Des larmes coulaient sur mes joues
Mon coeur est à genoux
Mon quotidien s'est arrété d'un coup
Ce matin sans prévenir du tout.
Je viens de perdre un ami
Cette nuit dans son lit
Seul avec son ennui
Et qui pourtant semblait reprendre gout à la vie.
La mort est si cruelle
Qu'elle nous emporte les amitiés fidéles.
Tu viens de tirer ta révérence
Et pourtant je me surprend à sourire de notre enfance.
Hier tu étais si loin de moi
Préoccupé par je ne sais quoi.
Tu avais sans doute tes raisons
Pour partir définitivement dans ta maison.
Que de regrets me trottent dans la téte
De n'avoir pu te mettre le coeur en féte.
Tu avais l'air si heureux
Ce dernier week end passé a LISIEUX.
Avais tu prémédité ton geste
A cause de se mal étre qui te rongeait comme la peste.
Tu n'es plus la mon ami
Aprés tant d'années d'une amitié sans soucis.
Je me demande si tu retrouveras la haut
La sérénité qui sur terre te faisait tant défaut.
samedi 27 septembre 2008
vendredi 26 septembre 2008
L'AMOUR
Qui es tu pour me donner l'envie
De m'essoufler jusqu'à mon dernier cri
De caresser ton corps
Jusqu'au désir dans demander encore.
Mes lévres se posent sur ton sein
Que j'embrasse sans fin
Et de vouloir aller plus loin
Mais que ta main me retient.
J'effleure ta peau
Que je perçois comme un cadeau
Ton soufle sacadé
Me donne le plaisir de t'aimer.
De m'essoufler jusqu'à mon dernier cri
De caresser ton corps
Jusqu'au désir dans demander encore.
Mes lévres se posent sur ton sein
Que j'embrasse sans fin
Et de vouloir aller plus loin
Mais que ta main me retient.
J'effleure ta peau
Que je perçois comme un cadeau
Ton soufle sacadé
Me donne le plaisir de t'aimer.
vendredi 19 septembre 2008
AMOUR EPHEMERE
Je traduisais tes mots
Que tu m'avais envoyé de WATERLOO
Le CANADA que tu avais quitté
Pour passer avec moi cinq jours d'été.
Ton français imparfait
M'avais fait chavirer à jamais.
Si loin nos deux coeurs
Ne retrouverons plus leurs chaleurs.
Je te revois sur la plage
Le soleil brulant ton visage
Et les vagues secouant légérement ton corps
Si beau que j'en réve toujours encore.
L'hiver est déja si vite arrivé
Qu'en regardant la neige tombé
Je t'imagine entrain de rigoler
A partager l'amour de ton fiançé
Que tu avais connu
Peu aprés notre véçu.
Je n'ai plus l'espoir de te revoir
Mais essaie au moins de me faire croire
Que cet amour éphémére
N'est pas seulement que derriére.
Que tu m'avais envoyé de WATERLOO
Le CANADA que tu avais quitté
Pour passer avec moi cinq jours d'été.
Ton français imparfait
M'avais fait chavirer à jamais.
Si loin nos deux coeurs
Ne retrouverons plus leurs chaleurs.
Je te revois sur la plage
Le soleil brulant ton visage
Et les vagues secouant légérement ton corps
Si beau que j'en réve toujours encore.
L'hiver est déja si vite arrivé
Qu'en regardant la neige tombé
Je t'imagine entrain de rigoler
A partager l'amour de ton fiançé
Que tu avais connu
Peu aprés notre véçu.
Je n'ai plus l'espoir de te revoir
Mais essaie au moins de me faire croire
Que cet amour éphémére
N'est pas seulement que derriére.
mardi 16 septembre 2008
LES PETITS GENS
Ils commençent la journée comme un chemin de croix
A se demander si le soir ils auront encore un toit.
De dettes en désarois
Ils se retrouvent en difficulté chaque fins de mois.
L'hiver n'est pas la saison qu'ils préférent
Sauf devant un feu de bois ou une chaudiére.
Ils essaient de vivre au mieux
A s'inventer des jours heureux.
Ils profitent du moindre plaisir
Qu'ils se procurent d'écrire ou de lire
Ou d'une ballade et d'un ciné
Qu'ils se paient une fois dans l'année.
Les petits gens n'auront jamais de fortune
Ils ne pourront jamais s'offrir la lune
Mais ils savent etre modeste
Contre ceux qui les évitent comme la peste.
l
A se demander si le soir ils auront encore un toit.
De dettes en désarois
Ils se retrouvent en difficulté chaque fins de mois.
L'hiver n'est pas la saison qu'ils préférent
Sauf devant un feu de bois ou une chaudiére.
Ils essaient de vivre au mieux
A s'inventer des jours heureux.
Ils profitent du moindre plaisir
Qu'ils se procurent d'écrire ou de lire
Ou d'une ballade et d'un ciné
Qu'ils se paient une fois dans l'année.
Les petits gens n'auront jamais de fortune
Ils ne pourront jamais s'offrir la lune
Mais ils savent etre modeste
Contre ceux qui les évitent comme la peste.
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MAUVAIS TEMPS EN BRETAGNE
A la pointe du moulinet le vent soufflait par rafale.
Un bateau qui venait de CANCALE
était balloté par la mer déchainée
Qui offrait ses lames aux rochers.
Dans le ciel les oiseaux étaient impuissants
Face aux déchainements du temps.
Les nuages gris noirs s'entremélaient souvent
Laissant entrevoir du bleu que par moment.
La pluie commençait à tomber finement
Pour continuer plus violemment.
Les derniers estivants sous leurs parapluies
Couraient vers les premiers abris.
Au fil des heures
Le ciel éloignait sa noirceur
Pour revenir à de meilleurs couleurs.
Le vent attenuait sa puissance
L'eau tombait avec moins de violence.
Le soleil commençait à pointer le bout de son nez
Comme si de rien ne s'était passé.
Un bateau qui venait de CANCALE
était balloté par la mer déchainée
Qui offrait ses lames aux rochers.
Dans le ciel les oiseaux étaient impuissants
Face aux déchainements du temps.
Les nuages gris noirs s'entremélaient souvent
Laissant entrevoir du bleu que par moment.
La pluie commençait à tomber finement
Pour continuer plus violemment.
Les derniers estivants sous leurs parapluies
Couraient vers les premiers abris.
Au fil des heures
Le ciel éloignait sa noirceur
Pour revenir à de meilleurs couleurs.
Le vent attenuait sa puissance
L'eau tombait avec moins de violence.
Le soleil commençait à pointer le bout de son nez
Comme si de rien ne s'était passé.
lundi 15 septembre 2008
LA LETTRE DE RUPTURE
Il venait d'apprendre qu'elle le quittait
Par une lettre elle s'expliquait
La raison de sa décision
La rupture de leur union.
Elle lui disait qu'elle n'avait rien à lui reprocher
Mais qu'elle avait cessé de l'aimer.
Ils avaient passé le week end ensemble
Et rien que d'y penser ses mains en tremblent.
Elle voulait durant ces 2 jours lui en parler
Mais le courage lui avait subitement manquer.
A vrai dire il avait aussitot compris
Qu'un nouvel homme était rentré dans sa vie.
Ces longs moments de réveries
N'étaient que des pensées vers son nouvel ami.
Elle était d'un autre amoureuse
D'ou l'explication d'avoir été soucieuse
Durant de longues semaines
Et d'étre aujourd'hui plus sienne.
Par une lettre elle s'expliquait
La raison de sa décision
La rupture de leur union.
Elle lui disait qu'elle n'avait rien à lui reprocher
Mais qu'elle avait cessé de l'aimer.
Ils avaient passé le week end ensemble
Et rien que d'y penser ses mains en tremblent.
Elle voulait durant ces 2 jours lui en parler
Mais le courage lui avait subitement manquer.
A vrai dire il avait aussitot compris
Qu'un nouvel homme était rentré dans sa vie.
Ces longs moments de réveries
N'étaient que des pensées vers son nouvel ami.
Elle était d'un autre amoureuse
D'ou l'explication d'avoir été soucieuse
Durant de longues semaines
Et d'étre aujourd'hui plus sienne.
vendredi 12 septembre 2008
COUP DE FOLIE
Allongée face contre terre
A la regarder il ne savait que faire
Tout son étre tremblait
Toute son ame se détériorait.
N'avait il plus supporté son mépris
Sa façon de ralentir son énergie.
A vait-elle poussé a bout ses envies
Jusqu'à cet acte de folie.
Il suppliait violemment ses mains
De leurs dirent pourquoi elles étaient arrivées à leurs fins.
Il ne voulait pas que ça se termine comme ça
Mais es ce vraiment lui qui avait fait cela?
Il restait prosté dans son coin
A cauchemarder l'esprit déja loin
A attendre je ne sais qui
A voir défiler sa sale vie.
A la regarder il ne savait que faire
Tout son étre tremblait
Toute son ame se détériorait.
N'avait il plus supporté son mépris
Sa façon de ralentir son énergie.
A vait-elle poussé a bout ses envies
Jusqu'à cet acte de folie.
Il suppliait violemment ses mains
De leurs dirent pourquoi elles étaient arrivées à leurs fins.
Il ne voulait pas que ça se termine comme ça
Mais es ce vraiment lui qui avait fait cela?
Il restait prosté dans son coin
A cauchemarder l'esprit déja loin
A attendre je ne sais qui
A voir défiler sa sale vie.
mercredi 10 septembre 2008
LA SOLITUDE D'UNE JEUNE FEMME CELIBATAIRE
Elle était là à se toucher les seins
Le ventre et le bassin
Comme pour se donner une explication
Pourquoi n'était elle pas aimé d'un garçon.
Dans la rue elle passait inaperçu
A se fondre dans la foule des inconnus.
Mais elle désirait une nouvelle vie
Pour partager avec un autre ses envies.
De la solitude qu'elle avait vécu
Dés maintenant elle n'en voulait plus.
D'annonces en rencontres
Elle n'y était pas contre
Mais sa timidité maladive
Avait stoppé toutes ses initiatives.
Elle s'était maquillée ce matin
Pour elle pas pour quelqu'un
En espérant que le hasard de la vie
Lui fera découvrir le plaisir d'etre uni.
Le ventre et le bassin
Comme pour se donner une explication
Pourquoi n'était elle pas aimé d'un garçon.
Dans la rue elle passait inaperçu
A se fondre dans la foule des inconnus.
Mais elle désirait une nouvelle vie
Pour partager avec un autre ses envies.
De la solitude qu'elle avait vécu
Dés maintenant elle n'en voulait plus.
D'annonces en rencontres
Elle n'y était pas contre
Mais sa timidité maladive
Avait stoppé toutes ses initiatives.
Elle s'était maquillée ce matin
Pour elle pas pour quelqu'un
En espérant que le hasard de la vie
Lui fera découvrir le plaisir d'etre uni.
dimanche 7 septembre 2008
LA COLERE
Il y a des coléres
Qui rendent améres
Des faits divers
Qui nous font pas taire.
Des brulures de la vie
Qui nous donnent l'envie
De hurler notre mépris
Envers des abrutis.
Des irresponsables du volant
Qui provoquent des accidents
Aprés trop de beuveries
Insconcients de leurs conneries
Et qui s'aperçoivent aprés etre dégrisés
Des dégats qu'ils ont provoqués.
Et combien de portables allumés
Et de textos envoyés
Qui ont détruits
Des familles unies.
Que de vies sacrifiées
Ont été liés
A ces stupidités
Qui auraient pu etre évité.
Qui rendent améres
Des faits divers
Qui nous font pas taire.
Des brulures de la vie
Qui nous donnent l'envie
De hurler notre mépris
Envers des abrutis.
Des irresponsables du volant
Qui provoquent des accidents
Aprés trop de beuveries
Insconcients de leurs conneries
Et qui s'aperçoivent aprés etre dégrisés
Des dégats qu'ils ont provoqués.
Et combien de portables allumés
Et de textos envoyés
Qui ont détruits
Des familles unies.
Que de vies sacrifiées
Ont été liés
A ces stupidités
Qui auraient pu etre évité.
samedi 6 septembre 2008
LES BLEUS DANS L'AME
Sa jupe se souleva au gré du vent
Laissant apparaitre ses jambes d'enfant.
A 15 ans elle pensait devenir une femme
Mais une blessure avait blessé son ame.
Elle restait impassible sous l'orage
A attendre son amant d'un autre age.
L'eau de pluie coulait sur son visage
Qui effaçait un léger maquillage.
Ses longs cheveux blonds mouillés
Cachaient en parti ses épaules dénudés.
Sur la plage déserte elle regardait la mer
Pour ne garder qu'en souvenir son amour éphémére.
Ses yeux rougis
Trahissaient sa mélancolie.
Elle attendait un au revoir
Pour mieux garder l'espoir.
Elle ne voulait pas croire avoir pedu sa virginité
Lors d'un simple amour d'été.
Elle a pensé tant de fois qu'il viendrait
Que sa jeune vie à cet instant se détruisait.
Laissant apparaitre ses jambes d'enfant.
A 15 ans elle pensait devenir une femme
Mais une blessure avait blessé son ame.
Elle restait impassible sous l'orage
A attendre son amant d'un autre age.
L'eau de pluie coulait sur son visage
Qui effaçait un léger maquillage.
Ses longs cheveux blonds mouillés
Cachaient en parti ses épaules dénudés.
Sur la plage déserte elle regardait la mer
Pour ne garder qu'en souvenir son amour éphémére.
Ses yeux rougis
Trahissaient sa mélancolie.
Elle attendait un au revoir
Pour mieux garder l'espoir.
Elle ne voulait pas croire avoir pedu sa virginité
Lors d'un simple amour d'été.
Elle a pensé tant de fois qu'il viendrait
Que sa jeune vie à cet instant se détruisait.
vendredi 5 septembre 2008
NOUS LES HOMMES
Que dire de plus que ce qui a été dit
Tant de défauts nous collent à vie.
Des exemples il y en a tellement
Que les énumérés seraient lassant.
Si nous existions pas il faudrait nous inventer.
A entendre nos concubines parler
Ont se demandent ce qui les poussent à rester.
Téméraires sont celles qui ont le courage de divorcer
Et qui trouvent le moyen de se remarier peu aprés.
Y aurait il chez elles un coté maso
Pour vouloir un mec dans leur dodo!
A réfléchir un petit peu
Nous devons etre irremplaçables messieurs.
Et restons comme nous sommes
C'est à dire tout simplement des hommes.
Tant de défauts nous collent à vie.
Des exemples il y en a tellement
Que les énumérés seraient lassant.
Si nous existions pas il faudrait nous inventer.
A entendre nos concubines parler
Ont se demandent ce qui les poussent à rester.
Téméraires sont celles qui ont le courage de divorcer
Et qui trouvent le moyen de se remarier peu aprés.
Y aurait il chez elles un coté maso
Pour vouloir un mec dans leur dodo!
A réfléchir un petit peu
Nous devons etre irremplaçables messieurs.
Et restons comme nous sommes
C'est à dire tout simplement des hommes.
jeudi 4 septembre 2008
D'AVANT SA NAISSANCE
Il était confortablement installé
A l'intérieur recroquevillé
Pour attendre de sortir
Et partager de la vie les plaisirs.
Il écoutait tout ce qui se disait
Et sur son compte il y en avait
Pourvu qu'il soit beau
Intelligent et pas idiot.
Son pére voulait qu'il soit acteur
Et sa mére un imminent docteur.
Durant neuf mois il était habitué
A écouté leurs conseils avisés.
Il avait peur de ne pas etre à la hauteur
Puisqu'il entendait partout qu'il serait le meilleur.
Il était à l'écoute de tout
Des réves les plus fous.
Et une fois qu'il fut sorti
Ils étaient tous autour de son lit
Pour savoir si il ressemblait à ce qui avait été dit
Et vu leurs tétes il n'avait pas l'air d'etre leur idéal de petit.
A l'intérieur recroquevillé
Pour attendre de sortir
Et partager de la vie les plaisirs.
Il écoutait tout ce qui se disait
Et sur son compte il y en avait
Pourvu qu'il soit beau
Intelligent et pas idiot.
Son pére voulait qu'il soit acteur
Et sa mére un imminent docteur.
Durant neuf mois il était habitué
A écouté leurs conseils avisés.
Il avait peur de ne pas etre à la hauteur
Puisqu'il entendait partout qu'il serait le meilleur.
Il était à l'écoute de tout
Des réves les plus fous.
Et une fois qu'il fut sorti
Ils étaient tous autour de son lit
Pour savoir si il ressemblait à ce qui avait été dit
Et vu leurs tétes il n'avait pas l'air d'etre leur idéal de petit.
mercredi 3 septembre 2008
L'INCONNUE DU TRAIN
Elle était assise dans un coin du compartiment
A regarder le paysage défiler rapidement
Elle semblait si loin de la réalité
Par le décor qui lui était présenté.
Par moment elle jetait un oeil à ses voisins
Mais revenait aussitot à ses réves malsains
Trahis par ses yeux embuées de chagrin
Qu'elle essuyait d'un revers de la main.
L'homme installé à ses cotés lui tendit un mouchoir en papier
Qu'elle accepta sans méme sourcillier
Sans un regard pour le remercier
Tellement sa vie semblait déchirée
Par un fait qui venait de lui arriver.
Lorsque le train s'arréta à la gare annoncée
La dame se leva sans se précipiter
Pour se diriger à l'avant vers la porte de sortie désirée
Et de rester impassible sur le quai déserté.
Le train repartit sans qu'elle réapparu dans le compartiment
Que soudainement il s'arréta brusquement
Et qu'un cri se fit entendre à l'instant présent
Suivi de pas rapides résonnant sur le ciment.
A regarder le paysage défiler rapidement
Elle semblait si loin de la réalité
Par le décor qui lui était présenté.
Par moment elle jetait un oeil à ses voisins
Mais revenait aussitot à ses réves malsains
Trahis par ses yeux embuées de chagrin
Qu'elle essuyait d'un revers de la main.
L'homme installé à ses cotés lui tendit un mouchoir en papier
Qu'elle accepta sans méme sourcillier
Sans un regard pour le remercier
Tellement sa vie semblait déchirée
Par un fait qui venait de lui arriver.
Lorsque le train s'arréta à la gare annoncée
La dame se leva sans se précipiter
Pour se diriger à l'avant vers la porte de sortie désirée
Et de rester impassible sur le quai déserté.
Le train repartit sans qu'elle réapparu dans le compartiment
Que soudainement il s'arréta brusquement
Et qu'un cri se fit entendre à l'instant présent
Suivi de pas rapides résonnant sur le ciment.
lundi 1 septembre 2008
LE CHAT ET LA TORTUE
Un chat dans le jardin
Fut stoppé net dans son entrain
Par un intrus qu'il pensait etre qu'une pierre
Et qui n'était autre qu'une tortue de terre.
La petite béte pas affolée
Troubla le félin qui désirait jouer.
N'acceptant pas les amitiés nouvelles
Elle se transformant en tortue rebelle.
De sa téte relevée
Elle défia le félidé
Qui surpris par autant d'hostilité
S'en alla tout dépité.
Moralité de cette petite histoire
C'est que le chat à vouloir croire
Qu'il peut jouer avec n'importe quoi
Réfléchira avant par deux fois.
Fut stoppé net dans son entrain
Par un intrus qu'il pensait etre qu'une pierre
Et qui n'était autre qu'une tortue de terre.
La petite béte pas affolée
Troubla le félin qui désirait jouer.
N'acceptant pas les amitiés nouvelles
Elle se transformant en tortue rebelle.
De sa téte relevée
Elle défia le félidé
Qui surpris par autant d'hostilité
S'en alla tout dépité.
Moralité de cette petite histoire
C'est que le chat à vouloir croire
Qu'il peut jouer avec n'importe quoi
Réfléchira avant par deux fois.
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