Dans la rue l'obscurité tombait
Une nuit de pluie commencait.
Sous un porche éclairé une ombre apparut
Apparemment celle d'un homme vétu
D'un manteau et d'un chapeau
Tenant dans sa main un long couteau.
D'un coup il oscilla son bras
A plusieurs reprises de haut en bas
Des cris résonnérent dans la nuit
Et un grand silence s'en suivit
Puis le bruit effréné
D'un pas mal assuré.
Un filet de sang teintait l'eau
Du caniveau
Un corps a moitié dénudé
Jupe et slip enlevés
Celui d'une jeune et belle femme
Lardé de violent coups de lame.
Aucun témoin n'avait assisté a la scéne
Aucune trace relevé d'adn
Sauf un jeune garcon féru de photos
C'était caché à regarder derriére ses rideaux.
La police enquéta dans le voisinage
A travers divers commérages
La victime était connue
Par des personnes l'ayant déja aperçu.
Une romanciére aux moeurs légéres
Qui fréquentait le milieu lesbiennes
A deux pas des bords de seine.
L'interrogatoire des voisins
Fut difficile et sans fin
Aucun indice ne permit
De dénouer le mobile du délit
Puisque la jf malgré sa partielle nudité
N'avait pas été violenté.
Pourtant un mois aprés les faits
La police reçu un appel intéressant.
Le ton de la voix hésitant et pas français
Semblait correspondre à celle d'un adolescent.
Celui ci expliqua que des photos
Prises au moment de l'assassinat
Se trouvaient dans sa chambre sur un micro
et que personne n'était au courant de ça.
L'investigation fut rondement mené
Les photos sérieusement épluchées
Le crime sordide vite balayé.
En faite le physique d'une femme
Apparut distinctement sur les clichés
Qui résolut cette trame
De cette affaire trés médiatisée.
La coupable était l'amie de la victime
Qui avait maquillé ce crime.
Jalouse des agissements se sa concubine
A de multiples parties fines.
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