce qui nous restait d'humanité.
Une pause a suffit
A détruire nos deux vies.
Quelle était longue ton absence
A mettre mon ame en convalescence
A vivre sans nouvelles
L'existence est parfois si cruelle.
Tu reviendras sans moi
Seule à partager tes émois
A attendre un appel
Comme une jouvencelle.
Tu m'a définitivement perdu
A vouloir m'avoir tout cru
A espérer me posséder
Comme tous les hommes qui t 'ont aimé.
Peut etre n'es tu pas faite pour le bonheur
A détruire sans cesse ce qui était bon dans ton coeur.
Tu naviguais ces derniers temps
Comme dans l'eau trouble d'un étang.
Tu t'inquiétais toujours pour moi
Que c'est pour toi que j'ai peur pour les prochains mois.
Tu es partie en dépression
En apprenant la fin de notre liaison.
Il en est revenu blessé
Comme un petit soldat
A la fin d'un combat.
La passion a tout ravagé
De ce qui nous restait d'humanité.
Une pause a suffit
A détruire nos deux vies.
Quelle était longue ton absence
A mettre mon ame en convalescence
A vivre sans nouvelles
L'existence est parfois si cruelle.
Tu reviendras sans moi
Seule à partager tes émois
A attendre un appel
Comme une jouvencelle.
Tu m'a définitivement perdu
A vouloir m'avoir tout cru
A espérer me posséder
Comme tous les hommes qui t 'ont aimé.
Peut etre n'es tu pas faite pour le bonheur
A détruire sans cesse ce qui était bon dans ton coeur.
Tu naviguais ces derniers temps
Comme dans l'eau trouble d'un étang.
Tu t'inquiétais toujours pour moi
Que c'est pour toi que j'ai peur pour les prochains mois.
Tu es partie en dépression
En apprenant la fin de notre liaison.
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