La pluie du mois de mai glaçait mon visage affable.
Mon béret dans une main et de l'autre mon cartable
J'avais l'insouciance de mon jeune age
De rester sous les gouttes malgré l'orage.
L'école n'était pas ma priorité premiére
Dans les rangs j'étais toujours à la traine derriére
A chahuter comme toujours avec 1 ou 2 copains
Et de me faire punir par le prof de latin.
A 16h 30 précise quand la cloche sonnait
Soit j'étais quitte pour l'étude et mes devoirs faits
Ou je trainais dans les rues
Comme un mome perdu.
En culotte courte et godillots
Il m'arrivait de prendre le métro
Curieux de voir les poinçonneurs
Qui maintenant me manquent d'ailleurs.
L'arrivée des premiers jours d'été
Coincidait avec les premiéres parties d'osselets
Puis les tournois de billes
Et la marelle pour les filles.
A 13 ans je ne me souciais guére de mon avenir
Seul comptait les vaçances à venir.
Pourtant l'école ne voulais plus de moi
Ce qui avait mis mes parents en émoi.
Quand j'y pense maintenant a bientot 60 balais
Je me dis que l'école ou j'étais
C'était pas si mal que ça
Malgré que j'aimais pas ça.
vendredi 30 mai 2008
dimanche 25 mai 2008
LES FOUS DU STADE
Ils sont tous agglutinés dans le métro
A hurler des noms d'oiseaux.
Plus rien ne les arréte
Il ni à qu à voir leurs tétes.
De l'étudiant à l'employé
Aprés avoir quitté bureaux ou facultés
En costumes ou jeans serrés
Ils changent de comportement
Pour une soirée de déchainement.
Dans le stade ils sont comme fous
A se comporter comme des voyous
De banderolles faschistes
Au propos racistes.
Et à la sortie pour dégrader des voitures
Et se conduire comme des petits durs
Puis de retrouver leur femmes aimées
Et dorloter leurs nouveaux nés.
A hurler des noms d'oiseaux.
Plus rien ne les arréte
Il ni à qu à voir leurs tétes.
De l'étudiant à l'employé
Aprés avoir quitté bureaux ou facultés
En costumes ou jeans serrés
Ils changent de comportement
Pour une soirée de déchainement.
Dans le stade ils sont comme fous
A se comporter comme des voyous
De banderolles faschistes
Au propos racistes.
Et à la sortie pour dégrader des voitures
Et se conduire comme des petits durs
Puis de retrouver leur femmes aimées
Et dorloter leurs nouveaux nés.
vendredi 23 mai 2008
L' ENFANT DE LA PROSTITUEE
Il jouait dans la cour
Pendant qu'elle faisait l'amour.
Il ne voyait sa mére
Qu'avec des amants de misére.
Il occupait son temps
A attendre tout le temps
Qu elle veuille bien rentré
Aprés s'étre fait aimé.
Depuis sa naissance
Aucun pére à sa connaissance
N'était venu lui parler
L' aimer le cajoler.
Du haut de ses dix ans
Il cotoyait les passants
De la rue ménilmontant
Avec un applomb évident.
Il trainait son ennui
A dessiner ses envies
A faire des sourires
Sur un cahier pour se souvenir.
Pendant qu'elle faisait l'amour.
Il ne voyait sa mére
Qu'avec des amants de misére.
Il occupait son temps
A attendre tout le temps
Qu elle veuille bien rentré
Aprés s'étre fait aimé.
Depuis sa naissance
Aucun pére à sa connaissance
N'était venu lui parler
L' aimer le cajoler.
Du haut de ses dix ans
Il cotoyait les passants
De la rue ménilmontant
Avec un applomb évident.
Il trainait son ennui
A dessiner ses envies
A faire des sourires
Sur un cahier pour se souvenir.
dimanche 18 mai 2008
LES FILLES FACILES
En jeans moulé ou mini jupe plissée
Elle dandinent leur fessier
Dans les couloir du métro
Ou les rues de SAN FRANCISCO.
De toutes nationalités
Elles revendiquent leurs identités
Et sément la zizanie
Dans le coeur des maris.
Elles provoquent les hommes
Pour beaucoup d'argent en somme
Et balladent leurs corps dénudés
Sur les plages prés de SAINT TROPEZ.
Elles font frisonner les présidents
qui n'en demandent pas tant.
Et arrivent à leurs fins
Pour deux ou trois calins
Puis parviennent à obtenir
Un poste pour leurs avenirs.
Elle dandinent leur fessier
Dans les couloir du métro
Ou les rues de SAN FRANCISCO.
De toutes nationalités
Elles revendiquent leurs identités
Et sément la zizanie
Dans le coeur des maris.
Elles provoquent les hommes
Pour beaucoup d'argent en somme
Et balladent leurs corps dénudés
Sur les plages prés de SAINT TROPEZ.
Elles font frisonner les présidents
qui n'en demandent pas tant.
Et arrivent à leurs fins
Pour deux ou trois calins
Puis parviennent à obtenir
Un poste pour leurs avenirs.
mardi 13 mai 2008
LE PARADIS ARTIFICIEL
Leurs ames sont faites de réves
D'illusions sans tréves
A s'abimer le corps
A en redemander encore.
A offrir leur chair pour trois fois rien
Dans des endroits pas toujours sain
A des inconnus de passage
Qui profitent de leurs jeunes ages.
De piqures en poudres blanches
A snifer ou à relever leurs manches.
Ils sont dans leur monde meilleur
A oublier leur vie antérieur.
Dans leur chambre en cachette
Ou dans des lieux de fétes
Ils détruisent leur vie
A espérer le paradis.
Avant que leur compagnon de dérive
Ne décide qu il ne suive
Pour trop de mauvaises choses
Le chemin de l'overdose.
D'illusions sans tréves
A s'abimer le corps
A en redemander encore.
A offrir leur chair pour trois fois rien
Dans des endroits pas toujours sain
A des inconnus de passage
Qui profitent de leurs jeunes ages.
De piqures en poudres blanches
A snifer ou à relever leurs manches.
Ils sont dans leur monde meilleur
A oublier leur vie antérieur.
Dans leur chambre en cachette
Ou dans des lieux de fétes
Ils détruisent leur vie
A espérer le paradis.
Avant que leur compagnon de dérive
Ne décide qu il ne suive
Pour trop de mauvaises choses
Le chemin de l'overdose.
mercredi 7 mai 2008
LES AMANTS DU GRAND CERF
A l hotel du grand cerf les heures s'égrénent doucement
Dans la chambre des deux jeunes amants.
Personne ne désirait cette union
Leurs différences c'étaient la religion.
Allongés sur le lit
Ils se sont aimés toute la nuit.
Un verre posé sur la table de chevet
Le spectre de la mort rodait.
Main dans la main
Ils attendaient la fin.
Plus rien ne pouvait empécher
Leur funestre destinée.
Dans la chambre des deux jeunes amants.
Personne ne désirait cette union
Leurs différences c'étaient la religion.
Allongés sur le lit
Ils se sont aimés toute la nuit.
Un verre posé sur la table de chevet
Le spectre de la mort rodait.
Main dans la main
Ils attendaient la fin.
Plus rien ne pouvait empécher
Leur funestre destinée.
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