La jeune femme depuis des années admirait ses roses
Pendant que son vieux mari poéte écrivait des proses.
De son jardin idyllique
Elle avait des pensées bucoliques.
Dans sa robe de soie blanche
Les mains sur ses hanches
Elle peignait dans sa mémoire
La toile qu'elle réaliserait le soir.
Elle faisait des réves étranges
Comme de voler sous les louanges
Entre nuages et archanges
Ou de se baigner dans le gange
Pour purifier son ame d'ange.
Dans sa grande prison dorée
Qu'il lui avait tissé comme une araignée
Elle souriait par habitude
Prés de toutes ses turpitudes.
Le soleil lui caressait le visage
Comme pour lui oter les traças de l 'outrage.
A vivre recluse de tout
Elle était devenue un etre fou.
dimanche 29 mars 2009
dimanche 15 mars 2009
AMOUR...AMITIE
Je serais toujours à ton écoute
Ca ne fait pas l'ombre d'un doute
Je ne pourrais pas t'offrir un avenir
Mais que des moments de plaisirs.
Je te fabriquerais des réves
Que tu imagineras sur la gréve
Face à l'immensité de l'océan agité
Comme ton envie d'étre sans cesse aimé.
Je te donnerais la force
Comme l'arbre dans son écorce
Pour t'évader de ta lassitude
D'etre toujours dans la solitude.
Je t'inventerais des paysages
De camargue ou d'alpage.
Je dessinerais ton visage
Et je t'écrirais les plus belles pages.
Je m'en irais quand tu me le demanderas
Comme je suis venu vers toi à petits pas.
j'aurai trop mal de te voir aimer
Que j'accepterais ta décision de m'éloigner.
Ca ne fait pas l'ombre d'un doute
Je ne pourrais pas t'offrir un avenir
Mais que des moments de plaisirs.
Je te fabriquerais des réves
Que tu imagineras sur la gréve
Face à l'immensité de l'océan agité
Comme ton envie d'étre sans cesse aimé.
Je te donnerais la force
Comme l'arbre dans son écorce
Pour t'évader de ta lassitude
D'etre toujours dans la solitude.
Je t'inventerais des paysages
De camargue ou d'alpage.
Je dessinerais ton visage
Et je t'écrirais les plus belles pages.
Je m'en irais quand tu me le demanderas
Comme je suis venu vers toi à petits pas.
j'aurai trop mal de te voir aimer
Que j'accepterais ta décision de m'éloigner.
dimanche 8 mars 2009
SUR LA BERGE
Sous le pont coule la seine
Pendant qu'une péniche s'y traine.
Le soleil sourit de l'arrivée du printemps
Un léger vent bruisse dans les arbres attenants.
Sur la berge un couple dissimule sa peine
Aprés des disputes quotidiennes
A s'arracher des je t'aimes
Avec leurs faces de caréme.
Des amants exibent leurs corps
En murmurant des j'tadores
Pendant que des jeunes tourtereaux pleins de vie
Aiguisent leur tout nouvel appétit.
Une jeune fille cache son ennui
A épier les situations d'autrui
Pendant sa pose du midi
Et s'invente un scénario de leurs vies.
Deux petits vieux main dans la main
Entrainent leurs jambes par pas restreints
Vers les premiers beaux jours arrivés
Et sortent de la torpeur leurs corps fatigués.
Dans son abri de fortune
Le sdf déshabille du regard la brune
Qui aguiche un beau galant
Pour un quard 'heure d'enchantement.
Un pécheur un peu plus loin
Titille l'ablette dans son coin
Tout en sachant pertinament
Qu'il reviendra bredouille tout en pestant.
Un jeune homme se sachant par la médecine condamnée
Devant l'eau et ses noires pensées
Se demande si aujourd'hui
Il aura le courage de s'oter la vie.
Tous ces gens d'aspect différent
Se retrouvérent au méme moment
Et au méme endroit
Face à leur divergent choix.
Pendant qu'une péniche s'y traine.
Le soleil sourit de l'arrivée du printemps
Un léger vent bruisse dans les arbres attenants.
Sur la berge un couple dissimule sa peine
Aprés des disputes quotidiennes
A s'arracher des je t'aimes
Avec leurs faces de caréme.
Des amants exibent leurs corps
En murmurant des j'tadores
Pendant que des jeunes tourtereaux pleins de vie
Aiguisent leur tout nouvel appétit.
Une jeune fille cache son ennui
A épier les situations d'autrui
Pendant sa pose du midi
Et s'invente un scénario de leurs vies.
Deux petits vieux main dans la main
Entrainent leurs jambes par pas restreints
Vers les premiers beaux jours arrivés
Et sortent de la torpeur leurs corps fatigués.
Dans son abri de fortune
Le sdf déshabille du regard la brune
Qui aguiche un beau galant
Pour un quard 'heure d'enchantement.
Un pécheur un peu plus loin
Titille l'ablette dans son coin
Tout en sachant pertinament
Qu'il reviendra bredouille tout en pestant.
Un jeune homme se sachant par la médecine condamnée
Devant l'eau et ses noires pensées
Se demande si aujourd'hui
Il aura le courage de s'oter la vie.
Tous ces gens d'aspect différent
Se retrouvérent au méme moment
Et au méme endroit
Face à leur divergent choix.
samedi 7 mars 2009
TERRE D'ACCEUIL
Il venait d'un pays
Par la guerre meurtri
Sur un bateau de naufrage
Rescapé par son courage.
Il venait sans rien
Que d'espoir entre ses mains
Pour chercher un répit
Et croire encore au paradis.
Adossé à un mur
Il révait d'un monde pur
A trouver son chemin
Pour ne plus étre clandestin.
De ses poings il espérait faire fortune
Pour etre dans les journaux à la une.
Il voulait sortir de sa vie
Que le destin lui avait construit.
Il scrutait l'horizon de la plage
Calais était son point d'ancrage.
Il révait de l'ANGLETERRE pas comme un linceul
Mais une patrie pour terre d'acceuil.
Par la guerre meurtri
Sur un bateau de naufrage
Rescapé par son courage.
Il venait sans rien
Que d'espoir entre ses mains
Pour chercher un répit
Et croire encore au paradis.
Adossé à un mur
Il révait d'un monde pur
A trouver son chemin
Pour ne plus étre clandestin.
De ses poings il espérait faire fortune
Pour etre dans les journaux à la une.
Il voulait sortir de sa vie
Que le destin lui avait construit.
Il scrutait l'horizon de la plage
Calais était son point d'ancrage.
Il révait de l'ANGLETERRE pas comme un linceul
Mais une patrie pour terre d'acceuil.
dimanche 1 mars 2009
NOSTALGIE
Je te regarde toi nostalgie
Comme un gamin qui n'a pas vieilli.
Mon coeur n'est désormais plus au présent
Mais à une époque que j'appellerais bon temps.
Des souvenirs envahissaient mon cerveau
Comme la brume qui enveloppe un bateau.
Je suis revenu voir la mer
Ses dunes et ses chardons d'hiver.
Le jardin de mes parents
Pensée de mes yeux d'enfant
Embués à revoir ma mére
Arrosée ses roses trémiéres
Et mon pére sur la terrasse
Qui triait ses paperasses
Pendant que mon grand pére sur les dunes
Zieutait les nudistes pour pas une tune
Et qui nous revenait tout émoustillé
A regretter sa jeunesse envolée.
Je me rappelle les aprés bains
Ou se réunissaient tous les copains
Autour d'un pastis et d'une partie de boules
Pour se terminer par des frites moules.
Il fait gris ce matin dans mon coeur
Mais je garde en mémoire tout ce bonheur.
Je repars avec mes souvenirs
Que rien ne viendras ternir.
Comme un gamin qui n'a pas vieilli.
Mon coeur n'est désormais plus au présent
Mais à une époque que j'appellerais bon temps.
Des souvenirs envahissaient mon cerveau
Comme la brume qui enveloppe un bateau.
Je suis revenu voir la mer
Ses dunes et ses chardons d'hiver.
Le jardin de mes parents
Pensée de mes yeux d'enfant
Embués à revoir ma mére
Arrosée ses roses trémiéres
Et mon pére sur la terrasse
Qui triait ses paperasses
Pendant que mon grand pére sur les dunes
Zieutait les nudistes pour pas une tune
Et qui nous revenait tout émoustillé
A regretter sa jeunesse envolée.
Je me rappelle les aprés bains
Ou se réunissaient tous les copains
Autour d'un pastis et d'une partie de boules
Pour se terminer par des frites moules.
Il fait gris ce matin dans mon coeur
Mais je garde en mémoire tout ce bonheur.
Je repars avec mes souvenirs
Que rien ne viendras ternir.
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