jeudi 2 avril 2009

LA MERE

J'avais si mal de te voir
Dans l'immensité du désespoir
A ne plus t'accrocher à la vie
Dans ton lit aujourd'hui tu es parti.

Je te revois sans cesse
A pleurer sur tes faiblesses
A ne plus croire en tes richesses
A ne plus vouloir partager ta détresse.

J'aurai tant désirer que tu te battes
A u lieu que ce soit la mort qui te flatte.
Tu n'es maintenant plus la
Que tu me manques déja.

Je n'entendrais plus jamais ta voix
Me raconter des histoires d'autrefois.
Devant ton cerceuil
Je me sens si seul
A penser que la haut
Papa a du te garder une place au chaud.

Je n ai pas aimé que tu partes si tot
Mais parfois la vie est remplie de sanglots.
Dans ton fauteuil tu n'avais plus de réves
Que déja ton corps était en gréve.
A ne plus vouloir t alimenter
Je savais que la mort avait commencé à t appeler.

Je suis maintenant orphelin de toi
A pleurer entre mes doigts.
Me reste t-il encore du temps
Pour te dire je t'aime maman.

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