De fraicheur hivernale
En douceur automnale
De soleil ou de pluie
Tu vis depuis longtemps ta vie.
Soulevé par l'ARNO
Toi le PONTE VECCHIO
Tu enjambes les deux rives
Comme un vieil habitué de l'eau vive.
Jaune riviére
Toscane et fiére
Que tolére le vieux pont
Comme un pére à son rejeton.
Paré d'or des deux cotés
Tu supportes le poids des années
A sans cesse regarder
Tous ces badauds te monter.
Des lumiéres t'illuminent
Des ombres calines
D'amoureux transits
Que tu observes dans la nuits.
Des gélatis et des odeurs de raviolis
Flottent aux douze coups de minuit.
Abreuvés de chianti
Ont te quittent par des arriverdecis.
dimanche 25 juillet 2010
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