Je te raconterais des histoires
Comme elle t'en contait tous les soirs.
Nous sommes désormais plus que tous les deux
A partager le toit des moments heureux.
Elle est partie une nuit
Lorsque tu t'étais endormi
Sans faire de bruit
En me disant que tout était fini.
Essuie tes larmes
Et ne rend pas les armes.
Toi qui a maintenant grandi
Tu ne dois pas avoir que du mépris.
Je t'emménerais sur les chevaux de bois
Comme nous le faisions tous les trois.
Nous traverserons ensembles les forets
En vélo ou à se courir aprés.
Les larmes coulent à nouveau sur ton visage
J'ai si peur d'etre sans courage
A ne plus savoir quoi faire
Pour t'oter les blessures et te plaire.
Il pleut ce matin sur la maison
Jamais comme avant dans le jardin les fleurs ne refleuriront.
Elle enverra peut etre demain une lettre.
Je l'attendrais pour plus que tu es du chagrin petit etre.
Tous les jours je la guetterais
Pour pardonner son méfait
D'avoir terni ton enfance
Et pour te redonner le sourire par sa présence.
samedi 28 février 2009
lundi 23 février 2009
LE REVENANT
Tu es si seule ce soir
Toi la femme de mes espoirs.
J'avais tout appris de toi
Moi qui dérivais comme une coquille de noix
Sur l'océan de mes désillusions
A u point de remettre tout en questions.
Pourquoi tes réves se sont envolés
D'espérer un jour te remarier.
N'as tu plus d'espérance
D'etre toujours en souffrance.
Je te vois si souvent t'éloigner
Sans personne à tes cotés.
Tu navigues dans des eaux
Qui inquiéte mon égo.
J'essaie de la haut
D'effleurer une derniére fois ta peau.
Mais plus jamais je ne te ferais ce cadeau
D'etre toujours là quand il le faut.
Il va falloir que tu m'oublies
Pour te reconstruire une nouvelle vie.
Je m'en vais définitivement cette fois
Pour que je ne sois plus un revenant pour toi.
Toi la femme de mes espoirs.
J'avais tout appris de toi
Moi qui dérivais comme une coquille de noix
Sur l'océan de mes désillusions
A u point de remettre tout en questions.
Pourquoi tes réves se sont envolés
D'espérer un jour te remarier.
N'as tu plus d'espérance
D'etre toujours en souffrance.
Je te vois si souvent t'éloigner
Sans personne à tes cotés.
Tu navigues dans des eaux
Qui inquiéte mon égo.
J'essaie de la haut
D'effleurer une derniére fois ta peau.
Mais plus jamais je ne te ferais ce cadeau
D'etre toujours là quand il le faut.
Il va falloir que tu m'oublies
Pour te reconstruire une nouvelle vie.
Je m'en vais définitivement cette fois
Pour que je ne sois plus un revenant pour toi.
jeudi 19 février 2009
LE MAL D'ETRE
Je glisse jusqu'à l 'abime
A tel point que mon corps s'abime
Je suis sur une pente savonneuse
Ma descente aux enfer est vertigineuse.
Je limite les dégats
A me protéger derriére tes pas.
J'ai tellement peur de la suite
Que j'ai envie de prendre la fuite.
Le mal me poursuit
Vers le fin fond de ma vie
Qu'il arréte d'etre toujours là
A m'observer jusqu au trépas.
A tel point que mon corps s'abime
Je suis sur une pente savonneuse
Ma descente aux enfer est vertigineuse.
Je limite les dégats
A me protéger derriére tes pas.
J'ai tellement peur de la suite
Que j'ai envie de prendre la fuite.
Le mal me poursuit
Vers le fin fond de ma vie
Qu'il arréte d'etre toujours là
A m'observer jusqu au trépas.
LE DOUTE
J'étais persuadé qu'un jour
Tu nous reviendrais pour toujours.
Le vélo accroché au clou
T'attend pour silloner la vallée aux loups.
J'ai traversé les chemins
Pris combien de trains
Scruter les ravins
pour retrouver tes calins
Mais toujours en vain.
Je t'ai écris des lettres
Pour te faire part de mon mal etre.
Combien d'appel sans réponse
Ai je passé sur ton portable avant que je renonce.
Devant la cheminée
Je reste sans parler
Simplement à écouter
Les palabres de nos invités.
Le jour ou tu reviendras
Je te ferais découvrir le monde que tu ne connais pas
Je t'ouvrirais mes bras
Pour que tu puisses poser ta téte là.
Tu nous reviendrais pour toujours.
Le vélo accroché au clou
T'attend pour silloner la vallée aux loups.
J'ai traversé les chemins
Pris combien de trains
Scruter les ravins
pour retrouver tes calins
Mais toujours en vain.
Je t'ai écris des lettres
Pour te faire part de mon mal etre.
Combien d'appel sans réponse
Ai je passé sur ton portable avant que je renonce.
Devant la cheminée
Je reste sans parler
Simplement à écouter
Les palabres de nos invités.
Le jour ou tu reviendras
Je te ferais découvrir le monde que tu ne connais pas
Je t'ouvrirais mes bras
Pour que tu puisses poser ta téte là.
dimanche 15 février 2009
JE M'LACHE
Ma vie est si douce
Que tous me couroucent.
Es ce de la jalousie
D'etre aussi mal dans leur vie!
Je nage à contre sens
Dans le bonheur c'est une évidence
Alors que les autres dans leur malheur
Manque cruellement de chaleur.
Je chante je danse
Je fais tout en cadence.
Je rote je péte
C'est sur que ça les embétent.
Je régle mes ennuis
Quand j'en ai envie.
Je fais un pied de nez a l'inspecteur
Qui viendras m'arréter dans quelques heures.
Je files voir ma petite amie
Pour lui faire l'amour à lui en donner le tourni.
Je vous laisse car j'ai plus le temps
Merci de m'avoir lu braves gens.
Que tous me couroucent.
Es ce de la jalousie
D'etre aussi mal dans leur vie!
Je nage à contre sens
Dans le bonheur c'est une évidence
Alors que les autres dans leur malheur
Manque cruellement de chaleur.
Je chante je danse
Je fais tout en cadence.
Je rote je péte
C'est sur que ça les embétent.
Je régle mes ennuis
Quand j'en ai envie.
Je fais un pied de nez a l'inspecteur
Qui viendras m'arréter dans quelques heures.
Je files voir ma petite amie
Pour lui faire l'amour à lui en donner le tourni.
Je vous laisse car j'ai plus le temps
Merci de m'avoir lu braves gens.
samedi 14 février 2009
JOURNAL D'UN FOU
J'ai révé tant de fois
Que ma téte est un chemin de croix.
J'ai si peur de mal faire
Que je préfére me taire.
J'ai si mal menti
Que tous me croient gentil.
Pourtant j'ai fait tant de choses
Que ma vie est devenue morose.
Personne ne me connait vraiment.
A traverser les dérives du temps
J'ai la peau endurcit
Et mon coeur meurtrit.
Ma vie est à double visage
A u point d'avoir peur de l'outrage.
J'aimerais tant etre aimé
Qu'à la fin je serais détesté.
Pourquoi suis je devenu comme ça?
A me regarder je constate les dégats.
Mon cerveau est dans le brouillard.
Je dois rentrer il est si tard.
Je marche derriére les gens
Et je me demande qui sont-ils vraiment?
Ils me regardent tous si bizzarement.
A les prendre un par un
Tous ont un secret dans leur destin.
Moi je me fou de ce qu'ils disent
Je ne voudrais surtout pas qu'ils me détruisent.
A prés tout je ne les connais pas
Pourquoi faut-il que je pense à ça?
J'ai des idées noires en moi
Comme une béte qui dicte sa loi.
J'ai tant pleuré de fois
A me retrouver seul sans toi.
Tous vont croire que je suis fou
A marcher dans la rue le regard flou.
J'ai méme pas mis mon costume ce matin
Je suis resté en pyjama c'est pas bien malin.
Au loin j'entend déja les sirénes
Que je n'ai pas eu le temps de m'ouvrir les veines.
Que vont ils a présent me faire?
Le mieux c'est à tout jamais me taire.
Que ma téte est un chemin de croix.
J'ai si peur de mal faire
Que je préfére me taire.
J'ai si mal menti
Que tous me croient gentil.
Pourtant j'ai fait tant de choses
Que ma vie est devenue morose.
Personne ne me connait vraiment.
A traverser les dérives du temps
J'ai la peau endurcit
Et mon coeur meurtrit.
Ma vie est à double visage
A u point d'avoir peur de l'outrage.
J'aimerais tant etre aimé
Qu'à la fin je serais détesté.
Pourquoi suis je devenu comme ça?
A me regarder je constate les dégats.
Mon cerveau est dans le brouillard.
Je dois rentrer il est si tard.
Je marche derriére les gens
Et je me demande qui sont-ils vraiment?
Ils me regardent tous si bizzarement.
A les prendre un par un
Tous ont un secret dans leur destin.
Moi je me fou de ce qu'ils disent
Je ne voudrais surtout pas qu'ils me détruisent.
A prés tout je ne les connais pas
Pourquoi faut-il que je pense à ça?
J'ai des idées noires en moi
Comme une béte qui dicte sa loi.
J'ai tant pleuré de fois
A me retrouver seul sans toi.
Tous vont croire que je suis fou
A marcher dans la rue le regard flou.
J'ai méme pas mis mon costume ce matin
Je suis resté en pyjama c'est pas bien malin.
Au loin j'entend déja les sirénes
Que je n'ai pas eu le temps de m'ouvrir les veines.
Que vont ils a présent me faire?
Le mieux c'est à tout jamais me taire.
vendredi 13 février 2009
LA DERNIERE
Il est un peu plus de 23 heures
Lorsque sur scéne la reine mére se meurre.
A genouillée à se tordre de douleur
Elle hurle le nom de son empoisonneur.
Sous les applaudissements des spectateurs
Elle se reléve doucement pour aller saluer ses admirateurs.
Rejoint aussitot par les autres acteurs
Qui l'entourent de leurs chaleurs.
Le rideau rouge pour la derniére
Se baisse derrriére la reine mére.
Les yeux rougis par l'émotion
Elle quitte à tout jamais sa passion.
Le visage fatigué par sa composition
Les bras empruntés de fleurs
Elle sourit une derniére fois sous les clameurs.
Revenu dans sa loge, elle pleure.
Son esprit est soudain ailleurs.
Devant sa glace elle retrace sa vie
Ses joies et ses mélancolies.
Elle s'endormira ce soir
Sans la crainte d'une perte de mémoire
A des lendemains sans tournées
A réver d'une veillesse plus adulées.
Lorsque sur scéne la reine mére se meurre.
A genouillée à se tordre de douleur
Elle hurle le nom de son empoisonneur.
Sous les applaudissements des spectateurs
Elle se reléve doucement pour aller saluer ses admirateurs.
Rejoint aussitot par les autres acteurs
Qui l'entourent de leurs chaleurs.
Le rideau rouge pour la derniére
Se baisse derrriére la reine mére.
Les yeux rougis par l'émotion
Elle quitte à tout jamais sa passion.
Le visage fatigué par sa composition
Les bras empruntés de fleurs
Elle sourit une derniére fois sous les clameurs.
Revenu dans sa loge, elle pleure.
Son esprit est soudain ailleurs.
Devant sa glace elle retrace sa vie
Ses joies et ses mélancolies.
Elle s'endormira ce soir
Sans la crainte d'une perte de mémoire
A des lendemains sans tournées
A réver d'une veillesse plus adulées.
mardi 10 février 2009
L'INCONNUE DU METRO
J'ai croisé son regard
Un matin de cafard
Un jour de brouillard
Un automne sans fard.
J'ai captivé son attention
A ignorer les stations
A vouloir dans les couloirs la filer
Sans méme un instant me raisonner.
J'étais totalement fasciné
Par cette inconnue au jeans serré
Que j'eu oser l'aborder
Pour lui offrir un café.
Je fus si surpris par son acceptation
Que j'en restai muet devant sa décision.
Son sourire au coin des lévres
Enveloppa tout mon corps de fiévre.
Quelques paroles échangés
Laissérent mon coeur blessé.
La demoiselle m'avait chamboulé
En prononçant le mot prostituée.
Un matin de cafard
Un jour de brouillard
Un automne sans fard.
J'ai captivé son attention
A ignorer les stations
A vouloir dans les couloirs la filer
Sans méme un instant me raisonner.
J'étais totalement fasciné
Par cette inconnue au jeans serré
Que j'eu oser l'aborder
Pour lui offrir un café.
Je fus si surpris par son acceptation
Que j'en restai muet devant sa décision.
Son sourire au coin des lévres
Enveloppa tout mon corps de fiévre.
Quelques paroles échangés
Laissérent mon coeur blessé.
La demoiselle m'avait chamboulé
En prononçant le mot prostituée.
mercredi 4 février 2009
LA SOIXANTAINE
J 'arrive doucement vers la soixantaine
C'est pas que ça me géne
Mais les turbulences se déchainent
Les petites douleurs s'enchainent.
Je regarde ma glace
J'examine ma face
Mes traits sont tirés
Mon étre est fatigué
Mes maux me génent
Ma vue peine.
Je replonge 20 ans en arriére
Courir n'était pas une sinécure
Maintenant je traine mon derriére
Et mon ventre m'invite à faire une cure.
C'est pas que ça me géne
Mais les turbulences se déchainent
Les petites douleurs s'enchainent.
Je regarde ma glace
J'examine ma face
Mes traits sont tirés
Mon étre est fatigué
Mes maux me génent
Ma vue peine.
Je replonge 20 ans en arriére
Courir n'était pas une sinécure
Maintenant je traine mon derriére
Et mon ventre m'invite à faire une cure.
LA PETITE FILLE DE LA PLAGE
Les dunes ont oté leurs habits d'hiver
Un vent balaie le dessus de la mer
Le temps a repris des couleurs
Grace au printemps et ses valeurs.
La petite fille semble perdue
Sur la plage et ses allées et venues.
Dans ses mains une poupée de coton
Des larmes coulent sur son visage mignon.
Le soleil éclaire la gréve
La brise a fait une tréve
Les mouettes tournoient dans le ciel
Leurs cris résonnent à casser les oreilles.
La poupée souillée de sang
Un soulier trainant devant
Le vent subitement se levant
Recouvre à moitié le corps de sable l 'enfant.
La plage retrouve son habit de nuit
Personne n'a encore aperçu la petite enfouie.
des lumiéres de torches illuminent l'obscurité
Pour retrouver la fillette abimée.
Un vent balaie le dessus de la mer
Le temps a repris des couleurs
Grace au printemps et ses valeurs.
La petite fille semble perdue
Sur la plage et ses allées et venues.
Dans ses mains une poupée de coton
Des larmes coulent sur son visage mignon.
Le soleil éclaire la gréve
La brise a fait une tréve
Les mouettes tournoient dans le ciel
Leurs cris résonnent à casser les oreilles.
La poupée souillée de sang
Un soulier trainant devant
Le vent subitement se levant
Recouvre à moitié le corps de sable l 'enfant.
La plage retrouve son habit de nuit
Personne n'a encore aperçu la petite enfouie.
des lumiéres de torches illuminent l'obscurité
Pour retrouver la fillette abimée.
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