Elle nous raméne à la réalité
Celle dont nous avons tous révé
Avec ses tranches dorées
Et ses moments de vérité.
Sans crier garde elle nous tombe dessus
E t s'évertue pour que nous soyons les bienvenus.
D'entrée de jeu elle distribue les cartes
Elle favorise les uns et les autres elle les écarte.
Elle nous méne par le bout du nez
Quand ont se plient pas à sa volonté.
Elle visite nos mémoires
Pour nous abuser de doute et d'espoir.
Nous ne sommes pas sur le méme pied d'égalité
Tout dépend des méandres de la société.
Sur sa route elle en perd certains
Et rattrape ceux avec qui elle se sent bien.
Nous sommes trop nombreux à attendre
Qu'elle se décide à nous dire la direction à prendre.
Avec elle c'est tout ou rien
Ont est bons ou vauriens.
Puis un jour elle nous quitte
Plus ou moins à la va vite
Comme si nous avions jamais existé
Pour rejoindre un monde de parité.
mardi 22 septembre 2009
vendredi 18 septembre 2009
DERNIER VOYAGE
Viens voir la mer
Ce jour de tempéte d'hiver.
Le vent fouette ton visage
Ridé par l'usure de l'age.
Entend tu le cri des mouettes
Qui volent au dessus de nos tétes
Comme pour annoncer
Notre subite arrivée.
Tu as les yeux si fatigués
D'avoir si longtemps marché.
Serre moi la main
Pour avancer sous le crachin.
Il fait si triste ce matin
De te voir à ce point
Flottant dans ton manteau
Toi que je voyais si beau.
Rentrons maintenant
La maison t'attend
Tu as l'air si épuisé
Que je ne veux plus te quitter.
Ce jour de tempéte d'hiver.
Le vent fouette ton visage
Ridé par l'usure de l'age.
Entend tu le cri des mouettes
Qui volent au dessus de nos tétes
Comme pour annoncer
Notre subite arrivée.
Tu as les yeux si fatigués
D'avoir si longtemps marché.
Serre moi la main
Pour avancer sous le crachin.
Il fait si triste ce matin
De te voir à ce point
Flottant dans ton manteau
Toi que je voyais si beau.
Rentrons maintenant
La maison t'attend
Tu as l'air si épuisé
Que je ne veux plus te quitter.
vendredi 11 septembre 2009
ILLUSION PERDUE
Illusion perdue
Je marche seul dans la rue
La musique dans les oreilles
Je file droit vers le soleil.
Je n'ai plus à mes cotés ta présence
La compagne de mes insouciances
Le réve de mon enfance
Je ne crains plus le silence.
La solitude m'a si souvent pesé
Qu'elle est devenue l'amie de mes pensées.
Celle a qui je me confie
Quand le cafard m'envahit
J'ai perdu en cours de route
Tant d'etre dans le doute
Que seul j'essaie d'exister
Dans ce monde déchiré.
Je marche seul dans la rue
La musique dans les oreilles
Je file droit vers le soleil.
Je n'ai plus à mes cotés ta présence
La compagne de mes insouciances
Le réve de mon enfance
Je ne crains plus le silence.
La solitude m'a si souvent pesé
Qu'elle est devenue l'amie de mes pensées.
Celle a qui je me confie
Quand le cafard m'envahit
J'ai perdu en cours de route
Tant d'etre dans le doute
Que seul j'essaie d'exister
Dans ce monde déchiré.
lundi 7 septembre 2009
J' M ECLATE
Je swingue sous la pluie
J'ai le coeur qui jouis
Je me sens si léger
Comme une créme allégée.
J'ai le corps sous la flotte
J'ai les jambes qui trottent
Comme un pur sang
Qui frétille dans les champs.
Je suis seul aujourd'hui
A m'éclater sans que j'm'ennui
A vivre sans elle
Loin de sa bande d'intellectuelles.
Putain que c'est bon
De se retrouver loin de ces cons
Qui voulaient refaire le monde
Autour d'une table ronde.
J'imagine la vie
Avec elle dans mon lit
Qui pourrirait mes envies
A coup de lecture de phylosophie.
Je marche,je courre,je rie
J'apprécie à sa juste valeur ma vie
Avant de m'enfoncer tout doucement
Dans la solitude que j'aime tant.
J'ai le coeur qui jouis
Je me sens si léger
Comme une créme allégée.
J'ai le corps sous la flotte
J'ai les jambes qui trottent
Comme un pur sang
Qui frétille dans les champs.
Je suis seul aujourd'hui
A m'éclater sans que j'm'ennui
A vivre sans elle
Loin de sa bande d'intellectuelles.
Putain que c'est bon
De se retrouver loin de ces cons
Qui voulaient refaire le monde
Autour d'une table ronde.
J'imagine la vie
Avec elle dans mon lit
Qui pourrirait mes envies
A coup de lecture de phylosophie.
Je marche,je courre,je rie
J'apprécie à sa juste valeur ma vie
Avant de m'enfoncer tout doucement
Dans la solitude que j'aime tant.
vendredi 4 septembre 2009
LA CONSCIENCE
Tu as l'air si loin dans tes pensées
A scruter le soleil se lever
Tu rejétes d'un revers de la main
Le regard que je pose vers ton destin.
Tu le regarde vers toi s'avancer
Le futur que tu trouves si brouillé
A émettre tant de doutes
Que devant toi tu redoutes.
Tu réves à son retour
A la caresser sans détour
A imaginer l'enfant
Qui naitra au printemps.
Tu es si pale que dans toi
J'essaie de t'offrir un peu de joie
A oter la peine que tu as
A pleurer tout bas.
Je visite ton corps
A extirper tes remords
A vouloir à tort
Ne plus etre fort.
Je t'emmenerais vers un monde meilleur
Faites de tendresses et de douceurs
Ou tu auras tout le loisir
De méditer vers ton avenir.
A scruter le soleil se lever
Tu rejétes d'un revers de la main
Le regard que je pose vers ton destin.
Tu le regarde vers toi s'avancer
Le futur que tu trouves si brouillé
A émettre tant de doutes
Que devant toi tu redoutes.
Tu réves à son retour
A la caresser sans détour
A imaginer l'enfant
Qui naitra au printemps.
Tu es si pale que dans toi
J'essaie de t'offrir un peu de joie
A oter la peine que tu as
A pleurer tout bas.
Je visite ton corps
A extirper tes remords
A vouloir à tort
Ne plus etre fort.
Je t'emmenerais vers un monde meilleur
Faites de tendresses et de douceurs
Ou tu auras tout le loisir
De méditer vers ton avenir.
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