Je sillonne PARIS
Ses rues, la vie
Le coeur en gaité
Le visage emmerveillé.
J'ai le pas léger
Tout m'est étranger.
J'efface la misére
Les conflits sur terre.
J'admire les filles
En passant la BASTILLE.
Tout le monde est joyeux
Aucune tristesse dans leurs yeux.
Je souris à les regarder
Ces amoureux assis à s'aimer
Sur un banc à s'embrasser
Heureux de leur bonheur né.
Mon réveil vient de sonner
Mon réve est terminé
Qu'es ce qui m'arrive?
J'ai le coeur à la dérive.
Tout me semble si gris
Les gens sont si aigris
Emporté par leurs soucis
Dans les méandres de la vie.
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