Les deux vieux marchaient
L'un à coté de l'autre collés
Par peur d etre séparé
De leur vie à tout jamais
La promenade du matin
Etait devenu leur quotidien
Leur occupation premiére
Avant la venue de l'hiver.
Le pére atteint du cancer
Endurait le calvaire
S'appuyant sur la mére
Qui ne savait que faire.
Ce jour de décembre venu
Aux derniéres feuilles à terre
La disparition du pére
Soulagea la mére.
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