Et puis il y a cette femme
Qui se prend pour une dame
Haut perché dans ses bottes de cuir
A plaire aux hommes mais à les faire fuir.
Elle est seule devant tous ces gens
A vouloir toujours etre sur le devant
A les regarder avec suffisance
Eux qui n'apprécient pas sa présence.
Elle semble si peu génée
Devant ce parterre d'hommes aisés
Que rien ne pourrait la destabiliser
Devant ce gratin de haute renommé.
Elle tient tout le monde entre ses mains
Qu'elle rejette comme du dédain
A vouloir toujours tout écraser
Elle qui méne à bout de bras la société.
Rien ni personne ne peut l 'arréter
Et elle réduit à néant celui qui serait tenté de la freiner.
Elle est droite dans ses bottes
Et tue ceux qui si frotte.
dimanche 27 décembre 2009
LE PETIT MONSIEUR DE LA RUE
L'automne venait d'arrivée
Les premiéres feuilles étaient déja tombées
Un petit monsieur sur un banc assis
Emiettait pour les oiseaux du pain rassis.
il était enveloppé dans un manteau de pluie
A frissoner sous le crachin de PARIS.
Il était habitué à rester dans la rue
Car un chez lui il en avait plu.
Par moment il invitait les passants
A fredonner des chansons d'antan
A se transformer en PIAF pour un instant
Pour chanter la goualante du pauvre JEAN.
Il promenait sa silhouette
A travers le marché de la MUETTE.
A tendre aux commerçants sa main
Pour les premiéres piéces du matin.
Il était si menu
Qu'il donna à un monsieur ventru
Son dernier sourire
Avant les gelées à venir.
A l'approche de décembre
Il aurait aimé avoir une chambre
Au lieu d'un banc comme lit
Et des journaux comme abri.
Plus personne ne le revit
Avec sa gouaille et ses envies
Déambulé dans le quartier
Pour offrir malgré tout sa gaité.
Ce fut au premier jour de l'hiver
Par un froid polaire
Que l'ont le découvrit
Recroquevillé et sans vie.
Les premiéres feuilles étaient déja tombées
Un petit monsieur sur un banc assis
Emiettait pour les oiseaux du pain rassis.
il était enveloppé dans un manteau de pluie
A frissoner sous le crachin de PARIS.
Il était habitué à rester dans la rue
Car un chez lui il en avait plu.
Par moment il invitait les passants
A fredonner des chansons d'antan
A se transformer en PIAF pour un instant
Pour chanter la goualante du pauvre JEAN.
Il promenait sa silhouette
A travers le marché de la MUETTE.
A tendre aux commerçants sa main
Pour les premiéres piéces du matin.
Il était si menu
Qu'il donna à un monsieur ventru
Son dernier sourire
Avant les gelées à venir.
A l'approche de décembre
Il aurait aimé avoir une chambre
Au lieu d'un banc comme lit
Et des journaux comme abri.
Plus personne ne le revit
Avec sa gouaille et ses envies
Déambulé dans le quartier
Pour offrir malgré tout sa gaité.
Ce fut au premier jour de l'hiver
Par un froid polaire
Que l'ont le découvrit
Recroquevillé et sans vie.
PLUS JAMAIS ONT NE REVERRA
Dans un tiroir des souvenirs
Des lettres que l'ont n arrétent plus de lire
Des photos jaunies par le temps
Ou nous posions des années auparavant.
Des piéces ..un silence
Un parfum qui rappelle l'absence.
Seul le tic tac de l'horloge en permanence
Qui remémorre toujours une présence.
Le chien qui devant la porte attend
Que quelqu un lui dise que ce n'est plus comme avant
Des promenades par n'importe quel temps
Des rires et des jeux comme les enfants.
Dans l appartement des vas et viens
A tourner en rond pour des riens
A ne plus savoir quoi faire
A se demander si l avenir sera plus claire.
Les vacances que l'ont oublient plus
Qui défilent devant nos ames perdues.
Les regards que l'ont se portaient
que l ont ne reverra jamais.
Et le temps qui passe maintenant si lentement
Qui était si rapide il y a pas si longtemps
A attendre sans cesse des nouvelles
De l autre que l'ont croyaient éternel.
Les vacances que l ont oublient plus
Des lettres que l'ont n arrétent plus de lire
Des photos jaunies par le temps
Ou nous posions des années auparavant.
Des piéces ..un silence
Un parfum qui rappelle l'absence.
Seul le tic tac de l'horloge en permanence
Qui remémorre toujours une présence.
Le chien qui devant la porte attend
Que quelqu un lui dise que ce n'est plus comme avant
Des promenades par n'importe quel temps
Des rires et des jeux comme les enfants.
Dans l appartement des vas et viens
A tourner en rond pour des riens
A ne plus savoir quoi faire
A se demander si l avenir sera plus claire.
Les vacances que l'ont oublient plus
Qui défilent devant nos ames perdues.
Les regards que l'ont se portaient
que l ont ne reverra jamais.
Et le temps qui passe maintenant si lentement
Qui était si rapide il y a pas si longtemps
A attendre sans cesse des nouvelles
De l autre que l'ont croyaient éternel.
Les vacances que l ont oublient plus
dimanche 6 décembre 2009
L'AMOUR EN FUITE
Il est déja si tard
Que je n'entend plus un geste de ta part.
A l'approche de ma soixantaine
Tu n'as pas su saisir cette aubaine.
La pluie glacée du matin
Saisie mon corps de chagrin
Je marche pour m'apercevoir
Que j'ai perdu l'espoir de te revoir.
Trente ans de bien etre
Et cinq minutes pour disparaitre.
La voiture qui t'attendais
A détruit ma vie à jamais.
Je n'ai moins peur du lendemain
J'ai repris le gout des dessins
Des écrits et des calins
Qu'une autre partage dans mon quotidien.
J'attend malgré tout de toi un geste
Un appel que je refusais comme la peste
Aujourd'hui une lettre
Sera dans ma boite peut etre.
Que je n'entend plus un geste de ta part.
A l'approche de ma soixantaine
Tu n'as pas su saisir cette aubaine.
La pluie glacée du matin
Saisie mon corps de chagrin
Je marche pour m'apercevoir
Que j'ai perdu l'espoir de te revoir.
Trente ans de bien etre
Et cinq minutes pour disparaitre.
La voiture qui t'attendais
A détruit ma vie à jamais.
Je n'ai moins peur du lendemain
J'ai repris le gout des dessins
Des écrits et des calins
Qu'une autre partage dans mon quotidien.
J'attend malgré tout de toi un geste
Un appel que je refusais comme la peste
Aujourd'hui une lettre
Sera dans ma boite peut etre.
jeudi 3 décembre 2009
UN MATIN D'AUTOMNE
J'ai froid ce matin sous mon manteau de laine
J'admire la mer et le ciel de traine
Les vagues se brisent sur les rochers
Au loin arrive au port un chalutier
Les mouettes autour attendent leur pitance
Que les marins habitués leurs lancent.
Mes pensées vagabondent dans la nostalgie
Je fais aujourd'hui le bilan de ma vie.
Le soleil timide pointe le bout de son nez
Comme pour me faire un coucou de mon arrivée inopinée.
Je traverse dans ma tete les étapes
Sans que mon coeur tombe à la trappe.
Des doutes j 'en ai bien eu par moment
Mais pas un seul instant je n'ai eu de tourments.
Il commence à tomber désormais un crachin
Un épais brouillard enveloppe le matin
Tout se brouille subitement dans le lointain
Comme pour me dire qu'il est temps que je reprenne mon chemin.
J'admire la mer et le ciel de traine
Les vagues se brisent sur les rochers
Au loin arrive au port un chalutier
Les mouettes autour attendent leur pitance
Que les marins habitués leurs lancent.
Mes pensées vagabondent dans la nostalgie
Je fais aujourd'hui le bilan de ma vie.
Le soleil timide pointe le bout de son nez
Comme pour me faire un coucou de mon arrivée inopinée.
Je traverse dans ma tete les étapes
Sans que mon coeur tombe à la trappe.
Des doutes j 'en ai bien eu par moment
Mais pas un seul instant je n'ai eu de tourments.
Il commence à tomber désormais un crachin
Un épais brouillard enveloppe le matin
Tout se brouille subitement dans le lointain
Comme pour me dire qu'il est temps que je reprenne mon chemin.
mercredi 2 décembre 2009
PENSEE PARALYTIQUE
Je ne suis pas mort
Simplement je dors.
Plus rien en moi ne répond
J'ai fini de faire le trublion.
Qu'ont ils a me regarder
A toujours m'examiner
Leurs noirs regards
Me laisse un gout bizzare.
Suis je en sursis
Pour le reste de ma vie
Ou ai je encore un espoir
De ne plus tomber dans le désespoir.
Donnez moi ma canne et mon melon
Que j'aille ceuillir aux arbres les citrons
Apportez moi mes mocassins
Que je prennes le dernier train.
Ai je vraiment le choix de me ballader
Ou de courir dans les champs de blé
Ou es ce vraiment pour moi la fin
D'avoir la téte posée à tout jamais sur mon traversin.
J'ai fini maintenant de réver
Mes yeux n'arrétent plus d'etre mouillés
Je voudrais tellement lutter
Pour qu'un jour je puisse remarcher.
Simplement je dors.
Plus rien en moi ne répond
J'ai fini de faire le trublion.
Qu'ont ils a me regarder
A toujours m'examiner
Leurs noirs regards
Me laisse un gout bizzare.
Suis je en sursis
Pour le reste de ma vie
Ou ai je encore un espoir
De ne plus tomber dans le désespoir.
Donnez moi ma canne et mon melon
Que j'aille ceuillir aux arbres les citrons
Apportez moi mes mocassins
Que je prennes le dernier train.
Ai je vraiment le choix de me ballader
Ou de courir dans les champs de blé
Ou es ce vraiment pour moi la fin
D'avoir la téte posée à tout jamais sur mon traversin.
J'ai fini maintenant de réver
Mes yeux n'arrétent plus d'etre mouillés
Je voudrais tellement lutter
Pour qu'un jour je puisse remarcher.
mardi 1 décembre 2009
IL Y AVAIT UN ETE
Et puis il y avait un été
Un jour de grande marée
Le vent si fort souflait
Et toi sous l'arbre qui pleurait.
C'était ton premier frisson
Le regard de ce garçon
Les premiéres chaleurs d'adolescente
Et toi devant lui si tremblante.
Il est parti un matin
Aprés avoir profité de tes calins
De ton sourire et de ton corps d'enfant.
Tu avais à peine quinze ans.
Sur tes joues des larmes coulaient
Et les jours qui s'écoulaient.
Tu aurais tant aimé le revoir
Mais s'amenuisait ton espoir.
Sous l'arbre allongée
Tu n'as plus voulu finir l'été.
Un jour de grande marée
Le vent si fort souflait
Et toi sous l'arbre qui pleurait.
C'était ton premier frisson
Le regard de ce garçon
Les premiéres chaleurs d'adolescente
Et toi devant lui si tremblante.
Il est parti un matin
Aprés avoir profité de tes calins
De ton sourire et de ton corps d'enfant.
Tu avais à peine quinze ans.
Sur tes joues des larmes coulaient
Et les jours qui s'écoulaient.
Tu aurais tant aimé le revoir
Mais s'amenuisait ton espoir.
Sous l'arbre allongée
Tu n'as plus voulu finir l'été.
vendredi 27 novembre 2009
HUMOUR NOIR
Je me réveille ce matin
Tu es sombre comme un chagrin
A te plaindre de tout et de rien
J'aimerais tant que ce cauchemard est une fin.
De ma mémoire j'ai vidé ta présence
De mes tiroirs j'ai retiré nos photos de vacances
De mes yeux j'ai essuyé mes larmoiements
De mes mains j'ai arrété leurs tremblements.
De mon corps j'ai exorcisé mes tourments
De mes lévres j'ai stopé tes hurlements
De mon pied j'ai tapé ton fondement
De ma vie je t'ai rayé définitivement.
De mon avenir je n'ai plus tes désirs
De mon passé il ne me reste que des souvenirs
De mon présent c'est le grand chambardement
Avec une grosse pointe d'agacement.
Maintenant je t'ai mise à l'écart
Bien caché loin des regards
Dans un endroit trés frais
Pour que le crime soit parfait.
Tu es sombre comme un chagrin
A te plaindre de tout et de rien
J'aimerais tant que ce cauchemard est une fin.
De ma mémoire j'ai vidé ta présence
De mes tiroirs j'ai retiré nos photos de vacances
De mes yeux j'ai essuyé mes larmoiements
De mes mains j'ai arrété leurs tremblements.
De mon corps j'ai exorcisé mes tourments
De mes lévres j'ai stopé tes hurlements
De mon pied j'ai tapé ton fondement
De ma vie je t'ai rayé définitivement.
De mon avenir je n'ai plus tes désirs
De mon passé il ne me reste que des souvenirs
De mon présent c'est le grand chambardement
Avec une grosse pointe d'agacement.
Maintenant je t'ai mise à l'écart
Bien caché loin des regards
Dans un endroit trés frais
Pour que le crime soit parfait.
CES GENS LA
Il y avait chez ces gens la
Un monde qu'ils ne connaissaient pas.
Sur une dune de la mer du nord
Ils regardaient les départs et les arrivées du port.
De la mer et de la plage
Ils ne les avaient vu qu'en image.
Ils ne se les racontaient qu'en histoire
Avec de vagues souvenirs dans leur mémoire.
Tous les deux ils étaient la haut
A sucer des glaces menthe à l'eau
A rire des cris des mouettes
Et du vent sur leurs jambes qui les fouette.
Ils prenaient le large à regarder les bateaux
A s'imaginer des horizons nouveaux
A s'éloigner des rues de BEZONS
De leur foret et de leur cabanon.
Ils voyageaient dans des pays
Qu'ils auraient aimé faire dans leurs vies.
A traverser des continents
Au lieu de vivre comme des mendiants.
Le vent s'est soudainement calmé
Les mouettes ont fini de crier
Les dunes ont été déserté
Les deux repartent sans se retourner.
Un monde qu'ils ne connaissaient pas.
Sur une dune de la mer du nord
Ils regardaient les départs et les arrivées du port.
De la mer et de la plage
Ils ne les avaient vu qu'en image.
Ils ne se les racontaient qu'en histoire
Avec de vagues souvenirs dans leur mémoire.
Tous les deux ils étaient la haut
A sucer des glaces menthe à l'eau
A rire des cris des mouettes
Et du vent sur leurs jambes qui les fouette.
Ils prenaient le large à regarder les bateaux
A s'imaginer des horizons nouveaux
A s'éloigner des rues de BEZONS
De leur foret et de leur cabanon.
Ils voyageaient dans des pays
Qu'ils auraient aimé faire dans leurs vies.
A traverser des continents
Au lieu de vivre comme des mendiants.
Le vent s'est soudainement calmé
Les mouettes ont fini de crier
Les dunes ont été déserté
Les deux repartent sans se retourner.
lundi 16 novembre 2009
C'EST LA VIE
Ily a dans la vie ou tout va de travers
Des jours ou notre coeur a été mis en hiver
A se lever certains matins
Sans savoir que la journée sera sans fin.
A croire que notre ange gardien
A laisser tomber notre entrain
Pour nous retrouver à la croisée des chemins
Dans les méandres de notre destin.
Il faudrait si peu de chose
Pour que notre porte ne soit plus close
Et qu'elle s'entrebaille vers une éclaicie
Pour faire revenir nos envies.
Des jours ou notre coeur a été mis en hiver
A se lever certains matins
Sans savoir que la journée sera sans fin.
A croire que notre ange gardien
A laisser tomber notre entrain
Pour nous retrouver à la croisée des chemins
Dans les méandres de notre destin.
Il faudrait si peu de chose
Pour que notre porte ne soit plus close
Et qu'elle s'entrebaille vers une éclaicie
Pour faire revenir nos envies.
samedi 14 novembre 2009
DES VIEUX
Derriéres leurs rideaux ils s'ennuient
A regarder tous ces parapluies
Qui défilent sous la pluie
Avant que sonnent les douze coups de midi.
Des vieux s'atardent toujours pour manger
Pourtant ils n'ont plus grand chose à se raconter
Ils se font l'un vers l'autre des sourires
Et se replongent sans cesse dans leurs souvenirs.
A cet age la ils savent bien
Qu'ils ne sourient pas pour des riens
Ils ont plus l'habitude de pleurer
Et de se cacher derriére leurs volets baissés.
Dans leurs fauteuils ils attendent silencieux
Que la journée se termine pour le mieux.
Seule l'horloge ne les abandonne pas
Son tic tac est toujours présent dans ces moments la.
Des vieux n'ont pas l'habitude de sortir beaucoup
Seulement à la poste pour retirer des sous.
Puis ils marchent bras dessus bras dessous
Pour montrer aux voisins qu'ils ne sont pas encore dans le trou.
Ils sont si souvent fatigués
Que sur un banc à se reposer
Ils regardent les enfants jouer
Dans le square d'a coté.
Des vieux se plaignent souvent de la mort
Qui avance vers eux sans aucun remord.
Ils ne savent pas quand elle arrivera faire sa loi
Mais ils ne désespérent pas de la défier encore une fois.
Les derniéres feuilles ont été emportées par la précocité de l'hiver
La neige va remplacer les pluies de la semaine derniére.
Dans leur deux piéces des vieux attendent sans rien dire
Qu'un prochain rayon de soleil les aide à sortir.
A regarder tous ces parapluies
Qui défilent sous la pluie
Avant que sonnent les douze coups de midi.
Des vieux s'atardent toujours pour manger
Pourtant ils n'ont plus grand chose à se raconter
Ils se font l'un vers l'autre des sourires
Et se replongent sans cesse dans leurs souvenirs.
A cet age la ils savent bien
Qu'ils ne sourient pas pour des riens
Ils ont plus l'habitude de pleurer
Et de se cacher derriére leurs volets baissés.
Dans leurs fauteuils ils attendent silencieux
Que la journée se termine pour le mieux.
Seule l'horloge ne les abandonne pas
Son tic tac est toujours présent dans ces moments la.
Des vieux n'ont pas l'habitude de sortir beaucoup
Seulement à la poste pour retirer des sous.
Puis ils marchent bras dessus bras dessous
Pour montrer aux voisins qu'ils ne sont pas encore dans le trou.
Ils sont si souvent fatigués
Que sur un banc à se reposer
Ils regardent les enfants jouer
Dans le square d'a coté.
Des vieux se plaignent souvent de la mort
Qui avance vers eux sans aucun remord.
Ils ne savent pas quand elle arrivera faire sa loi
Mais ils ne désespérent pas de la défier encore une fois.
Les derniéres feuilles ont été emportées par la précocité de l'hiver
La neige va remplacer les pluies de la semaine derniére.
Dans leur deux piéces des vieux attendent sans rien dire
Qu'un prochain rayon de soleil les aide à sortir.
vendredi 13 novembre 2009
LA PETITE
Tu es si petite a coté
Des adultes à les regarder
Et à te demander pourquoi
Ils rient et ils pleurent parfois.
Derriére tes jouets de bois
Tu te fabriques un monde à toi.
Tu souris pour n'importe quoi
Devant les grimaces qu'ils te font des fois.
Tu es si petite prés de moi
A fixer devant toi
Cet univers que tu ne connais pas
Et que tu devines déja.
J'aimerais te voir si peu grandir
Pour ne pas découvrir ce monde à venir
Et pour rester à jamais l'enfant
Que tu es maintenant.
Des adultes à les regarder
Et à te demander pourquoi
Ils rient et ils pleurent parfois.
Derriére tes jouets de bois
Tu te fabriques un monde à toi.
Tu souris pour n'importe quoi
Devant les grimaces qu'ils te font des fois.
Tu es si petite prés de moi
A fixer devant toi
Cet univers que tu ne connais pas
Et que tu devines déja.
J'aimerais te voir si peu grandir
Pour ne pas découvrir ce monde à venir
Et pour rester à jamais l'enfant
Que tu es maintenant.
mardi 10 novembre 2009
LETTRE A LA VOISINE
Je vous écris cette lettre
Pour vous faire part de mon mal etre.
De vous voir tous les matins
Sans oser vous aborder en chemin.
Depuis des jours et des jours
J'aimerais vous avoir pour toujours
Mais j'ai si peur que vous ne soyez pas seule
Et que mon coeur ne subisse un deuil.
Dans la cour de vous voir arrivée
Derriére mes rideaux j'ai les yeux enflammés.
Votre démarche est si chaloupée
Que ma téte en est toute retournée.
A entendre dans l'escalier le bruit de vos pas
Je me demande toujours si vous allez sonner là!
C'est la voix d'un homme avec vous que j'appréhende
Ma déception ce jour là en serait encore plus grande.
Je ne souhaite jamais dans le futur
Entendre deux voix a travers les murs.
J'aimerais tant partagé avec vous un gateau
Que ce serait pour moi le jour le plus beau.
Mais depuis quatre jours je n'entend de vous plus rien
Meme plus l'aboiement de votre chien
Seul transperce le miaulement d'un chat
Ou étes vous pour me mettre dans cet état là?
Je regarde sans cesse derriére mes carreaux
Comme les soirs ou vous n'arriviez pas assez tot.
J'écoute le grincement de votre porte
Qui se referme d'une façon assez forte.
Ce n'est plus le bruit de vos pas que j'entendis
Cest la que je compris que vous étiez définitivement partie!
Pour vous faire part de mon mal etre.
De vous voir tous les matins
Sans oser vous aborder en chemin.
Depuis des jours et des jours
J'aimerais vous avoir pour toujours
Mais j'ai si peur que vous ne soyez pas seule
Et que mon coeur ne subisse un deuil.
Dans la cour de vous voir arrivée
Derriére mes rideaux j'ai les yeux enflammés.
Votre démarche est si chaloupée
Que ma téte en est toute retournée.
A entendre dans l'escalier le bruit de vos pas
Je me demande toujours si vous allez sonner là!
C'est la voix d'un homme avec vous que j'appréhende
Ma déception ce jour là en serait encore plus grande.
Je ne souhaite jamais dans le futur
Entendre deux voix a travers les murs.
J'aimerais tant partagé avec vous un gateau
Que ce serait pour moi le jour le plus beau.
Mais depuis quatre jours je n'entend de vous plus rien
Meme plus l'aboiement de votre chien
Seul transperce le miaulement d'un chat
Ou étes vous pour me mettre dans cet état là?
Je regarde sans cesse derriére mes carreaux
Comme les soirs ou vous n'arriviez pas assez tot.
J'écoute le grincement de votre porte
Qui se referme d'une façon assez forte.
Ce n'est plus le bruit de vos pas que j'entendis
Cest la que je compris que vous étiez définitivement partie!
lundi 9 novembre 2009
JE NE ME VOIS PAS MOURIR
C'est drole je ne me vois pas mourir
Je me sens dans une bulle que personne ne peut franchir.
J'ai l'impression d'etre la pour une éternité
A ne plus ruminer sur mon passé
Tant pis pour ceux qui me détestent
Et qui me fuient comme la peste.
Ils sont tous la à attendre
Que je sois dans le trou quitte à me pendre.
Pour les autres ils n'ont pas de soucis à se faire
Je ne suis pas pret a eux de me défaire.
Je leur colle à la peau
Comme une sangsue sortie de l'eau.
J'espére qu'un jour de la haut
Vous me saluerez en otant votre chapeau.
Car sur terre je serais le seul étre vivant
A penser a vous tout le temps!
Je me sens dans une bulle que personne ne peut franchir.
J'ai l'impression d'etre la pour une éternité
A ne plus ruminer sur mon passé
Tant pis pour ceux qui me détestent
Et qui me fuient comme la peste.
Ils sont tous la à attendre
Que je sois dans le trou quitte à me pendre.
Pour les autres ils n'ont pas de soucis à se faire
Je ne suis pas pret a eux de me défaire.
Je leur colle à la peau
Comme une sangsue sortie de l'eau.
J'espére qu'un jour de la haut
Vous me saluerez en otant votre chapeau.
Car sur terre je serais le seul étre vivant
A penser a vous tout le temps!
dimanche 8 novembre 2009
93
Dans leur hlm de banlieue
Ils ne respectent plus leurs vieux
Ce sont eux qui font la loi
Et les anciens n'ont plus le choix.
Ils sont là dans les rues et sur les trottoirs
Jaunes,blancs,beurrs,noirs
A défendre leurs territoires
A trainer leurs désespoirs.
A caillasser les hommes de loi
Ils sont prets à n'importe quoi
Pourvu que ce soit le foutoir
Ils en jouissent de jour comme le soir.
Pour la mort d'un d'entre eux
Ils se déchainent à mettre le feu
Et personne ne peut les arréter
Dans leurs folles équipées.
Ils térrorisent les gens
Petits ou bien grands
A se piquer leur saleté
Pour se rendre dans leur paradis doré.
Ils sont dans la journée a ne pas travailler
A trainer ensemble dans leur quartier
Avec leur cagoule pour ne pas etre identifié
Et démolir sans remord des santés.
A les prendre un par un
Ce sont tous des petits saints
Mais à dix ou bien vingt
Ils jouent les caids du coin.
Se lever devant la marseillaise
Pour eux c'est de la foutaise
Le respect ils ne connaissent pas
Ils n'ont jamais appris ça.
Ils ne respectent plus leurs vieux
Ce sont eux qui font la loi
Et les anciens n'ont plus le choix.
Ils sont là dans les rues et sur les trottoirs
Jaunes,blancs,beurrs,noirs
A défendre leurs territoires
A trainer leurs désespoirs.
A caillasser les hommes de loi
Ils sont prets à n'importe quoi
Pourvu que ce soit le foutoir
Ils en jouissent de jour comme le soir.
Pour la mort d'un d'entre eux
Ils se déchainent à mettre le feu
Et personne ne peut les arréter
Dans leurs folles équipées.
Ils térrorisent les gens
Petits ou bien grands
A se piquer leur saleté
Pour se rendre dans leur paradis doré.
Ils sont dans la journée a ne pas travailler
A trainer ensemble dans leur quartier
Avec leur cagoule pour ne pas etre identifié
Et démolir sans remord des santés.
A les prendre un par un
Ce sont tous des petits saints
Mais à dix ou bien vingt
Ils jouent les caids du coin.
Se lever devant la marseillaise
Pour eux c'est de la foutaise
Le respect ils ne connaissent pas
Ils n'ont jamais appris ça.
dimanche 11 octobre 2009
LE GAY TRISTE
Il habitait un petit studio
En face d'une station de métro
Non loin du jardin des tuileries
A 2 pas de la rue de rivoli.
Derriére ses rideaux
Il regardait passer les badauds
Comme pour passer le temps
D'etre trop seul souvent.
Des amis il en avait bien
Mais pas pour les calins
Alors il restait dans son coin
A attendre la compagnie du voisin.
Il travaillait dans une boite de nuit
Avec des folles et leurs envies
Il était toujours à l 'écart
Quand d'autres filaient des rencarts.
Il rentrait vers 1 heure du matin
Sautait dans le dernier transport en commun
Pour retrouver sans entrain
Sa vie et son traversin.
Il était triste devant son miroir
A retirer ses effets du soir
A s'évertuer dans la solitude
Par gout ou par habitude.
Parfois il recevait des hommes
Moyennant une certaine somme
Ce n'était par pour ce faire du bien
Mais pour arrondir ses fins de mois.
Aprés il pleurait doucement
Toujours en ce demandant
Pourquoi c'était comme ça
La vie qu'il avait la.
Souvent il se sentait sale
Pour des passes a deux balles
Alors il se regardait dans sa glace
En s'essuyant de la main toutes ses traces.
Tous les jours c'était la meme rengaine
A trainer sans cesse sa peine
A ne plus pouvoir s'aimer
A trop souvent se détester.
En face d'une station de métro
Non loin du jardin des tuileries
A 2 pas de la rue de rivoli.
Derriére ses rideaux
Il regardait passer les badauds
Comme pour passer le temps
D'etre trop seul souvent.
Des amis il en avait bien
Mais pas pour les calins
Alors il restait dans son coin
A attendre la compagnie du voisin.
Il travaillait dans une boite de nuit
Avec des folles et leurs envies
Il était toujours à l 'écart
Quand d'autres filaient des rencarts.
Il rentrait vers 1 heure du matin
Sautait dans le dernier transport en commun
Pour retrouver sans entrain
Sa vie et son traversin.
Il était triste devant son miroir
A retirer ses effets du soir
A s'évertuer dans la solitude
Par gout ou par habitude.
Parfois il recevait des hommes
Moyennant une certaine somme
Ce n'était par pour ce faire du bien
Mais pour arrondir ses fins de mois.
Aprés il pleurait doucement
Toujours en ce demandant
Pourquoi c'était comme ça
La vie qu'il avait la.
Souvent il se sentait sale
Pour des passes a deux balles
Alors il se regardait dans sa glace
En s'essuyant de la main toutes ses traces.
Tous les jours c'était la meme rengaine
A trainer sans cesse sa peine
A ne plus pouvoir s'aimer
A trop souvent se détester.
mardi 22 septembre 2009
ET UN JOUR...LA VIE
Elle nous raméne à la réalité
Celle dont nous avons tous révé
Avec ses tranches dorées
Et ses moments de vérité.
Sans crier garde elle nous tombe dessus
E t s'évertue pour que nous soyons les bienvenus.
D'entrée de jeu elle distribue les cartes
Elle favorise les uns et les autres elle les écarte.
Elle nous méne par le bout du nez
Quand ont se plient pas à sa volonté.
Elle visite nos mémoires
Pour nous abuser de doute et d'espoir.
Nous ne sommes pas sur le méme pied d'égalité
Tout dépend des méandres de la société.
Sur sa route elle en perd certains
Et rattrape ceux avec qui elle se sent bien.
Nous sommes trop nombreux à attendre
Qu'elle se décide à nous dire la direction à prendre.
Avec elle c'est tout ou rien
Ont est bons ou vauriens.
Puis un jour elle nous quitte
Plus ou moins à la va vite
Comme si nous avions jamais existé
Pour rejoindre un monde de parité.
Celle dont nous avons tous révé
Avec ses tranches dorées
Et ses moments de vérité.
Sans crier garde elle nous tombe dessus
E t s'évertue pour que nous soyons les bienvenus.
D'entrée de jeu elle distribue les cartes
Elle favorise les uns et les autres elle les écarte.
Elle nous méne par le bout du nez
Quand ont se plient pas à sa volonté.
Elle visite nos mémoires
Pour nous abuser de doute et d'espoir.
Nous ne sommes pas sur le méme pied d'égalité
Tout dépend des méandres de la société.
Sur sa route elle en perd certains
Et rattrape ceux avec qui elle se sent bien.
Nous sommes trop nombreux à attendre
Qu'elle se décide à nous dire la direction à prendre.
Avec elle c'est tout ou rien
Ont est bons ou vauriens.
Puis un jour elle nous quitte
Plus ou moins à la va vite
Comme si nous avions jamais existé
Pour rejoindre un monde de parité.
vendredi 18 septembre 2009
DERNIER VOYAGE
Viens voir la mer
Ce jour de tempéte d'hiver.
Le vent fouette ton visage
Ridé par l'usure de l'age.
Entend tu le cri des mouettes
Qui volent au dessus de nos tétes
Comme pour annoncer
Notre subite arrivée.
Tu as les yeux si fatigués
D'avoir si longtemps marché.
Serre moi la main
Pour avancer sous le crachin.
Il fait si triste ce matin
De te voir à ce point
Flottant dans ton manteau
Toi que je voyais si beau.
Rentrons maintenant
La maison t'attend
Tu as l'air si épuisé
Que je ne veux plus te quitter.
Ce jour de tempéte d'hiver.
Le vent fouette ton visage
Ridé par l'usure de l'age.
Entend tu le cri des mouettes
Qui volent au dessus de nos tétes
Comme pour annoncer
Notre subite arrivée.
Tu as les yeux si fatigués
D'avoir si longtemps marché.
Serre moi la main
Pour avancer sous le crachin.
Il fait si triste ce matin
De te voir à ce point
Flottant dans ton manteau
Toi que je voyais si beau.
Rentrons maintenant
La maison t'attend
Tu as l'air si épuisé
Que je ne veux plus te quitter.
vendredi 11 septembre 2009
ILLUSION PERDUE
Illusion perdue
Je marche seul dans la rue
La musique dans les oreilles
Je file droit vers le soleil.
Je n'ai plus à mes cotés ta présence
La compagne de mes insouciances
Le réve de mon enfance
Je ne crains plus le silence.
La solitude m'a si souvent pesé
Qu'elle est devenue l'amie de mes pensées.
Celle a qui je me confie
Quand le cafard m'envahit
J'ai perdu en cours de route
Tant d'etre dans le doute
Que seul j'essaie d'exister
Dans ce monde déchiré.
Je marche seul dans la rue
La musique dans les oreilles
Je file droit vers le soleil.
Je n'ai plus à mes cotés ta présence
La compagne de mes insouciances
Le réve de mon enfance
Je ne crains plus le silence.
La solitude m'a si souvent pesé
Qu'elle est devenue l'amie de mes pensées.
Celle a qui je me confie
Quand le cafard m'envahit
J'ai perdu en cours de route
Tant d'etre dans le doute
Que seul j'essaie d'exister
Dans ce monde déchiré.
lundi 7 septembre 2009
J' M ECLATE
Je swingue sous la pluie
J'ai le coeur qui jouis
Je me sens si léger
Comme une créme allégée.
J'ai le corps sous la flotte
J'ai les jambes qui trottent
Comme un pur sang
Qui frétille dans les champs.
Je suis seul aujourd'hui
A m'éclater sans que j'm'ennui
A vivre sans elle
Loin de sa bande d'intellectuelles.
Putain que c'est bon
De se retrouver loin de ces cons
Qui voulaient refaire le monde
Autour d'une table ronde.
J'imagine la vie
Avec elle dans mon lit
Qui pourrirait mes envies
A coup de lecture de phylosophie.
Je marche,je courre,je rie
J'apprécie à sa juste valeur ma vie
Avant de m'enfoncer tout doucement
Dans la solitude que j'aime tant.
J'ai le coeur qui jouis
Je me sens si léger
Comme une créme allégée.
J'ai le corps sous la flotte
J'ai les jambes qui trottent
Comme un pur sang
Qui frétille dans les champs.
Je suis seul aujourd'hui
A m'éclater sans que j'm'ennui
A vivre sans elle
Loin de sa bande d'intellectuelles.
Putain que c'est bon
De se retrouver loin de ces cons
Qui voulaient refaire le monde
Autour d'une table ronde.
J'imagine la vie
Avec elle dans mon lit
Qui pourrirait mes envies
A coup de lecture de phylosophie.
Je marche,je courre,je rie
J'apprécie à sa juste valeur ma vie
Avant de m'enfoncer tout doucement
Dans la solitude que j'aime tant.
vendredi 4 septembre 2009
LA CONSCIENCE
Tu as l'air si loin dans tes pensées
A scruter le soleil se lever
Tu rejétes d'un revers de la main
Le regard que je pose vers ton destin.
Tu le regarde vers toi s'avancer
Le futur que tu trouves si brouillé
A émettre tant de doutes
Que devant toi tu redoutes.
Tu réves à son retour
A la caresser sans détour
A imaginer l'enfant
Qui naitra au printemps.
Tu es si pale que dans toi
J'essaie de t'offrir un peu de joie
A oter la peine que tu as
A pleurer tout bas.
Je visite ton corps
A extirper tes remords
A vouloir à tort
Ne plus etre fort.
Je t'emmenerais vers un monde meilleur
Faites de tendresses et de douceurs
Ou tu auras tout le loisir
De méditer vers ton avenir.
A scruter le soleil se lever
Tu rejétes d'un revers de la main
Le regard que je pose vers ton destin.
Tu le regarde vers toi s'avancer
Le futur que tu trouves si brouillé
A émettre tant de doutes
Que devant toi tu redoutes.
Tu réves à son retour
A la caresser sans détour
A imaginer l'enfant
Qui naitra au printemps.
Tu es si pale que dans toi
J'essaie de t'offrir un peu de joie
A oter la peine que tu as
A pleurer tout bas.
Je visite ton corps
A extirper tes remords
A vouloir à tort
Ne plus etre fort.
Je t'emmenerais vers un monde meilleur
Faites de tendresses et de douceurs
Ou tu auras tout le loisir
De méditer vers ton avenir.
lundi 10 août 2009
QUELQUES ANNEES DE MOINS
Il suffisait d'un rien
Pour que ma vie trace ton chemin
Peut etre quelques années de moins
Et j'aurais suivi ton entrain.
Je ne pourrais jamais rajeunir
Pour satisfaire tous tes plaisirs.
Je ne peux que sourire
A te voir contre moi te blottir.
Je sais que d'ici quelques temps
Je ne pourrais plus suivre ton allant.
Les vagues de ton insouciance
A giront sur ma patience.
J'aurais tant voulu avoir ton age
Pour t'emmener dans mon sillage
A la rencontre de la vie
Et croquer toutes tes envies.
Pour que ma vie trace ton chemin
Peut etre quelques années de moins
Et j'aurais suivi ton entrain.
Je ne pourrais jamais rajeunir
Pour satisfaire tous tes plaisirs.
Je ne peux que sourire
A te voir contre moi te blottir.
Je sais que d'ici quelques temps
Je ne pourrais plus suivre ton allant.
Les vagues de ton insouciance
A giront sur ma patience.
J'aurais tant voulu avoir ton age
Pour t'emmener dans mon sillage
A la rencontre de la vie
Et croquer toutes tes envies.
vendredi 7 août 2009
LETTRE FINALE D 'UNE PASSION
Mon coeur s'est lassé
Il en est revenu blessé
Comme un petit soldat
A la fin d'un combat.
La passion a tout ravagé
De ce qui nous restait d'humanité.
Une pause a suffit
A détruire nos deux vies.
Quelle était longue ton absence
A mettre mon ame en convalescence
A vivre sans nouvelles
L'existence est parfois si cruelle.
Tu reviendras sans moi
Seule à partager tes émois
A attendre un appel
Comme une jouvencelle.
Tu m'a définitivement perdu
A vouloir m'avoir tout cru
A espérer me posséder
Comme tous les hommes qui t 'ont aimé.
Peut etre n'es tu pas faite pour le bonheur
A détruire sans cesse ce qui était bon dans ton coeur.
Tu naviguais ces derniers temps
Comme dans l'eau trouble d'un étang.
Tu t'inquiétais toujours pour moi
Que c'est pour toi que j'ai peur pour les prochains mois.
Tu es partie en dépression
En apprenant la fin de notre liaison.
Il en est revenu blessé
Comme un petit soldat
A la fin d'un combat.
La passion a tout ravagé
De ce qui nous restait d'humanité.
Une pause a suffit
A détruire nos deux vies.
Quelle était longue ton absence
A mettre mon ame en convalescence
A vivre sans nouvelles
L'existence est parfois si cruelle.
Tu reviendras sans moi
Seule à partager tes émois
A attendre un appel
Comme une jouvencelle.
Tu m'a définitivement perdu
A vouloir m'avoir tout cru
A espérer me posséder
Comme tous les hommes qui t 'ont aimé.
Peut etre n'es tu pas faite pour le bonheur
A détruire sans cesse ce qui était bon dans ton coeur.
Tu naviguais ces derniers temps
Comme dans l'eau trouble d'un étang.
Tu t'inquiétais toujours pour moi
Que c'est pour toi que j'ai peur pour les prochains mois.
Tu es partie en dépression
En apprenant la fin de notre liaison.
jeudi 30 juillet 2009
LES QUATRE SAISONS
C'était la nuit c'était l hiver
Dans ce froid elle avait le coeur a l envers
Les réves les plus divers
Lui passaient par la téte sans en avoir l air.
Elle marchait dans l'inconnu
A la recherche du temps perdu.
Sur la neige de janvier
Elle avait marqué ses pas pour le retrouver.
C'était le jour c'était le printemps
Les fleurs embaumaient son ame d 'enfant.
Elle était là a attendre son amant
Febrile qu il ne vienne pas dés a présent.
Elle était si belle dans sa robe légére
A l abri des courants d'air
Son envie avait illuminé son visage
Remplacé par la peur de tourner la page.
C'était le matin c'était l'été
En jeans court les cheveux tréssés
Elle était revenu dans le jardin d'a coté
Avec l'infime espoir de le rencontrer.
Elle était si triste comme un etre désabusé
D'avoir perdu son amour qu'elle croyait si lié
Elle l'aura attendu les yeux embués
A espérer le retrouver comme avant d'etre séparé.
C'était un soir c'était l'automne
Elle est heureuse et elle fredonne
D'avoir retrouver son amour
A la croisé d 'un carrefour.
Dans ce froid elle avait le coeur a l envers
Les réves les plus divers
Lui passaient par la téte sans en avoir l air.
Elle marchait dans l'inconnu
A la recherche du temps perdu.
Sur la neige de janvier
Elle avait marqué ses pas pour le retrouver.
C'était le jour c'était le printemps
Les fleurs embaumaient son ame d 'enfant.
Elle était là a attendre son amant
Febrile qu il ne vienne pas dés a présent.
Elle était si belle dans sa robe légére
A l abri des courants d'air
Son envie avait illuminé son visage
Remplacé par la peur de tourner la page.
C'était le matin c'était l'été
En jeans court les cheveux tréssés
Elle était revenu dans le jardin d'a coté
Avec l'infime espoir de le rencontrer.
Elle était si triste comme un etre désabusé
D'avoir perdu son amour qu'elle croyait si lié
Elle l'aura attendu les yeux embués
A espérer le retrouver comme avant d'etre séparé.
C'était un soir c'était l'automne
Elle est heureuse et elle fredonne
D'avoir retrouver son amour
A la croisé d 'un carrefour.
samedi 18 avril 2009
LA LETTRE DE RUPTURE
J'avais aimé tes sourires
Tes éclats de rire
Tes envies de partager
Tous ce qui nous avaient lié.
Je n'aimais plus nos promenades dans la nature
Que nous avions limité au fur et à mesure
A cause de la dégradation de notre amour
Et Qui s'était détruit comme un compte à rebours.
Je n'ai plus la force de t'aimer
Toi que j'avais idéalisé
Que j'avais protégé
Tel une enfant gatée.
Je te demande pardon
D'avoir pris cette décision.
Je vois déja tes sanglots
Noyés tes yeux si beaux.
Je ne voudrais pas que tu m'en veuille
Et que tu t'étiole comme un arbre sans ses feuilles.
De l'amour tu en retrouveras
A partager comme c'était notre cas.
Tes éclats de rire
Tes envies de partager
Tous ce qui nous avaient lié.
Je n'aimais plus nos promenades dans la nature
Que nous avions limité au fur et à mesure
A cause de la dégradation de notre amour
Et Qui s'était détruit comme un compte à rebours.
Je n'ai plus la force de t'aimer
Toi que j'avais idéalisé
Que j'avais protégé
Tel une enfant gatée.
Je te demande pardon
D'avoir pris cette décision.
Je vois déja tes sanglots
Noyés tes yeux si beaux.
Je ne voudrais pas que tu m'en veuille
Et que tu t'étiole comme un arbre sans ses feuilles.
De l'amour tu en retrouveras
A partager comme c'était notre cas.
jeudi 16 avril 2009
L'AMOUR EN EQUILIBRE
Que m'arrive t-il
Pour avoir le coeur sur un fil
D'etre toujours en équilibre
Malgré que ma vie ne soit pas libre.
J'attend sans cesse ton approche
Malgré que tu ne sois pas proche
A me faire beau pour pas etre moche
Et d'etre à toi dans ma caboche.
Que prétend tu etre pour faire chavirer
Mon existence de vieux con abimé.
En avais tu le droit
D'exortiser tous mes émois.
Tu es entré un jour par hasard
Pour me retrouver dans ce traquenard
A ne plus aujourd'hui quoi faire
Que de me cacher à mille lieu sous terre.
Tu as ébloui comme par magie mon égo
En laissant de coté mes sensations de macho
Pour redonner à ma vie un coup de fouet
Et à en récolter maintenant tous les bienfaits.
J'avais le coeur en hiver
A me plaindre de ne plus plaire
A pleurer d'étre trop vieux
Que je suis devenu le plus beau à tes yeux.
Je ne veux pas redescendre mon ange
Et donne moi l'envie comme les archanges
D'etre toujours sous un nuage
Pour ne plus m'apercevoir de notre différence d'age.
Pour avoir le coeur sur un fil
D'etre toujours en équilibre
Malgré que ma vie ne soit pas libre.
J'attend sans cesse ton approche
Malgré que tu ne sois pas proche
A me faire beau pour pas etre moche
Et d'etre à toi dans ma caboche.
Que prétend tu etre pour faire chavirer
Mon existence de vieux con abimé.
En avais tu le droit
D'exortiser tous mes émois.
Tu es entré un jour par hasard
Pour me retrouver dans ce traquenard
A ne plus aujourd'hui quoi faire
Que de me cacher à mille lieu sous terre.
Tu as ébloui comme par magie mon égo
En laissant de coté mes sensations de macho
Pour redonner à ma vie un coup de fouet
Et à en récolter maintenant tous les bienfaits.
J'avais le coeur en hiver
A me plaindre de ne plus plaire
A pleurer d'étre trop vieux
Que je suis devenu le plus beau à tes yeux.
Je ne veux pas redescendre mon ange
Et donne moi l'envie comme les archanges
D'etre toujours sous un nuage
Pour ne plus m'apercevoir de notre différence d'age.
samedi 11 avril 2009
MON INSOMNIE
Tu exaspéres mes nuits
Tu flattes mon ennui
Tu gaches ma vie
A etre présente par mépris.
Tu frappes a minuit
Quand d'autres dorment jusqu'à l'envie.
A m'extraire de mon lit
Tu es contente et tu en jouis.
A l'inverse d'une vieille maitresse
Tu ne me met pas le coeur en liesse
Tu as si peu d'indulgence
Que j'ai fini par céder à tes exigences.
Depuis des années que tu es en moi
Je me suis habitué à ta loi.
Mais il y a des moments parfois
Que tu me casses vraiment les noix.
Tu flattes mon ennui
Tu gaches ma vie
A etre présente par mépris.
Tu frappes a minuit
Quand d'autres dorment jusqu'à l'envie.
A m'extraire de mon lit
Tu es contente et tu en jouis.
A l'inverse d'une vieille maitresse
Tu ne me met pas le coeur en liesse
Tu as si peu d'indulgence
Que j'ai fini par céder à tes exigences.
Depuis des années que tu es en moi
Je me suis habitué à ta loi.
Mais il y a des moments parfois
Que tu me casses vraiment les noix.
jeudi 2 avril 2009
LA MERE
J'avais si mal de te voir
Dans l'immensité du désespoir
A ne plus t'accrocher à la vie
Dans ton lit aujourd'hui tu es parti.
Je te revois sans cesse
A pleurer sur tes faiblesses
A ne plus croire en tes richesses
A ne plus vouloir partager ta détresse.
J'aurai tant désirer que tu te battes
A u lieu que ce soit la mort qui te flatte.
Tu n'es maintenant plus la
Que tu me manques déja.
Je n'entendrais plus jamais ta voix
Me raconter des histoires d'autrefois.
Devant ton cerceuil
Je me sens si seul
A penser que la haut
Papa a du te garder une place au chaud.
Je n ai pas aimé que tu partes si tot
Mais parfois la vie est remplie de sanglots.
Dans ton fauteuil tu n'avais plus de réves
Que déja ton corps était en gréve.
A ne plus vouloir t alimenter
Je savais que la mort avait commencé à t appeler.
Je suis maintenant orphelin de toi
A pleurer entre mes doigts.
Me reste t-il encore du temps
Pour te dire je t'aime maman.
Dans l'immensité du désespoir
A ne plus t'accrocher à la vie
Dans ton lit aujourd'hui tu es parti.
Je te revois sans cesse
A pleurer sur tes faiblesses
A ne plus croire en tes richesses
A ne plus vouloir partager ta détresse.
J'aurai tant désirer que tu te battes
A u lieu que ce soit la mort qui te flatte.
Tu n'es maintenant plus la
Que tu me manques déja.
Je n'entendrais plus jamais ta voix
Me raconter des histoires d'autrefois.
Devant ton cerceuil
Je me sens si seul
A penser que la haut
Papa a du te garder une place au chaud.
Je n ai pas aimé que tu partes si tot
Mais parfois la vie est remplie de sanglots.
Dans ton fauteuil tu n'avais plus de réves
Que déja ton corps était en gréve.
A ne plus vouloir t alimenter
Je savais que la mort avait commencé à t appeler.
Je suis maintenant orphelin de toi
A pleurer entre mes doigts.
Me reste t-il encore du temps
Pour te dire je t'aime maman.
dimanche 29 mars 2009
LA JEUNE FEMME ET LES ROSES
La jeune femme depuis des années admirait ses roses
Pendant que son vieux mari poéte écrivait des proses.
De son jardin idyllique
Elle avait des pensées bucoliques.
Dans sa robe de soie blanche
Les mains sur ses hanches
Elle peignait dans sa mémoire
La toile qu'elle réaliserait le soir.
Elle faisait des réves étranges
Comme de voler sous les louanges
Entre nuages et archanges
Ou de se baigner dans le gange
Pour purifier son ame d'ange.
Dans sa grande prison dorée
Qu'il lui avait tissé comme une araignée
Elle souriait par habitude
Prés de toutes ses turpitudes.
Le soleil lui caressait le visage
Comme pour lui oter les traças de l 'outrage.
A vivre recluse de tout
Elle était devenue un etre fou.
Pendant que son vieux mari poéte écrivait des proses.
De son jardin idyllique
Elle avait des pensées bucoliques.
Dans sa robe de soie blanche
Les mains sur ses hanches
Elle peignait dans sa mémoire
La toile qu'elle réaliserait le soir.
Elle faisait des réves étranges
Comme de voler sous les louanges
Entre nuages et archanges
Ou de se baigner dans le gange
Pour purifier son ame d'ange.
Dans sa grande prison dorée
Qu'il lui avait tissé comme une araignée
Elle souriait par habitude
Prés de toutes ses turpitudes.
Le soleil lui caressait le visage
Comme pour lui oter les traças de l 'outrage.
A vivre recluse de tout
Elle était devenue un etre fou.
dimanche 15 mars 2009
AMOUR...AMITIE
Je serais toujours à ton écoute
Ca ne fait pas l'ombre d'un doute
Je ne pourrais pas t'offrir un avenir
Mais que des moments de plaisirs.
Je te fabriquerais des réves
Que tu imagineras sur la gréve
Face à l'immensité de l'océan agité
Comme ton envie d'étre sans cesse aimé.
Je te donnerais la force
Comme l'arbre dans son écorce
Pour t'évader de ta lassitude
D'etre toujours dans la solitude.
Je t'inventerais des paysages
De camargue ou d'alpage.
Je dessinerais ton visage
Et je t'écrirais les plus belles pages.
Je m'en irais quand tu me le demanderas
Comme je suis venu vers toi à petits pas.
j'aurai trop mal de te voir aimer
Que j'accepterais ta décision de m'éloigner.
Ca ne fait pas l'ombre d'un doute
Je ne pourrais pas t'offrir un avenir
Mais que des moments de plaisirs.
Je te fabriquerais des réves
Que tu imagineras sur la gréve
Face à l'immensité de l'océan agité
Comme ton envie d'étre sans cesse aimé.
Je te donnerais la force
Comme l'arbre dans son écorce
Pour t'évader de ta lassitude
D'etre toujours dans la solitude.
Je t'inventerais des paysages
De camargue ou d'alpage.
Je dessinerais ton visage
Et je t'écrirais les plus belles pages.
Je m'en irais quand tu me le demanderas
Comme je suis venu vers toi à petits pas.
j'aurai trop mal de te voir aimer
Que j'accepterais ta décision de m'éloigner.
dimanche 8 mars 2009
SUR LA BERGE
Sous le pont coule la seine
Pendant qu'une péniche s'y traine.
Le soleil sourit de l'arrivée du printemps
Un léger vent bruisse dans les arbres attenants.
Sur la berge un couple dissimule sa peine
Aprés des disputes quotidiennes
A s'arracher des je t'aimes
Avec leurs faces de caréme.
Des amants exibent leurs corps
En murmurant des j'tadores
Pendant que des jeunes tourtereaux pleins de vie
Aiguisent leur tout nouvel appétit.
Une jeune fille cache son ennui
A épier les situations d'autrui
Pendant sa pose du midi
Et s'invente un scénario de leurs vies.
Deux petits vieux main dans la main
Entrainent leurs jambes par pas restreints
Vers les premiers beaux jours arrivés
Et sortent de la torpeur leurs corps fatigués.
Dans son abri de fortune
Le sdf déshabille du regard la brune
Qui aguiche un beau galant
Pour un quard 'heure d'enchantement.
Un pécheur un peu plus loin
Titille l'ablette dans son coin
Tout en sachant pertinament
Qu'il reviendra bredouille tout en pestant.
Un jeune homme se sachant par la médecine condamnée
Devant l'eau et ses noires pensées
Se demande si aujourd'hui
Il aura le courage de s'oter la vie.
Tous ces gens d'aspect différent
Se retrouvérent au méme moment
Et au méme endroit
Face à leur divergent choix.
Pendant qu'une péniche s'y traine.
Le soleil sourit de l'arrivée du printemps
Un léger vent bruisse dans les arbres attenants.
Sur la berge un couple dissimule sa peine
Aprés des disputes quotidiennes
A s'arracher des je t'aimes
Avec leurs faces de caréme.
Des amants exibent leurs corps
En murmurant des j'tadores
Pendant que des jeunes tourtereaux pleins de vie
Aiguisent leur tout nouvel appétit.
Une jeune fille cache son ennui
A épier les situations d'autrui
Pendant sa pose du midi
Et s'invente un scénario de leurs vies.
Deux petits vieux main dans la main
Entrainent leurs jambes par pas restreints
Vers les premiers beaux jours arrivés
Et sortent de la torpeur leurs corps fatigués.
Dans son abri de fortune
Le sdf déshabille du regard la brune
Qui aguiche un beau galant
Pour un quard 'heure d'enchantement.
Un pécheur un peu plus loin
Titille l'ablette dans son coin
Tout en sachant pertinament
Qu'il reviendra bredouille tout en pestant.
Un jeune homme se sachant par la médecine condamnée
Devant l'eau et ses noires pensées
Se demande si aujourd'hui
Il aura le courage de s'oter la vie.
Tous ces gens d'aspect différent
Se retrouvérent au méme moment
Et au méme endroit
Face à leur divergent choix.
samedi 7 mars 2009
TERRE D'ACCEUIL
Il venait d'un pays
Par la guerre meurtri
Sur un bateau de naufrage
Rescapé par son courage.
Il venait sans rien
Que d'espoir entre ses mains
Pour chercher un répit
Et croire encore au paradis.
Adossé à un mur
Il révait d'un monde pur
A trouver son chemin
Pour ne plus étre clandestin.
De ses poings il espérait faire fortune
Pour etre dans les journaux à la une.
Il voulait sortir de sa vie
Que le destin lui avait construit.
Il scrutait l'horizon de la plage
Calais était son point d'ancrage.
Il révait de l'ANGLETERRE pas comme un linceul
Mais une patrie pour terre d'acceuil.
Par la guerre meurtri
Sur un bateau de naufrage
Rescapé par son courage.
Il venait sans rien
Que d'espoir entre ses mains
Pour chercher un répit
Et croire encore au paradis.
Adossé à un mur
Il révait d'un monde pur
A trouver son chemin
Pour ne plus étre clandestin.
De ses poings il espérait faire fortune
Pour etre dans les journaux à la une.
Il voulait sortir de sa vie
Que le destin lui avait construit.
Il scrutait l'horizon de la plage
Calais était son point d'ancrage.
Il révait de l'ANGLETERRE pas comme un linceul
Mais une patrie pour terre d'acceuil.
dimanche 1 mars 2009
NOSTALGIE
Je te regarde toi nostalgie
Comme un gamin qui n'a pas vieilli.
Mon coeur n'est désormais plus au présent
Mais à une époque que j'appellerais bon temps.
Des souvenirs envahissaient mon cerveau
Comme la brume qui enveloppe un bateau.
Je suis revenu voir la mer
Ses dunes et ses chardons d'hiver.
Le jardin de mes parents
Pensée de mes yeux d'enfant
Embués à revoir ma mére
Arrosée ses roses trémiéres
Et mon pére sur la terrasse
Qui triait ses paperasses
Pendant que mon grand pére sur les dunes
Zieutait les nudistes pour pas une tune
Et qui nous revenait tout émoustillé
A regretter sa jeunesse envolée.
Je me rappelle les aprés bains
Ou se réunissaient tous les copains
Autour d'un pastis et d'une partie de boules
Pour se terminer par des frites moules.
Il fait gris ce matin dans mon coeur
Mais je garde en mémoire tout ce bonheur.
Je repars avec mes souvenirs
Que rien ne viendras ternir.
Comme un gamin qui n'a pas vieilli.
Mon coeur n'est désormais plus au présent
Mais à une époque que j'appellerais bon temps.
Des souvenirs envahissaient mon cerveau
Comme la brume qui enveloppe un bateau.
Je suis revenu voir la mer
Ses dunes et ses chardons d'hiver.
Le jardin de mes parents
Pensée de mes yeux d'enfant
Embués à revoir ma mére
Arrosée ses roses trémiéres
Et mon pére sur la terrasse
Qui triait ses paperasses
Pendant que mon grand pére sur les dunes
Zieutait les nudistes pour pas une tune
Et qui nous revenait tout émoustillé
A regretter sa jeunesse envolée.
Je me rappelle les aprés bains
Ou se réunissaient tous les copains
Autour d'un pastis et d'une partie de boules
Pour se terminer par des frites moules.
Il fait gris ce matin dans mon coeur
Mais je garde en mémoire tout ce bonheur.
Je repars avec mes souvenirs
Que rien ne viendras ternir.
samedi 28 février 2009
LE PETIT GARCON TRISTE
Je te raconterais des histoires
Comme elle t'en contait tous les soirs.
Nous sommes désormais plus que tous les deux
A partager le toit des moments heureux.
Elle est partie une nuit
Lorsque tu t'étais endormi
Sans faire de bruit
En me disant que tout était fini.
Essuie tes larmes
Et ne rend pas les armes.
Toi qui a maintenant grandi
Tu ne dois pas avoir que du mépris.
Je t'emménerais sur les chevaux de bois
Comme nous le faisions tous les trois.
Nous traverserons ensembles les forets
En vélo ou à se courir aprés.
Les larmes coulent à nouveau sur ton visage
J'ai si peur d'etre sans courage
A ne plus savoir quoi faire
Pour t'oter les blessures et te plaire.
Il pleut ce matin sur la maison
Jamais comme avant dans le jardin les fleurs ne refleuriront.
Elle enverra peut etre demain une lettre.
Je l'attendrais pour plus que tu es du chagrin petit etre.
Tous les jours je la guetterais
Pour pardonner son méfait
D'avoir terni ton enfance
Et pour te redonner le sourire par sa présence.
Comme elle t'en contait tous les soirs.
Nous sommes désormais plus que tous les deux
A partager le toit des moments heureux.
Elle est partie une nuit
Lorsque tu t'étais endormi
Sans faire de bruit
En me disant que tout était fini.
Essuie tes larmes
Et ne rend pas les armes.
Toi qui a maintenant grandi
Tu ne dois pas avoir que du mépris.
Je t'emménerais sur les chevaux de bois
Comme nous le faisions tous les trois.
Nous traverserons ensembles les forets
En vélo ou à se courir aprés.
Les larmes coulent à nouveau sur ton visage
J'ai si peur d'etre sans courage
A ne plus savoir quoi faire
Pour t'oter les blessures et te plaire.
Il pleut ce matin sur la maison
Jamais comme avant dans le jardin les fleurs ne refleuriront.
Elle enverra peut etre demain une lettre.
Je l'attendrais pour plus que tu es du chagrin petit etre.
Tous les jours je la guetterais
Pour pardonner son méfait
D'avoir terni ton enfance
Et pour te redonner le sourire par sa présence.
lundi 23 février 2009
LE REVENANT
Tu es si seule ce soir
Toi la femme de mes espoirs.
J'avais tout appris de toi
Moi qui dérivais comme une coquille de noix
Sur l'océan de mes désillusions
A u point de remettre tout en questions.
Pourquoi tes réves se sont envolés
D'espérer un jour te remarier.
N'as tu plus d'espérance
D'etre toujours en souffrance.
Je te vois si souvent t'éloigner
Sans personne à tes cotés.
Tu navigues dans des eaux
Qui inquiéte mon égo.
J'essaie de la haut
D'effleurer une derniére fois ta peau.
Mais plus jamais je ne te ferais ce cadeau
D'etre toujours là quand il le faut.
Il va falloir que tu m'oublies
Pour te reconstruire une nouvelle vie.
Je m'en vais définitivement cette fois
Pour que je ne sois plus un revenant pour toi.
Toi la femme de mes espoirs.
J'avais tout appris de toi
Moi qui dérivais comme une coquille de noix
Sur l'océan de mes désillusions
A u point de remettre tout en questions.
Pourquoi tes réves se sont envolés
D'espérer un jour te remarier.
N'as tu plus d'espérance
D'etre toujours en souffrance.
Je te vois si souvent t'éloigner
Sans personne à tes cotés.
Tu navigues dans des eaux
Qui inquiéte mon égo.
J'essaie de la haut
D'effleurer une derniére fois ta peau.
Mais plus jamais je ne te ferais ce cadeau
D'etre toujours là quand il le faut.
Il va falloir que tu m'oublies
Pour te reconstruire une nouvelle vie.
Je m'en vais définitivement cette fois
Pour que je ne sois plus un revenant pour toi.
jeudi 19 février 2009
LE MAL D'ETRE
Je glisse jusqu'à l 'abime
A tel point que mon corps s'abime
Je suis sur une pente savonneuse
Ma descente aux enfer est vertigineuse.
Je limite les dégats
A me protéger derriére tes pas.
J'ai tellement peur de la suite
Que j'ai envie de prendre la fuite.
Le mal me poursuit
Vers le fin fond de ma vie
Qu'il arréte d'etre toujours là
A m'observer jusqu au trépas.
A tel point que mon corps s'abime
Je suis sur une pente savonneuse
Ma descente aux enfer est vertigineuse.
Je limite les dégats
A me protéger derriére tes pas.
J'ai tellement peur de la suite
Que j'ai envie de prendre la fuite.
Le mal me poursuit
Vers le fin fond de ma vie
Qu'il arréte d'etre toujours là
A m'observer jusqu au trépas.
LE DOUTE
J'étais persuadé qu'un jour
Tu nous reviendrais pour toujours.
Le vélo accroché au clou
T'attend pour silloner la vallée aux loups.
J'ai traversé les chemins
Pris combien de trains
Scruter les ravins
pour retrouver tes calins
Mais toujours en vain.
Je t'ai écris des lettres
Pour te faire part de mon mal etre.
Combien d'appel sans réponse
Ai je passé sur ton portable avant que je renonce.
Devant la cheminée
Je reste sans parler
Simplement à écouter
Les palabres de nos invités.
Le jour ou tu reviendras
Je te ferais découvrir le monde que tu ne connais pas
Je t'ouvrirais mes bras
Pour que tu puisses poser ta téte là.
Tu nous reviendrais pour toujours.
Le vélo accroché au clou
T'attend pour silloner la vallée aux loups.
J'ai traversé les chemins
Pris combien de trains
Scruter les ravins
pour retrouver tes calins
Mais toujours en vain.
Je t'ai écris des lettres
Pour te faire part de mon mal etre.
Combien d'appel sans réponse
Ai je passé sur ton portable avant que je renonce.
Devant la cheminée
Je reste sans parler
Simplement à écouter
Les palabres de nos invités.
Le jour ou tu reviendras
Je te ferais découvrir le monde que tu ne connais pas
Je t'ouvrirais mes bras
Pour que tu puisses poser ta téte là.
dimanche 15 février 2009
JE M'LACHE
Ma vie est si douce
Que tous me couroucent.
Es ce de la jalousie
D'etre aussi mal dans leur vie!
Je nage à contre sens
Dans le bonheur c'est une évidence
Alors que les autres dans leur malheur
Manque cruellement de chaleur.
Je chante je danse
Je fais tout en cadence.
Je rote je péte
C'est sur que ça les embétent.
Je régle mes ennuis
Quand j'en ai envie.
Je fais un pied de nez a l'inspecteur
Qui viendras m'arréter dans quelques heures.
Je files voir ma petite amie
Pour lui faire l'amour à lui en donner le tourni.
Je vous laisse car j'ai plus le temps
Merci de m'avoir lu braves gens.
Que tous me couroucent.
Es ce de la jalousie
D'etre aussi mal dans leur vie!
Je nage à contre sens
Dans le bonheur c'est une évidence
Alors que les autres dans leur malheur
Manque cruellement de chaleur.
Je chante je danse
Je fais tout en cadence.
Je rote je péte
C'est sur que ça les embétent.
Je régle mes ennuis
Quand j'en ai envie.
Je fais un pied de nez a l'inspecteur
Qui viendras m'arréter dans quelques heures.
Je files voir ma petite amie
Pour lui faire l'amour à lui en donner le tourni.
Je vous laisse car j'ai plus le temps
Merci de m'avoir lu braves gens.
samedi 14 février 2009
JOURNAL D'UN FOU
J'ai révé tant de fois
Que ma téte est un chemin de croix.
J'ai si peur de mal faire
Que je préfére me taire.
J'ai si mal menti
Que tous me croient gentil.
Pourtant j'ai fait tant de choses
Que ma vie est devenue morose.
Personne ne me connait vraiment.
A traverser les dérives du temps
J'ai la peau endurcit
Et mon coeur meurtrit.
Ma vie est à double visage
A u point d'avoir peur de l'outrage.
J'aimerais tant etre aimé
Qu'à la fin je serais détesté.
Pourquoi suis je devenu comme ça?
A me regarder je constate les dégats.
Mon cerveau est dans le brouillard.
Je dois rentrer il est si tard.
Je marche derriére les gens
Et je me demande qui sont-ils vraiment?
Ils me regardent tous si bizzarement.
A les prendre un par un
Tous ont un secret dans leur destin.
Moi je me fou de ce qu'ils disent
Je ne voudrais surtout pas qu'ils me détruisent.
A prés tout je ne les connais pas
Pourquoi faut-il que je pense à ça?
J'ai des idées noires en moi
Comme une béte qui dicte sa loi.
J'ai tant pleuré de fois
A me retrouver seul sans toi.
Tous vont croire que je suis fou
A marcher dans la rue le regard flou.
J'ai méme pas mis mon costume ce matin
Je suis resté en pyjama c'est pas bien malin.
Au loin j'entend déja les sirénes
Que je n'ai pas eu le temps de m'ouvrir les veines.
Que vont ils a présent me faire?
Le mieux c'est à tout jamais me taire.
Que ma téte est un chemin de croix.
J'ai si peur de mal faire
Que je préfére me taire.
J'ai si mal menti
Que tous me croient gentil.
Pourtant j'ai fait tant de choses
Que ma vie est devenue morose.
Personne ne me connait vraiment.
A traverser les dérives du temps
J'ai la peau endurcit
Et mon coeur meurtrit.
Ma vie est à double visage
A u point d'avoir peur de l'outrage.
J'aimerais tant etre aimé
Qu'à la fin je serais détesté.
Pourquoi suis je devenu comme ça?
A me regarder je constate les dégats.
Mon cerveau est dans le brouillard.
Je dois rentrer il est si tard.
Je marche derriére les gens
Et je me demande qui sont-ils vraiment?
Ils me regardent tous si bizzarement.
A les prendre un par un
Tous ont un secret dans leur destin.
Moi je me fou de ce qu'ils disent
Je ne voudrais surtout pas qu'ils me détruisent.
A prés tout je ne les connais pas
Pourquoi faut-il que je pense à ça?
J'ai des idées noires en moi
Comme une béte qui dicte sa loi.
J'ai tant pleuré de fois
A me retrouver seul sans toi.
Tous vont croire que je suis fou
A marcher dans la rue le regard flou.
J'ai méme pas mis mon costume ce matin
Je suis resté en pyjama c'est pas bien malin.
Au loin j'entend déja les sirénes
Que je n'ai pas eu le temps de m'ouvrir les veines.
Que vont ils a présent me faire?
Le mieux c'est à tout jamais me taire.
vendredi 13 février 2009
LA DERNIERE
Il est un peu plus de 23 heures
Lorsque sur scéne la reine mére se meurre.
A genouillée à se tordre de douleur
Elle hurle le nom de son empoisonneur.
Sous les applaudissements des spectateurs
Elle se reléve doucement pour aller saluer ses admirateurs.
Rejoint aussitot par les autres acteurs
Qui l'entourent de leurs chaleurs.
Le rideau rouge pour la derniére
Se baisse derrriére la reine mére.
Les yeux rougis par l'émotion
Elle quitte à tout jamais sa passion.
Le visage fatigué par sa composition
Les bras empruntés de fleurs
Elle sourit une derniére fois sous les clameurs.
Revenu dans sa loge, elle pleure.
Son esprit est soudain ailleurs.
Devant sa glace elle retrace sa vie
Ses joies et ses mélancolies.
Elle s'endormira ce soir
Sans la crainte d'une perte de mémoire
A des lendemains sans tournées
A réver d'une veillesse plus adulées.
Lorsque sur scéne la reine mére se meurre.
A genouillée à se tordre de douleur
Elle hurle le nom de son empoisonneur.
Sous les applaudissements des spectateurs
Elle se reléve doucement pour aller saluer ses admirateurs.
Rejoint aussitot par les autres acteurs
Qui l'entourent de leurs chaleurs.
Le rideau rouge pour la derniére
Se baisse derrriére la reine mére.
Les yeux rougis par l'émotion
Elle quitte à tout jamais sa passion.
Le visage fatigué par sa composition
Les bras empruntés de fleurs
Elle sourit une derniére fois sous les clameurs.
Revenu dans sa loge, elle pleure.
Son esprit est soudain ailleurs.
Devant sa glace elle retrace sa vie
Ses joies et ses mélancolies.
Elle s'endormira ce soir
Sans la crainte d'une perte de mémoire
A des lendemains sans tournées
A réver d'une veillesse plus adulées.
mardi 10 février 2009
L'INCONNUE DU METRO
J'ai croisé son regard
Un matin de cafard
Un jour de brouillard
Un automne sans fard.
J'ai captivé son attention
A ignorer les stations
A vouloir dans les couloirs la filer
Sans méme un instant me raisonner.
J'étais totalement fasciné
Par cette inconnue au jeans serré
Que j'eu oser l'aborder
Pour lui offrir un café.
Je fus si surpris par son acceptation
Que j'en restai muet devant sa décision.
Son sourire au coin des lévres
Enveloppa tout mon corps de fiévre.
Quelques paroles échangés
Laissérent mon coeur blessé.
La demoiselle m'avait chamboulé
En prononçant le mot prostituée.
Un matin de cafard
Un jour de brouillard
Un automne sans fard.
J'ai captivé son attention
A ignorer les stations
A vouloir dans les couloirs la filer
Sans méme un instant me raisonner.
J'étais totalement fasciné
Par cette inconnue au jeans serré
Que j'eu oser l'aborder
Pour lui offrir un café.
Je fus si surpris par son acceptation
Que j'en restai muet devant sa décision.
Son sourire au coin des lévres
Enveloppa tout mon corps de fiévre.
Quelques paroles échangés
Laissérent mon coeur blessé.
La demoiselle m'avait chamboulé
En prononçant le mot prostituée.
mercredi 4 février 2009
LA SOIXANTAINE
J 'arrive doucement vers la soixantaine
C'est pas que ça me géne
Mais les turbulences se déchainent
Les petites douleurs s'enchainent.
Je regarde ma glace
J'examine ma face
Mes traits sont tirés
Mon étre est fatigué
Mes maux me génent
Ma vue peine.
Je replonge 20 ans en arriére
Courir n'était pas une sinécure
Maintenant je traine mon derriére
Et mon ventre m'invite à faire une cure.
C'est pas que ça me géne
Mais les turbulences se déchainent
Les petites douleurs s'enchainent.
Je regarde ma glace
J'examine ma face
Mes traits sont tirés
Mon étre est fatigué
Mes maux me génent
Ma vue peine.
Je replonge 20 ans en arriére
Courir n'était pas une sinécure
Maintenant je traine mon derriére
Et mon ventre m'invite à faire une cure.
LA PETITE FILLE DE LA PLAGE
Les dunes ont oté leurs habits d'hiver
Un vent balaie le dessus de la mer
Le temps a repris des couleurs
Grace au printemps et ses valeurs.
La petite fille semble perdue
Sur la plage et ses allées et venues.
Dans ses mains une poupée de coton
Des larmes coulent sur son visage mignon.
Le soleil éclaire la gréve
La brise a fait une tréve
Les mouettes tournoient dans le ciel
Leurs cris résonnent à casser les oreilles.
La poupée souillée de sang
Un soulier trainant devant
Le vent subitement se levant
Recouvre à moitié le corps de sable l 'enfant.
La plage retrouve son habit de nuit
Personne n'a encore aperçu la petite enfouie.
des lumiéres de torches illuminent l'obscurité
Pour retrouver la fillette abimée.
Un vent balaie le dessus de la mer
Le temps a repris des couleurs
Grace au printemps et ses valeurs.
La petite fille semble perdue
Sur la plage et ses allées et venues.
Dans ses mains une poupée de coton
Des larmes coulent sur son visage mignon.
Le soleil éclaire la gréve
La brise a fait une tréve
Les mouettes tournoient dans le ciel
Leurs cris résonnent à casser les oreilles.
La poupée souillée de sang
Un soulier trainant devant
Le vent subitement se levant
Recouvre à moitié le corps de sable l 'enfant.
La plage retrouve son habit de nuit
Personne n'a encore aperçu la petite enfouie.
des lumiéres de torches illuminent l'obscurité
Pour retrouver la fillette abimée.
lundi 26 janvier 2009
LA VIE EST BLEUE LA VIE EST GRISE
Je sillonne PARIS
Ses rues, la vie
Le coeur en gaité
Le visage emmerveillé.
J'ai le pas léger
Tout m'est étranger.
J'efface la misére
Les conflits sur terre.
J'admire les filles
En passant la BASTILLE.
Tout le monde est joyeux
Aucune tristesse dans leurs yeux.
Je souris à les regarder
Ces amoureux assis à s'aimer
Sur un banc à s'embrasser
Heureux de leur bonheur né.
Mon réveil vient de sonner
Mon réve est terminé
Qu'es ce qui m'arrive?
J'ai le coeur à la dérive.
Tout me semble si gris
Les gens sont si aigris
Emporté par leurs soucis
Dans les méandres de la vie.
Ses rues, la vie
Le coeur en gaité
Le visage emmerveillé.
J'ai le pas léger
Tout m'est étranger.
J'efface la misére
Les conflits sur terre.
J'admire les filles
En passant la BASTILLE.
Tout le monde est joyeux
Aucune tristesse dans leurs yeux.
Je souris à les regarder
Ces amoureux assis à s'aimer
Sur un banc à s'embrasser
Heureux de leur bonheur né.
Mon réveil vient de sonner
Mon réve est terminé
Qu'es ce qui m'arrive?
J'ai le coeur à la dérive.
Tout me semble si gris
Les gens sont si aigris
Emporté par leurs soucis
Dans les méandres de la vie.
vendredi 23 janvier 2009
L'HIVER
L'hiver enveloppe le paysage
Comme un oiseau dans sa cage.
La neige tombe à gros flocons
Tapissant le sol à foison.
Recouvert d'une pellicule blanche
Les arbres secouent leurs branches
Comme pour mieux signaler leurs présences
Que la saison a mise à nue leur apparence.
Le rouge gorge grapille des graines
Qui par ci par la trainent.
Tandis que la mésange s'évertue
A chercher un nid pour le printemps en vu.
La fumée venant d'une cheminée
Donne l'envie de se réchauffer.
Un paysan porte un fardeau de bois
Dans sa ferme comme autrefois.
Le soleil filtre entre la grisaille
Ses rayons pris dans les mailles
De nuages tenaces et capricieux
Qui jouent avec lui de ses effets lumineux.
Le froid active nos entrailles
Pour profiter de notre moindre faille
Les sdf fatiguent leur énergie
A vouloir vivre à tout prix
Dans des taudis d'abris
Leur seul chien comme compagnie.
Tandis que les vieux chez eux
Se morfondent dans l'ennuie
A regarder dehors envieux
Les enfants pleins de vie.
L'hiver a pris ses quartiers
Les amoureux continuent à s'aimer.
Le printemps frappe à la porte
Pour que son prédécesseur sorte.
Comme un oiseau dans sa cage.
La neige tombe à gros flocons
Tapissant le sol à foison.
Recouvert d'une pellicule blanche
Les arbres secouent leurs branches
Comme pour mieux signaler leurs présences
Que la saison a mise à nue leur apparence.
Le rouge gorge grapille des graines
Qui par ci par la trainent.
Tandis que la mésange s'évertue
A chercher un nid pour le printemps en vu.
La fumée venant d'une cheminée
Donne l'envie de se réchauffer.
Un paysan porte un fardeau de bois
Dans sa ferme comme autrefois.
Le soleil filtre entre la grisaille
Ses rayons pris dans les mailles
De nuages tenaces et capricieux
Qui jouent avec lui de ses effets lumineux.
Le froid active nos entrailles
Pour profiter de notre moindre faille
Les sdf fatiguent leur énergie
A vouloir vivre à tout prix
Dans des taudis d'abris
Leur seul chien comme compagnie.
Tandis que les vieux chez eux
Se morfondent dans l'ennuie
A regarder dehors envieux
Les enfants pleins de vie.
L'hiver a pris ses quartiers
Les amoureux continuent à s'aimer.
Le printemps frappe à la porte
Pour que son prédécesseur sorte.
jeudi 22 janvier 2009
L'ABSENTE
J'ai attendu ton appel durant des semaines
Aprés que mon attente soit vaine.
Toi la demoiselle qui traversait le chemin
Comme une apparition dans le lointain
Ta jupe soulevée par un vent coquin
A te faire rougir d'étre a la vue de chacun.
Je m'accroche dans mon ennui
A ne vivre que de sursis
A sursauter au moindre bruit
D'une hypothétique sonnerie.
J'ai mal à en crever
De ne plus pouvoir te toucher
A l'idée de ne plus voir ton visage
Ton corps,la douceur de ton image
Tu es parti sans rien me dire
Me laissant seul avec nos souvenirs.
Tu ne reviendras jamais plus
Et sans toi je suis perdu.
De la haut tu m'entend
Sangloter comme un enfant.
Tu as quitté trop tot
Ce monde incognito
Toi qui étais si discréte
Tu a lutté jusqu'à en perdre la téte.
Maintenant je dois me faire à une autre vie
A oublier les objets qui t'identifient.
A vec le temps j'oublierais ton visage
Dans un an,dix ans ou peut etre beaucoup plus tard.
Aprés que mon attente soit vaine.
Toi la demoiselle qui traversait le chemin
Comme une apparition dans le lointain
Ta jupe soulevée par un vent coquin
A te faire rougir d'étre a la vue de chacun.
Je m'accroche dans mon ennui
A ne vivre que de sursis
A sursauter au moindre bruit
D'une hypothétique sonnerie.
J'ai mal à en crever
De ne plus pouvoir te toucher
A l'idée de ne plus voir ton visage
Ton corps,la douceur de ton image
Tu es parti sans rien me dire
Me laissant seul avec nos souvenirs.
Tu ne reviendras jamais plus
Et sans toi je suis perdu.
De la haut tu m'entend
Sangloter comme un enfant.
Tu as quitté trop tot
Ce monde incognito
Toi qui étais si discréte
Tu a lutté jusqu'à en perdre la téte.
Maintenant je dois me faire à une autre vie
A oublier les objets qui t'identifient.
A vec le temps j'oublierais ton visage
Dans un an,dix ans ou peut etre beaucoup plus tard.
vendredi 16 janvier 2009
LE CINEMA D'ANTAN
Ou est passé mon cinéma
Parmi tous ces gravats
Serait-il remplaçé par un supermarché
Ou un parking aménagé.
C'est la derniére image de lui
Dans ma mémoire enfoui
Qu'aujourd'hui je revis
Comme une fin de sa vie.
Ou sont mes actualités
Mes dessins animés
Mon JEAN MINEUR publicité
Mes esquimaux glaçés.
Les séances de midi
Permanent jusqu'à l'aprés midi.
Mes tentations d'écolier
Pour m'offrir une toile en matinée.
Que reste t-il maintenant
De mon cinéma d'antan
Qu'un souvenir de ma jeunesse
Que j'éprouve pour lui de la tendresses.
Parmi tous ces gravats
Serait-il remplaçé par un supermarché
Ou un parking aménagé.
C'est la derniére image de lui
Dans ma mémoire enfoui
Qu'aujourd'hui je revis
Comme une fin de sa vie.
Ou sont mes actualités
Mes dessins animés
Mon JEAN MINEUR publicité
Mes esquimaux glaçés.
Les séances de midi
Permanent jusqu'à l'aprés midi.
Mes tentations d'écolier
Pour m'offrir une toile en matinée.
Que reste t-il maintenant
De mon cinéma d'antan
Qu'un souvenir de ma jeunesse
Que j'éprouve pour lui de la tendresses.
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