Souvent j'ai pensé a vous
Tous les jours je l'avoue
Dans votre robe d'été
Qui me faisait révé.
Vous lisiez sous le pommier
A l'ombre prés des fleurs séchées
Sans meme vous apercevoir souvent tard
Que je vous observais à espérer un regard.
Vous étiez si belle
A monter sur votre échelle
Que j'aurai aimé vous suivre
A regarder d'en haut votre jardin vivre.
Maintes fois je vous ai désiré
Mais vous étiez si occupée
Entre votre potager et vos arbres fruitiers
Que je ne vous ai jamais solliciter à parler.
Souvent je vous voyais rire
Et partager des souvenirs
Avec un homme plus agé
Qui caressait vos cheveux frisés.
Puis un jour je vous ai surpris a pleurer
Sous votre pommier ce dernier été
Une lettre entre vos mains
Vous sembliez déja si loin.
J'aurai aimé tant vous consoler
Mais je n'ai pas eu le courage de vous approcher.
J'espére que vous saurez me pardonner
Mais je n'ai rien de vous a espérer.
Maintenant que vous étes partis
Dans le sud pour vivre une autre vie
Je me permet de vous écrire
Sans trop savoir si vous allez aimer me lire.
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