Dans son pantalon de cuir noir
Elle dandine son derriére jusqu'au soir.
La fille de joie
Attend à l'orée du bois
Le quidam pas pressé
Qui viendra l'abordé.
D'un geste du regard
Son visage abusé de fard
S'éclaire au premier venu
Grand ou trapu
Imberbe ou barbu
D'une voiture descendue.
Dans son hlm de quartier
Aprés plusieurs passes vite expédiées
Elle trie ses papiers
Arrose son orchidé
Et pense toujours à la petite fille avortée
Qu'elle aurait voulu tant garder.
Demain elle reviendra se prostituer
Comme elle le fait depuis tant d'années
Sans réfléchir au lendemain
A croiser les affres du destin.
jeudi 25 décembre 2008
mercredi 24 décembre 2008
VIES ABANDONNEES
Devant un feu de bois qui crépite
Un couple enlaçé s'y invite.
A l 'intérieur d'une voiture
Dort un enfant sans vie future.
Ils s'inventent des réves
Du soleil sans tréve.
Le décor est planté
Le monde les a abandonné.
Une lettre primaire
est posée par terre
Quelques mots écrits
Comme quoi que tout est fini.
La nuit venue
Le feu ne crépite plus.
La chouette au loin
Hullule dans son coin.
Le vent glacial du nord
Enveloppe les trois corps
Allongés sur une couverture
Tout prés de la voiture.
Le jour vient à peine de se lever
Un silence pesant traverse l'orée
Le soleil filtre ses premiers rayons
Le froid vient d achever sa mission.
Un couple enlaçé s'y invite.
A l 'intérieur d'une voiture
Dort un enfant sans vie future.
Ils s'inventent des réves
Du soleil sans tréve.
Le décor est planté
Le monde les a abandonné.
Une lettre primaire
est posée par terre
Quelques mots écrits
Comme quoi que tout est fini.
La nuit venue
Le feu ne crépite plus.
La chouette au loin
Hullule dans son coin.
Le vent glacial du nord
Enveloppe les trois corps
Allongés sur une couverture
Tout prés de la voiture.
Le jour vient à peine de se lever
Un silence pesant traverse l'orée
Le soleil filtre ses premiers rayons
Le froid vient d achever sa mission.
samedi 20 décembre 2008
LES ABSENCES
Vivre avec la solitude
Elle y avait pris l habitude.
Dans son regard bleu vert
Refletait la tristesse de l hiver.
Elle peignait son univers
Les paysages d'ANVERS.
La neige sur les plateaux
Que caressait son pinceau.
Plus d'ame n'égayait sa vie
Qu'elle cotoyait avec mépris.
Ses yeux rougis
Qu'elle essuyait la nuit
Seule dans son lit
A penser à ses amours meurtris
A ses amants d'envies
Rencontré lors de ses nocturnes sorties.
Pendant que son chat ronronne sur le piano
Elle entame quelques notes de l'adagio.
De ses doigts effilés
Elle caresse les touches avec volupté.
Elle répéte les fas les dos les sis
Pour mieux apprivoiser son ennui.
De concertos en concertos
Elle ne vit que pour le pinceau et le piano.
Les vivas et les bravos
N'effaçeront jamais l'enfant perdu trop tot.
La chaleur du corps
D'un mari parti sur une route du nord.
Au loin un épais brouillard
L'aveuglement des phares
Le fracas des toles
La vie qui défile émouvante et drole.
Les souvenirs tellement proches
La fin de deux vies si moche.
Des etres disparus
Définitivement perdus.
Un regard absent
Tellement éloigné du présent.
L'anniversaire des faits qui arrive
Les bleus dans l'ame qui se ravivent.
Elle écrit des mots
Une musique sur le piano.
Le chat toujours présent à ses cotés
Le seul compagnon à etre resté.
Les repas de famille
Les ballades en ville
Tellement tristes
Depuis cette maudite nuit.
Les rires qui s'estompent
Que le destin interrompe.
Et le printemps qui arrive doucement
Les oiseaux qui commençent leurs chants.
L'envie de remonter la pente
Malgré les blessures toujours présentes.
Les années qui vont s'écouler
L'arrivée d'un nouveau mariage annoncé
L'espoir d'un autre enfant
Qui ne lui fera jamais oublier l'absent.
Elle y avait pris l habitude.
Dans son regard bleu vert
Refletait la tristesse de l hiver.
Elle peignait son univers
Les paysages d'ANVERS.
La neige sur les plateaux
Que caressait son pinceau.
Plus d'ame n'égayait sa vie
Qu'elle cotoyait avec mépris.
Ses yeux rougis
Qu'elle essuyait la nuit
Seule dans son lit
A penser à ses amours meurtris
A ses amants d'envies
Rencontré lors de ses nocturnes sorties.
Pendant que son chat ronronne sur le piano
Elle entame quelques notes de l'adagio.
De ses doigts effilés
Elle caresse les touches avec volupté.
Elle répéte les fas les dos les sis
Pour mieux apprivoiser son ennui.
De concertos en concertos
Elle ne vit que pour le pinceau et le piano.
Les vivas et les bravos
N'effaçeront jamais l'enfant perdu trop tot.
La chaleur du corps
D'un mari parti sur une route du nord.
Au loin un épais brouillard
L'aveuglement des phares
Le fracas des toles
La vie qui défile émouvante et drole.
Les souvenirs tellement proches
La fin de deux vies si moche.
Des etres disparus
Définitivement perdus.
Un regard absent
Tellement éloigné du présent.
L'anniversaire des faits qui arrive
Les bleus dans l'ame qui se ravivent.
Elle écrit des mots
Une musique sur le piano.
Le chat toujours présent à ses cotés
Le seul compagnon à etre resté.
Les repas de famille
Les ballades en ville
Tellement tristes
Depuis cette maudite nuit.
Les rires qui s'estompent
Que le destin interrompe.
Et le printemps qui arrive doucement
Les oiseaux qui commençent leurs chants.
L'envie de remonter la pente
Malgré les blessures toujours présentes.
Les années qui vont s'écouler
L'arrivée d'un nouveau mariage annoncé
L'espoir d'un autre enfant
Qui ne lui fera jamais oublier l'absent.
mardi 9 décembre 2008
MONSIEUR MACHIN
Monsieur MACHIN
C'était un voisin
Un retraité malsain
Qui vivait de larcins.
Dans sa prison il clamait ses maux
Traitait tout d'enfants de salaud
Et écrivait des mots
Aux messieurs du barreau.
La fin de son histoire
Commença un soir
Par un temps de brouillard
A une heure pas trop tard.
A 75 ans passées
Il s'était donné
Les moyens d'exister
En vidant les sacs des mémés.
Devant une porte cochére
Il surpris par derriére
Celle qui avait retiré d'une poste isolée
Le peu d'argent de ses deniers.
La malchance voulue
Pour le pépé trop connu
De tomber sur une flickette
Déguisée en vieille dame trop parfaite.
C'était un voisin
Un retraité malsain
Qui vivait de larcins.
Dans sa prison il clamait ses maux
Traitait tout d'enfants de salaud
Et écrivait des mots
Aux messieurs du barreau.
La fin de son histoire
Commença un soir
Par un temps de brouillard
A une heure pas trop tard.
A 75 ans passées
Il s'était donné
Les moyens d'exister
En vidant les sacs des mémés.
Devant une porte cochére
Il surpris par derriére
Celle qui avait retiré d'une poste isolée
Le peu d'argent de ses deniers.
La malchance voulue
Pour le pépé trop connu
De tomber sur une flickette
Déguisée en vieille dame trop parfaite.
samedi 6 décembre 2008
COEUR BRISEE
Je vous observais derriére les grilles
Prés du lycée de jeune fille.
J'avais du mal a vous aborder
Tellement grande était ma timidité.
Vous étiez si belle avec vos cheveux bouclés
Et dans votre robe que vous portiez si bien l'été.
De loin je n 'avais qu'une lubie
Vous serrer dans mes bras chéris.
Pourquoi lui est il venu vous chercher
Pour tendrement vous embrasser.
Comme un réve qu'il avait détruit
Je suis reparti seul avec mes envies.
Plus tard je vous avais revu
A pleurer d'avoir trop attendu.
Que puis je faire pour vous
Qui pourrais adoucir votre regard ordinairement si doux.
Prés du lycée de jeune fille.
J'avais du mal a vous aborder
Tellement grande était ma timidité.
Vous étiez si belle avec vos cheveux bouclés
Et dans votre robe que vous portiez si bien l'été.
De loin je n 'avais qu'une lubie
Vous serrer dans mes bras chéris.
Pourquoi lui est il venu vous chercher
Pour tendrement vous embrasser.
Comme un réve qu'il avait détruit
Je suis reparti seul avec mes envies.
Plus tard je vous avais revu
A pleurer d'avoir trop attendu.
Que puis je faire pour vous
Qui pourrais adoucir votre regard ordinairement si doux.
lundi 1 décembre 2008
DE QUI SE MOQUE T ON?
De qui se moque t-on?
A nous prendre toujours pour des cons.
A quoi jouent-ils?
Nos politiciens de pacotilles.
S'occupent t-ils vraiment de tout
Quand la crise est parmi nous.
La droite qui nous presse
Que sur le cul elle nous laisse.
Et la gauche qui se dévisse
Pour un trone qui les divise.
La flambée des prix
Le chomage qui se multiplie.
Les vieux dans la rue
A crier leurs déconvenues.
Et la précarité qui s'accentue.
Pour nos enfants j'ai peur
Qu'ils vivent dans la douleur
Que leurs vies soit sans saveur.
A nous prendre toujours pour des cons.
A quoi jouent-ils?
Nos politiciens de pacotilles.
S'occupent t-ils vraiment de tout
Quand la crise est parmi nous.
La droite qui nous presse
Que sur le cul elle nous laisse.
Et la gauche qui se dévisse
Pour un trone qui les divise.
La flambée des prix
Le chomage qui se multiplie.
Les vieux dans la rue
A crier leurs déconvenues.
Et la précarité qui s'accentue.
Pour nos enfants j'ai peur
Qu'ils vivent dans la douleur
Que leurs vies soit sans saveur.
J'AI FAIS VALSER MON COEUR
J'ai fais valser mon coeur
Sur le port d'HONFLEUR
Nous étions en parfait accord
Dans la ville du TREPORT.
Te souviens tu de ces mots
Que je te disais en trémolo
Toi qui me traitait de prolo
En mimant mes gestes cabots.
Dans ton pantalon d'hiver
Emmitouflé dans un pull over
Je caresse ton visage rougit
Que le vent du nord a transit.
Nous sommes seuls au monde
Pas ame qui vive à la ronde.
La neige qui voltigeait
Vient de recouvrir le sol d'un tapis épais.
Nous marchions dans un but précis
A la recherche d'un peu de répit
A retrouver à travers les rues
Notre jeunesse si mal vécu.
Aprés vingt ans d'errance
De la vie et ses infernales cadences
Finirent par usées
Notre amour si bien commençé.
Notre amitié du début
C'était transformé en idylle d'avance perdue
Les quand dira t on du passé
Les jalousies si mal fondées
Un pére qui détruisit nos vies
Pour un mariage qu'il n'avait pas compris.
Toi la fille adorée
Sa princesse de ses réves dorés
Ne pouvait qu'aimer à ses yeux
Un nanti de votre milieu.
Trés souvent j'ai essayé de te revoir
Ta chambre allumée et moi dehors dans le noir.
Sous la pluie et le froid
J'ai pleuré tant de fois.
Puis j'ai tout arrété.
Les abandons dans les cafés
Combien de fois je l'ai ai fréquenté
Au comptoir à oublier.
La neige vient de recommencer à tomber
Ton sourire s'est subitement figé
Mes paroles t-on t elles blessées?
Ou penses tu à ton pére récemment décédé?
J'aimerais beaucoup te revoir
A t'aimer comme au plus beau soir
A partager nos espoirs
J'ai encore envie d'y croire.
Sur le port d'HONFLEUR
Nous étions en parfait accord
Dans la ville du TREPORT.
Te souviens tu de ces mots
Que je te disais en trémolo
Toi qui me traitait de prolo
En mimant mes gestes cabots.
Dans ton pantalon d'hiver
Emmitouflé dans un pull over
Je caresse ton visage rougit
Que le vent du nord a transit.
Nous sommes seuls au monde
Pas ame qui vive à la ronde.
La neige qui voltigeait
Vient de recouvrir le sol d'un tapis épais.
Nous marchions dans un but précis
A la recherche d'un peu de répit
A retrouver à travers les rues
Notre jeunesse si mal vécu.
Aprés vingt ans d'errance
De la vie et ses infernales cadences
Finirent par usées
Notre amour si bien commençé.
Notre amitié du début
C'était transformé en idylle d'avance perdue
Les quand dira t on du passé
Les jalousies si mal fondées
Un pére qui détruisit nos vies
Pour un mariage qu'il n'avait pas compris.
Toi la fille adorée
Sa princesse de ses réves dorés
Ne pouvait qu'aimer à ses yeux
Un nanti de votre milieu.
Trés souvent j'ai essayé de te revoir
Ta chambre allumée et moi dehors dans le noir.
Sous la pluie et le froid
J'ai pleuré tant de fois.
Puis j'ai tout arrété.
Les abandons dans les cafés
Combien de fois je l'ai ai fréquenté
Au comptoir à oublier.
La neige vient de recommencer à tomber
Ton sourire s'est subitement figé
Mes paroles t-on t elles blessées?
Ou penses tu à ton pére récemment décédé?
J'aimerais beaucoup te revoir
A t'aimer comme au plus beau soir
A partager nos espoirs
J'ai encore envie d'y croire.
FUTURE MAMAN
Tu portes la vie
Dans ton corps si grossi
Tu n'as qu 'une envie
Faire naitre ton petit.
Tes mains posées
Jointes sur le futur bébé
Ton homme a tes cotés
Qui est là pour te dorloter.
Tu es si heureuse
Que parfois tu rend envieuse
Celles qui attendent sans trop d'espoir
L'enfant qu'elles désespérent avoir.
Plus forte que nous
Tu lutteras jusqu'au bout
Pour qu'il manque de rien
Pour que toujours il soit bien.
Dans ton corps si grossi
Tu n'as qu 'une envie
Faire naitre ton petit.
Tes mains posées
Jointes sur le futur bébé
Ton homme a tes cotés
Qui est là pour te dorloter.
Tu es si heureuse
Que parfois tu rend envieuse
Celles qui attendent sans trop d'espoir
L'enfant qu'elles désespérent avoir.
Plus forte que nous
Tu lutteras jusqu'au bout
Pour qu'il manque de rien
Pour que toujours il soit bien.
dimanche 30 novembre 2008
RENDEZ VOUS CACHES
Dans sa robe légére
Ses cheveux tirés en arriére
Les yeux cachés
Derriére des lunettes fumées
Elle avance rapidement
A la rencontre de son amant.
Il l'attend dans un café
Inquiet de ne pas la voir arriver.
Il guette toutes les entrées en cachette
En tirant nerveusement sur sa cigarette.
Ils s'aiment depuis une année
Le midi ou en soirée
A s'offrir dans des hotels
Des moments infidéles.
Plus rien ne les retiens
Dans ces instant calins.
Rompre pour leurs conjoints
Serait en soi une fin.
Aucun n'effleure cette idée
De ne plus pouvoir se retrouver
Les fins de semaines
Dans cette liaison incertaine.
A ttablé tous les deux
Ils se jettent des regards langoureux
Qu'ils ne peuvent empécher
Malgré le risque d'étre piégé
Dans leurs rendez vous cachés
Des vendredis ensoleillés
Sans aucun tabou
A s'aimer d'amour fou.
Ses cheveux tirés en arriére
Les yeux cachés
Derriére des lunettes fumées
Elle avance rapidement
A la rencontre de son amant.
Il l'attend dans un café
Inquiet de ne pas la voir arriver.
Il guette toutes les entrées en cachette
En tirant nerveusement sur sa cigarette.
Ils s'aiment depuis une année
Le midi ou en soirée
A s'offrir dans des hotels
Des moments infidéles.
Plus rien ne les retiens
Dans ces instant calins.
Rompre pour leurs conjoints
Serait en soi une fin.
Aucun n'effleure cette idée
De ne plus pouvoir se retrouver
Les fins de semaines
Dans cette liaison incertaine.
A ttablé tous les deux
Ils se jettent des regards langoureux
Qu'ils ne peuvent empécher
Malgré le risque d'étre piégé
Dans leurs rendez vous cachés
Des vendredis ensoleillés
Sans aucun tabou
A s'aimer d'amour fou.
dimanche 16 novembre 2008
UNE AUSSI LONGUE ABSENCE
Ou es tu depuis toutes ces années
A vouloir toujours te cacher.
J'ai essayé en vain de te revoir
Mes souvenirs sont encore dans ma mémoire.
Tes photos dans un tiroir
Sont jaunies avec le temps.
Tu es parti un printemps
En mai un soir.
J'ai souvent souffert de ton absence
J'aurai tant aimé ta présence.
Papa est décédé
Voila dix ans passés.
Il n'avait jamais supporté
Que tu l'ai si vite quitté.
Sur sa tombe est gravée
Pour toi ma femme adorée.
A chaque pas dans l'allée
J'imagine que c'est toi qui vient d'arriver.
Je ne t'ai pas vu vieillir
Que je crains maintenant le pire
Que l'on m'annonce un jour
Ton départ pour toujours.
Beaucoup de gens t'ont sali
D'avoir détruit notre vie.
Il ne me reste que le sentiment
Que j'avais encore enfant.
J'ai tellement pensé a toi
Que je suis fatigué maintenant
C'est mon dernier cri envers toi
Que de te voir une derniére fois maman.
A vouloir toujours te cacher.
J'ai essayé en vain de te revoir
Mes souvenirs sont encore dans ma mémoire.
Tes photos dans un tiroir
Sont jaunies avec le temps.
Tu es parti un printemps
En mai un soir.
J'ai souvent souffert de ton absence
J'aurai tant aimé ta présence.
Papa est décédé
Voila dix ans passés.
Il n'avait jamais supporté
Que tu l'ai si vite quitté.
Sur sa tombe est gravée
Pour toi ma femme adorée.
A chaque pas dans l'allée
J'imagine que c'est toi qui vient d'arriver.
Je ne t'ai pas vu vieillir
Que je crains maintenant le pire
Que l'on m'annonce un jour
Ton départ pour toujours.
Beaucoup de gens t'ont sali
D'avoir détruit notre vie.
Il ne me reste que le sentiment
Que j'avais encore enfant.
J'ai tellement pensé a toi
Que je suis fatigué maintenant
C'est mon dernier cri envers toi
Que de te voir une derniére fois maman.
dimanche 9 novembre 2008
C'EST QUOI LE BONHEUR?
C'est une tranche de vie
Que l'on partage avec des amis
Pour oublier ses soucis
D'un coup de baguette comme par magie.
La naissance d'un enfant
Et c'est rire quand il est plus grand.
Le charme d'une femme
Et son regard qui vous enflamme
Ses mains posées sur vous
Et des mots qu'elle vous murmure si doux.
Le ronronnement d'un chat
Qui vous fait comprendre qu'il est bien là.
Une ballade sur la plage
Que l'on soit jeune ou d'un vieil age
A regarder un coucher de soleil
Et vous endormir aprés dans un profond sommeil.
Etre allongé sous sa couette
Quand le temps n'est pas chouette
Et etre réveillé par l'odeur du café
Q ue vous prépare l'étre aimé.
Regarder la neige tombée
Et d'avoir la nostalgie d'avoir été un jour écolier
Puis s'assoir devant un feu de bois
Et vous installer comme un roi.
Il faut pas grand chose pour apprivoiser le bonheur
Eliminer pour quelques instants votre malheur
Optimiser simplement votre vie
En relisant ce poéme de bleu nuit.
Que l'on partage avec des amis
Pour oublier ses soucis
D'un coup de baguette comme par magie.
La naissance d'un enfant
Et c'est rire quand il est plus grand.
Le charme d'une femme
Et son regard qui vous enflamme
Ses mains posées sur vous
Et des mots qu'elle vous murmure si doux.
Le ronronnement d'un chat
Qui vous fait comprendre qu'il est bien là.
Une ballade sur la plage
Que l'on soit jeune ou d'un vieil age
A regarder un coucher de soleil
Et vous endormir aprés dans un profond sommeil.
Etre allongé sous sa couette
Quand le temps n'est pas chouette
Et etre réveillé par l'odeur du café
Q ue vous prépare l'étre aimé.
Regarder la neige tombée
Et d'avoir la nostalgie d'avoir été un jour écolier
Puis s'assoir devant un feu de bois
Et vous installer comme un roi.
Il faut pas grand chose pour apprivoiser le bonheur
Eliminer pour quelques instants votre malheur
Optimiser simplement votre vie
En relisant ce poéme de bleu nuit.
lundi 3 novembre 2008
LES DANSEURS
Je vous avais observé
Un beau soir d'été
Vous dévoiliez vos charmes
Dans votre robe de couleur parme.
Il vous dévorait des yeux
Et moi je vous regardais tous les deux.
Vous vous comportiez comme des amoureux
Dans cette salle au beau milieu.
Vous dansiez le tango
Enchainant par un paso.
Vous étiez seuls au monde
A envouter la rotonde.
Vous aviez l'air si heureux
Et moi si envieux.
Je regardais tous ces gens
Qui admiraient votre talent.
J'étais dans mon coin
Et déja si loin.
Je m'ennuyais à vous admirer
De vous voir tous les deux danser.
Un beau soir d'été
Vous dévoiliez vos charmes
Dans votre robe de couleur parme.
Il vous dévorait des yeux
Et moi je vous regardais tous les deux.
Vous vous comportiez comme des amoureux
Dans cette salle au beau milieu.
Vous dansiez le tango
Enchainant par un paso.
Vous étiez seuls au monde
A envouter la rotonde.
Vous aviez l'air si heureux
Et moi si envieux.
Je regardais tous ces gens
Qui admiraient votre talent.
J'étais dans mon coin
Et déja si loin.
Je m'ennuyais à vous admirer
De vous voir tous les deux danser.
dimanche 2 novembre 2008
LETTRE A L'AMANTE
Je t'ai couché des mots sur ma feuille de papier
Et je relis toutes les lignes que je vais t envoyer.
Mon coeur se serait à moitié consolé
Si j'unissais avec toi une prochaine amitié.
Le manége tourne dans ma téte
Et déja tes rires se projettent
Ta jupe volait si souvent
A chaque bourrasque de vent.
Nous étions des amants
Allongés sur un lit d'amour brulant
A s'étreindre sur des draps fins
A attendre l'appel des trains
Qui nous séparerait tous les deux si loin.
A serrer nos mains
Lier de peur du lendemain
D'etre séparé
De ne plus pouvoir s'aimer.
J'ai tellement froid
A l'amorce de l'hiver
Je pense trop à toi
Que je fais une priére.
Maintenant que tu n'es plus prés de moi
Je compte les jours et les mois
Pour te retrouver
Peut etre un prochain été.
Mais tu as rejoint ton mari
Tes enfants et tes amis.
Tu as retrouvé ta vie
Qui signifie que tout est sans doute à présent fini.
Le feu de bois crépite
Prés de la cheminée je t'invite
A réchauffer nos coeurs
A entretenir nos ardeurs.
Dehors la neige tombe à gros flocons
Qui bouche tout mon horizon
J'espérais encore ta venue
Pourquoi suis-je aussi tétu.
Tu dois etre entre d'autres bras
A ne plus penser à tout ça
A boire de la vodka
Toi chére ANOUCHA
Nous aurions courru dans le froid
Nus a chercher je ne sais quoi
Puis à nous serrer grelotant
Et rire comme des enfants.
Le bonhomme qui est devant ma porte
S'était pour toi en quelque sorte
Je l'ai fait malheureux
Pour qu'en te voyant il devienne trés heureux.
La neige s'est arrété de tomber
Mon hote s'est mis à pleurer
Il est si triste de ne pas t'avoir vu arriver
Qu'il s'est soudainement effondré.
Et je relis toutes les lignes que je vais t envoyer.
Mon coeur se serait à moitié consolé
Si j'unissais avec toi une prochaine amitié.
Le manége tourne dans ma téte
Et déja tes rires se projettent
Ta jupe volait si souvent
A chaque bourrasque de vent.
Nous étions des amants
Allongés sur un lit d'amour brulant
A s'étreindre sur des draps fins
A attendre l'appel des trains
Qui nous séparerait tous les deux si loin.
A serrer nos mains
Lier de peur du lendemain
D'etre séparé
De ne plus pouvoir s'aimer.
J'ai tellement froid
A l'amorce de l'hiver
Je pense trop à toi
Que je fais une priére.
Maintenant que tu n'es plus prés de moi
Je compte les jours et les mois
Pour te retrouver
Peut etre un prochain été.
Mais tu as rejoint ton mari
Tes enfants et tes amis.
Tu as retrouvé ta vie
Qui signifie que tout est sans doute à présent fini.
Le feu de bois crépite
Prés de la cheminée je t'invite
A réchauffer nos coeurs
A entretenir nos ardeurs.
Dehors la neige tombe à gros flocons
Qui bouche tout mon horizon
J'espérais encore ta venue
Pourquoi suis-je aussi tétu.
Tu dois etre entre d'autres bras
A ne plus penser à tout ça
A boire de la vodka
Toi chére ANOUCHA
Nous aurions courru dans le froid
Nus a chercher je ne sais quoi
Puis à nous serrer grelotant
Et rire comme des enfants.
Le bonhomme qui est devant ma porte
S'était pour toi en quelque sorte
Je l'ai fait malheureux
Pour qu'en te voyant il devienne trés heureux.
La neige s'est arrété de tomber
Mon hote s'est mis à pleurer
Il est si triste de ne pas t'avoir vu arriver
Qu'il s'est soudainement effondré.
vendredi 31 octobre 2008
LE COQUIN
Un vieux mendiant ventru
A la blanche criniére
A ttendait sans avoir l'air
Des jeunes filles au coin de la rue.
Sous son manteau gris clair
Il semblait tenir quelque chose de pas ordinaire.
Des mouvements de va et vient
Intriguait les passants parisiens.
A l'approche d'une demoiselle
Son visage s'illumina comme une étincelle.
Il demanda à la belle
Un peu d'argent à mettre dans sa gamelle.
Puis soudainement d'une mine coquine
Il écarta son manteau
Qui fit exclamer d'un OH!
L'innocente gamine.
Prenant ses jambes à son cou
Elle ne vit que du dégout.
En apercevant un rat trés remuant
Que l 'homme lui avait tendu en riant.
A la blanche criniére
A ttendait sans avoir l'air
Des jeunes filles au coin de la rue.
Sous son manteau gris clair
Il semblait tenir quelque chose de pas ordinaire.
Des mouvements de va et vient
Intriguait les passants parisiens.
A l'approche d'une demoiselle
Son visage s'illumina comme une étincelle.
Il demanda à la belle
Un peu d'argent à mettre dans sa gamelle.
Puis soudainement d'une mine coquine
Il écarta son manteau
Qui fit exclamer d'un OH!
L'innocente gamine.
Prenant ses jambes à son cou
Elle ne vit que du dégout.
En apercevant un rat trés remuant
Que l 'homme lui avait tendu en riant.
dimanche 26 octobre 2008
NOIR
J'ai toujours eu peur du noir
La couleur du désespoir.
Je navigue entre deux eaux
A espérer m'accrocher à un radeau.
Je ne sais pas trop pourquoi
Ce matin j'ai ma vie entre mes doigts.
Mon réveil fut si brutal
Q ue j'ai l'aspect d'un animal.
J'ai beau me regarder dans ma glace
Je ne sais pas ce qui se passe.
Je doute de l'avenir
De mes prochains jours à venir.
Beaucoup d'idées me passent par la téte
Que je n'ai pas envie de faire la fétes.
Mon destin est-il synonyme d'événements malsains
A tel point que j'en épprouve un réel dédain.
Mon moral est déja si atteint
Que je demande du soutien.
J'ai tellement ri de ma vie
Que tout aujourd'hui me semble détruit.
Je regarde par la fenétre
La morosité des étres.
Je reste impassible derriéres mes carreaux
A m'interroger sur l'attitude des badauds.
Je suis seul avec mon chagrin
A respirer l'air du matin
A écouter le chant des oiseaux
Qui m'arréte de fondre dans le mélo.
Pourquoi m'arrive t-il de vomir sur ma vie
De m'enfoncer dans la folie.
De peindre toujours du noir
D'écrire encore le désespoir.
A regarder le soleil à l'horizon
Je n'ai pas trouver le probléme à ma déraison.
Mon pessimisme est si latent
Que je touche le fond dés maintenant.
La couleur du désespoir.
Je navigue entre deux eaux
A espérer m'accrocher à un radeau.
Je ne sais pas trop pourquoi
Ce matin j'ai ma vie entre mes doigts.
Mon réveil fut si brutal
Q ue j'ai l'aspect d'un animal.
J'ai beau me regarder dans ma glace
Je ne sais pas ce qui se passe.
Je doute de l'avenir
De mes prochains jours à venir.
Beaucoup d'idées me passent par la téte
Que je n'ai pas envie de faire la fétes.
Mon destin est-il synonyme d'événements malsains
A tel point que j'en épprouve un réel dédain.
Mon moral est déja si atteint
Que je demande du soutien.
J'ai tellement ri de ma vie
Que tout aujourd'hui me semble détruit.
Je regarde par la fenétre
La morosité des étres.
Je reste impassible derriéres mes carreaux
A m'interroger sur l'attitude des badauds.
Je suis seul avec mon chagrin
A respirer l'air du matin
A écouter le chant des oiseaux
Qui m'arréte de fondre dans le mélo.
Pourquoi m'arrive t-il de vomir sur ma vie
De m'enfoncer dans la folie.
De peindre toujours du noir
D'écrire encore le désespoir.
A regarder le soleil à l'horizon
Je n'ai pas trouver le probléme à ma déraison.
Mon pessimisme est si latent
Que je touche le fond dés maintenant.
vendredi 24 octobre 2008
L'ULTIME DECLARATION
Tu as quitté le domicile conjugal
Comme si que c'était normal.
Ta valise à la main
Face à ton nouveau destin.
Pouvais je faire autrement
Que de te laisser partir à ce moment
Ou te retenir de force
En bombant le torse.
Mais je ne suis pas comme certain
Q ui lévent toujours leurs mains
A frapper pour des riens
Comme si que ça leurs faisaient du bien.
Je crie ma douleur
De te voir partir ailleur
D'etre d'en d'autres bras
A partager tes ébats.
Pourrais je espérer un mot de toi
Dans les jours les semaines les mois
Ou ai je trop attendu
A croire un jour a ta venue.
Je suis comme une épave
A me trainer à la cave
A boire sans retenu
A croire que je t'ai définitivement perdu.
Si tu revenais sous notre toit
Tu serais ma reine et moi ton roi
Je te couvrirais de cadeaux
Et t'offrirais les plus beaux.
J'ai souvent pleuré mon amour
En suppliant ton retour.
Un diner aux chandelles un soir
Serait mon ultime espoir.
Comme si que c'était normal.
Ta valise à la main
Face à ton nouveau destin.
Pouvais je faire autrement
Que de te laisser partir à ce moment
Ou te retenir de force
En bombant le torse.
Mais je ne suis pas comme certain
Q ui lévent toujours leurs mains
A frapper pour des riens
Comme si que ça leurs faisaient du bien.
Je crie ma douleur
De te voir partir ailleur
D'etre d'en d'autres bras
A partager tes ébats.
Pourrais je espérer un mot de toi
Dans les jours les semaines les mois
Ou ai je trop attendu
A croire un jour a ta venue.
Je suis comme une épave
A me trainer à la cave
A boire sans retenu
A croire que je t'ai définitivement perdu.
Si tu revenais sous notre toit
Tu serais ma reine et moi ton roi
Je te couvrirais de cadeaux
Et t'offrirais les plus beaux.
J'ai souvent pleuré mon amour
En suppliant ton retour.
Un diner aux chandelles un soir
Serait mon ultime espoir.
mercredi 22 octobre 2008
ENTRE LEURS MURS
Entre leurs murs les vieux s'attardent devant le temps qui passe
ils savent toujours sourire mais la vie les lasse.
Ils sont seuls la journée comme en soirée
Dans leur fauteuil à s'ennuyer et à penser
A ne vivre que de souvenirs
A n'éspérer du futur que la mort à venir.
En comptant qu'elle sera la plus douce
Et que la haut dieu leur donnera un coup de pouce.
Ils pleurent entre leurs mains
Car ils n'ont plus qu'eux comme soutien.
Ils ne se plaignent pas d'étre vieux
Mais d'etre devenu si affreux.
Devant leur glace ils se dévisagent
A regarder les méfaits de l'age.
Ils y a des vieux qui dans des maisons
Se racontent des histoires de religion
Et d'autres qui retrouvent leur enfance
En fredonnant des comptines à l'assistance.
Les vieilles pour la circonstance
Maquillées mais sans outrance
Aiment s'offrir quelques pas de danse
A leur rythme tout en cadence.
Dans leurs robes de dentelle
Et leurs chemises en flanelle
E lles veulent etre les plus belles
En chantant quelques ritournelles
Ou autour d'une table à jouer
Pour s'occuper avant le diner.
Les vieux ne savent plus réver
Depuis déja plusieurs années
Ils n'ont plus qu'à attendre
Le moment ou la mort viendra les surprendre.
L'age leur a oté la vie
A tout jamais comme un mépris.
ils savent toujours sourire mais la vie les lasse.
Ils sont seuls la journée comme en soirée
Dans leur fauteuil à s'ennuyer et à penser
A ne vivre que de souvenirs
A n'éspérer du futur que la mort à venir.
En comptant qu'elle sera la plus douce
Et que la haut dieu leur donnera un coup de pouce.
Ils pleurent entre leurs mains
Car ils n'ont plus qu'eux comme soutien.
Ils ne se plaignent pas d'étre vieux
Mais d'etre devenu si affreux.
Devant leur glace ils se dévisagent
A regarder les méfaits de l'age.
Ils y a des vieux qui dans des maisons
Se racontent des histoires de religion
Et d'autres qui retrouvent leur enfance
En fredonnant des comptines à l'assistance.
Les vieilles pour la circonstance
Maquillées mais sans outrance
Aiment s'offrir quelques pas de danse
A leur rythme tout en cadence.
Dans leurs robes de dentelle
Et leurs chemises en flanelle
E lles veulent etre les plus belles
En chantant quelques ritournelles
Ou autour d'une table à jouer
Pour s'occuper avant le diner.
Les vieux ne savent plus réver
Depuis déja plusieurs années
Ils n'ont plus qu'à attendre
Le moment ou la mort viendra les surprendre.
L'age leur a oté la vie
A tout jamais comme un mépris.
mercredi 15 octobre 2008
LE PERE
Sors de derriére ton nuage
Que je revois un peu ton visage
Pour savoir si tu as changé
Depuis que tu nous a quitté.
Pensais tu à nous durant tout ce temps
A ma mére et à tes deux enfants
Ou nous as tu oublié
Sans meme de la haut nous observé.
Te souviens tu de nos moments passés
A m'apprendre à marcher
Sur la rue si mal pavé
Que je trébuchais à chaque avançée.
Parfois il me semble voir ton fantome
Qui me guette dans un coin de mon home
Pourquoi ne viens tu pas m'embrasser
Suis je devenu pour toi un étranger.
Je te reverrais toujours sur le chemin
Ta canne à la main
Si digne dans ton pardessus
A attendre ma prochaine venue.
Dans ton nouveau monde t'es tu fait des amis
Ou es tu rester seul comme ici?
Es tu au moins heureux
Toi qui avais l'air si malheureux.
Les feuilles viennent de tomber
Le premier jour d'automne est arriver
C'était ta saison préférée
C'est l'époque ou tu es décédé.
Que je revois un peu ton visage
Pour savoir si tu as changé
Depuis que tu nous a quitté.
Pensais tu à nous durant tout ce temps
A ma mére et à tes deux enfants
Ou nous as tu oublié
Sans meme de la haut nous observé.
Te souviens tu de nos moments passés
A m'apprendre à marcher
Sur la rue si mal pavé
Que je trébuchais à chaque avançée.
Parfois il me semble voir ton fantome
Qui me guette dans un coin de mon home
Pourquoi ne viens tu pas m'embrasser
Suis je devenu pour toi un étranger.
Je te reverrais toujours sur le chemin
Ta canne à la main
Si digne dans ton pardessus
A attendre ma prochaine venue.
Dans ton nouveau monde t'es tu fait des amis
Ou es tu rester seul comme ici?
Es tu au moins heureux
Toi qui avais l'air si malheureux.
Les feuilles viennent de tomber
Le premier jour d'automne est arriver
C'était ta saison préférée
C'est l'époque ou tu es décédé.
vendredi 10 octobre 2008
UNE VIE AILLEURS
Ils étaient venus d'un pays lointain
A espérer un meilleur destin
A vouloir déccrocher la lune
Dans des embarcations de fortune.
Qu'ils s'appellent BANDELE ou MAMADOU
Qu'ils viennent de n'importe ou
Du LIBERIA ou du NIGER
Ils voulaient échapper à la guerre.
Dans la nuit sur l'océan
Ils savent tous ce qui les attend.
Par millier ils tentent leur chance
A vouloir vivre d'espérance.
De ciel et de mers agités
Ils arrivérent tous décimés
Vers une destination et un pays inconnus
Ou ils ne seront pas forcément les bienvenus.
A espérer un meilleur destin
A vouloir déccrocher la lune
Dans des embarcations de fortune.
Qu'ils s'appellent BANDELE ou MAMADOU
Qu'ils viennent de n'importe ou
Du LIBERIA ou du NIGER
Ils voulaient échapper à la guerre.
Dans la nuit sur l'océan
Ils savent tous ce qui les attend.
Par millier ils tentent leur chance
A vouloir vivre d'espérance.
De ciel et de mers agités
Ils arrivérent tous décimés
Vers une destination et un pays inconnus
Ou ils ne seront pas forcément les bienvenus.
lundi 6 octobre 2008
LES PETITS GENS
Ils commencent la journée comme un chemin de croix
A se demander si le soir ils auront un toit
De dettes en désarois
Ils se retrouvent en difficultés chaque fins de mois.
L'hiver n'est pas la saison qu'ils préférent
Sauf devant un feu de bois ou une chaudiére.
Ils essaient de vivre aux mieux
A s'inventer des jours heureux.
Ils profitent du moindre plaisir
Qu'ils se procurent à écrire ou à lire
D'une ballade et d'un ciné
Qu'ils se paient une fois dans l'année.
Les petits gens n'ont pas de fortune
Ils ne pourront jamais s'offrir la lune
Mais ils savent etre modeste
Contre certains qui les évitent comme la peste.
A se demander si le soir ils auront un toit
De dettes en désarois
Ils se retrouvent en difficultés chaque fins de mois.
L'hiver n'est pas la saison qu'ils préférent
Sauf devant un feu de bois ou une chaudiére.
Ils essaient de vivre aux mieux
A s'inventer des jours heureux.
Ils profitent du moindre plaisir
Qu'ils se procurent à écrire ou à lire
D'une ballade et d'un ciné
Qu'ils se paient une fois dans l'année.
Les petits gens n'ont pas de fortune
Ils ne pourront jamais s'offrir la lune
Mais ils savent etre modeste
Contre certains qui les évitent comme la peste.
samedi 4 octobre 2008
LA POMME
Dans son chemisier en nylon
Et du haut de ses chaussures à talons
Elle paraissait si fragile
A attendre les clients pas faciles.
Elle vouvoyait les hommes
Qui la surnommaient la pomme.
A déja presque vingt ans dont cinq d'outrage
Elle n'avait connu que des amants de passage.
Sur son lit de passe
La souillure avait laissé des traces.
Tant de mains avaient effleuré ses cuisses
Qu'elle n'avait jamais éprouvé l'amour comme un délice.
Elle ne vivait que de réves
Mais rien chez elle n'était tréve.
Pendant que les hommes la pénétraient
Sans cesse elle repensait
Dans le bleu de ses yeux
Au pays de ses aieux
Sa BULGARIE natale
Qu'elle avait quitté non sans mal.
L'automne était déja revenu
Et pomme ne réapparut jamais plus.
Les feuilles tapissaient la rue
Effaçant à jamais les trace de sa venue.
Et du haut de ses chaussures à talons
Elle paraissait si fragile
A attendre les clients pas faciles.
Elle vouvoyait les hommes
Qui la surnommaient la pomme.
A déja presque vingt ans dont cinq d'outrage
Elle n'avait connu que des amants de passage.
Sur son lit de passe
La souillure avait laissé des traces.
Tant de mains avaient effleuré ses cuisses
Qu'elle n'avait jamais éprouvé l'amour comme un délice.
Elle ne vivait que de réves
Mais rien chez elle n'était tréve.
Pendant que les hommes la pénétraient
Sans cesse elle repensait
Dans le bleu de ses yeux
Au pays de ses aieux
Sa BULGARIE natale
Qu'elle avait quitté non sans mal.
L'automne était déja revenu
Et pomme ne réapparut jamais plus.
Les feuilles tapissaient la rue
Effaçant à jamais les trace de sa venue.
mercredi 1 octobre 2008
MALABARDS ET CARAMBARDS
Nous courrions les boulangeries au hasard
A la recherche de malabards et carambards.
Pour quatre vingt centimes de francs
Ont s'en payaient 4 de chaque avec notre argent.
Nous dévalions la rue MENILMONTANT
A la vitesse d'un vent violent.
Lui en vengeur masqué
Moi en détrousseur de quartier.
Nos pistolets à eau à la ceinture
Nous nous comportions comme de vrais durs.
Dans le voisinage nous jouions les caids
A s'envoyer sans cesse des jets de liquide.
Certaine fois nous étions capitaines de vaisseaux
A lancer de nos mains nos bateaux
Dans un des bassins des tuileries
Ou nous allions certain mercredis.
A d'autres moments j'embrassais de force une fille
Qui me répondais par une gifle pour cette pécadille.
Puis pour m'excuser d'avoir agi de la sorte
Je lui déposais un paquet de bonbons à sa porte.
Dans mon fauteuil maintenant je repense à ces moments
Ou gamin je passais de sacré bon temps
L'époque aujourd'hui est si différent
Que j'ai la nostalgie de ces années soixante.
A la recherche de malabards et carambards.
Pour quatre vingt centimes de francs
Ont s'en payaient 4 de chaque avec notre argent.
Nous dévalions la rue MENILMONTANT
A la vitesse d'un vent violent.
Lui en vengeur masqué
Moi en détrousseur de quartier.
Nos pistolets à eau à la ceinture
Nous nous comportions comme de vrais durs.
Dans le voisinage nous jouions les caids
A s'envoyer sans cesse des jets de liquide.
Certaine fois nous étions capitaines de vaisseaux
A lancer de nos mains nos bateaux
Dans un des bassins des tuileries
Ou nous allions certain mercredis.
A d'autres moments j'embrassais de force une fille
Qui me répondais par une gifle pour cette pécadille.
Puis pour m'excuser d'avoir agi de la sorte
Je lui déposais un paquet de bonbons à sa porte.
Dans mon fauteuil maintenant je repense à ces moments
Ou gamin je passais de sacré bon temps
L'époque aujourd'hui est si différent
Que j'ai la nostalgie de ces années soixante.
samedi 27 septembre 2008
JE VIENS DE PERDRE UN AMI
Des larmes coulaient sur mes joues
Mon coeur est à genoux
Mon quotidien s'est arrété d'un coup
Ce matin sans prévenir du tout.
Je viens de perdre un ami
Cette nuit dans son lit
Seul avec son ennui
Et qui pourtant semblait reprendre gout à la vie.
La mort est si cruelle
Qu'elle nous emporte les amitiés fidéles.
Tu viens de tirer ta révérence
Et pourtant je me surprend à sourire de notre enfance.
Hier tu étais si loin de moi
Préoccupé par je ne sais quoi.
Tu avais sans doute tes raisons
Pour partir définitivement dans ta maison.
Que de regrets me trottent dans la téte
De n'avoir pu te mettre le coeur en féte.
Tu avais l'air si heureux
Ce dernier week end passé a LISIEUX.
Avais tu prémédité ton geste
A cause de se mal étre qui te rongeait comme la peste.
Tu n'es plus la mon ami
Aprés tant d'années d'une amitié sans soucis.
Je me demande si tu retrouveras la haut
La sérénité qui sur terre te faisait tant défaut.
Mon coeur est à genoux
Mon quotidien s'est arrété d'un coup
Ce matin sans prévenir du tout.
Je viens de perdre un ami
Cette nuit dans son lit
Seul avec son ennui
Et qui pourtant semblait reprendre gout à la vie.
La mort est si cruelle
Qu'elle nous emporte les amitiés fidéles.
Tu viens de tirer ta révérence
Et pourtant je me surprend à sourire de notre enfance.
Hier tu étais si loin de moi
Préoccupé par je ne sais quoi.
Tu avais sans doute tes raisons
Pour partir définitivement dans ta maison.
Que de regrets me trottent dans la téte
De n'avoir pu te mettre le coeur en féte.
Tu avais l'air si heureux
Ce dernier week end passé a LISIEUX.
Avais tu prémédité ton geste
A cause de se mal étre qui te rongeait comme la peste.
Tu n'es plus la mon ami
Aprés tant d'années d'une amitié sans soucis.
Je me demande si tu retrouveras la haut
La sérénité qui sur terre te faisait tant défaut.
vendredi 26 septembre 2008
L'AMOUR
Qui es tu pour me donner l'envie
De m'essoufler jusqu'à mon dernier cri
De caresser ton corps
Jusqu'au désir dans demander encore.
Mes lévres se posent sur ton sein
Que j'embrasse sans fin
Et de vouloir aller plus loin
Mais que ta main me retient.
J'effleure ta peau
Que je perçois comme un cadeau
Ton soufle sacadé
Me donne le plaisir de t'aimer.
De m'essoufler jusqu'à mon dernier cri
De caresser ton corps
Jusqu'au désir dans demander encore.
Mes lévres se posent sur ton sein
Que j'embrasse sans fin
Et de vouloir aller plus loin
Mais que ta main me retient.
J'effleure ta peau
Que je perçois comme un cadeau
Ton soufle sacadé
Me donne le plaisir de t'aimer.
vendredi 19 septembre 2008
AMOUR EPHEMERE
Je traduisais tes mots
Que tu m'avais envoyé de WATERLOO
Le CANADA que tu avais quitté
Pour passer avec moi cinq jours d'été.
Ton français imparfait
M'avais fait chavirer à jamais.
Si loin nos deux coeurs
Ne retrouverons plus leurs chaleurs.
Je te revois sur la plage
Le soleil brulant ton visage
Et les vagues secouant légérement ton corps
Si beau que j'en réve toujours encore.
L'hiver est déja si vite arrivé
Qu'en regardant la neige tombé
Je t'imagine entrain de rigoler
A partager l'amour de ton fiançé
Que tu avais connu
Peu aprés notre véçu.
Je n'ai plus l'espoir de te revoir
Mais essaie au moins de me faire croire
Que cet amour éphémére
N'est pas seulement que derriére.
Que tu m'avais envoyé de WATERLOO
Le CANADA que tu avais quitté
Pour passer avec moi cinq jours d'été.
Ton français imparfait
M'avais fait chavirer à jamais.
Si loin nos deux coeurs
Ne retrouverons plus leurs chaleurs.
Je te revois sur la plage
Le soleil brulant ton visage
Et les vagues secouant légérement ton corps
Si beau que j'en réve toujours encore.
L'hiver est déja si vite arrivé
Qu'en regardant la neige tombé
Je t'imagine entrain de rigoler
A partager l'amour de ton fiançé
Que tu avais connu
Peu aprés notre véçu.
Je n'ai plus l'espoir de te revoir
Mais essaie au moins de me faire croire
Que cet amour éphémére
N'est pas seulement que derriére.
mardi 16 septembre 2008
LES PETITS GENS
Ils commençent la journée comme un chemin de croix
A se demander si le soir ils auront encore un toit.
De dettes en désarois
Ils se retrouvent en difficulté chaque fins de mois.
L'hiver n'est pas la saison qu'ils préférent
Sauf devant un feu de bois ou une chaudiére.
Ils essaient de vivre au mieux
A s'inventer des jours heureux.
Ils profitent du moindre plaisir
Qu'ils se procurent d'écrire ou de lire
Ou d'une ballade et d'un ciné
Qu'ils se paient une fois dans l'année.
Les petits gens n'auront jamais de fortune
Ils ne pourront jamais s'offrir la lune
Mais ils savent etre modeste
Contre ceux qui les évitent comme la peste.
l
A se demander si le soir ils auront encore un toit.
De dettes en désarois
Ils se retrouvent en difficulté chaque fins de mois.
L'hiver n'est pas la saison qu'ils préférent
Sauf devant un feu de bois ou une chaudiére.
Ils essaient de vivre au mieux
A s'inventer des jours heureux.
Ils profitent du moindre plaisir
Qu'ils se procurent d'écrire ou de lire
Ou d'une ballade et d'un ciné
Qu'ils se paient une fois dans l'année.
Les petits gens n'auront jamais de fortune
Ils ne pourront jamais s'offrir la lune
Mais ils savent etre modeste
Contre ceux qui les évitent comme la peste.
l
MAUVAIS TEMPS EN BRETAGNE
A la pointe du moulinet le vent soufflait par rafale.
Un bateau qui venait de CANCALE
était balloté par la mer déchainée
Qui offrait ses lames aux rochers.
Dans le ciel les oiseaux étaient impuissants
Face aux déchainements du temps.
Les nuages gris noirs s'entremélaient souvent
Laissant entrevoir du bleu que par moment.
La pluie commençait à tomber finement
Pour continuer plus violemment.
Les derniers estivants sous leurs parapluies
Couraient vers les premiers abris.
Au fil des heures
Le ciel éloignait sa noirceur
Pour revenir à de meilleurs couleurs.
Le vent attenuait sa puissance
L'eau tombait avec moins de violence.
Le soleil commençait à pointer le bout de son nez
Comme si de rien ne s'était passé.
Un bateau qui venait de CANCALE
était balloté par la mer déchainée
Qui offrait ses lames aux rochers.
Dans le ciel les oiseaux étaient impuissants
Face aux déchainements du temps.
Les nuages gris noirs s'entremélaient souvent
Laissant entrevoir du bleu que par moment.
La pluie commençait à tomber finement
Pour continuer plus violemment.
Les derniers estivants sous leurs parapluies
Couraient vers les premiers abris.
Au fil des heures
Le ciel éloignait sa noirceur
Pour revenir à de meilleurs couleurs.
Le vent attenuait sa puissance
L'eau tombait avec moins de violence.
Le soleil commençait à pointer le bout de son nez
Comme si de rien ne s'était passé.
lundi 15 septembre 2008
LA LETTRE DE RUPTURE
Il venait d'apprendre qu'elle le quittait
Par une lettre elle s'expliquait
La raison de sa décision
La rupture de leur union.
Elle lui disait qu'elle n'avait rien à lui reprocher
Mais qu'elle avait cessé de l'aimer.
Ils avaient passé le week end ensemble
Et rien que d'y penser ses mains en tremblent.
Elle voulait durant ces 2 jours lui en parler
Mais le courage lui avait subitement manquer.
A vrai dire il avait aussitot compris
Qu'un nouvel homme était rentré dans sa vie.
Ces longs moments de réveries
N'étaient que des pensées vers son nouvel ami.
Elle était d'un autre amoureuse
D'ou l'explication d'avoir été soucieuse
Durant de longues semaines
Et d'étre aujourd'hui plus sienne.
Par une lettre elle s'expliquait
La raison de sa décision
La rupture de leur union.
Elle lui disait qu'elle n'avait rien à lui reprocher
Mais qu'elle avait cessé de l'aimer.
Ils avaient passé le week end ensemble
Et rien que d'y penser ses mains en tremblent.
Elle voulait durant ces 2 jours lui en parler
Mais le courage lui avait subitement manquer.
A vrai dire il avait aussitot compris
Qu'un nouvel homme était rentré dans sa vie.
Ces longs moments de réveries
N'étaient que des pensées vers son nouvel ami.
Elle était d'un autre amoureuse
D'ou l'explication d'avoir été soucieuse
Durant de longues semaines
Et d'étre aujourd'hui plus sienne.
vendredi 12 septembre 2008
COUP DE FOLIE
Allongée face contre terre
A la regarder il ne savait que faire
Tout son étre tremblait
Toute son ame se détériorait.
N'avait il plus supporté son mépris
Sa façon de ralentir son énergie.
A vait-elle poussé a bout ses envies
Jusqu'à cet acte de folie.
Il suppliait violemment ses mains
De leurs dirent pourquoi elles étaient arrivées à leurs fins.
Il ne voulait pas que ça se termine comme ça
Mais es ce vraiment lui qui avait fait cela?
Il restait prosté dans son coin
A cauchemarder l'esprit déja loin
A attendre je ne sais qui
A voir défiler sa sale vie.
A la regarder il ne savait que faire
Tout son étre tremblait
Toute son ame se détériorait.
N'avait il plus supporté son mépris
Sa façon de ralentir son énergie.
A vait-elle poussé a bout ses envies
Jusqu'à cet acte de folie.
Il suppliait violemment ses mains
De leurs dirent pourquoi elles étaient arrivées à leurs fins.
Il ne voulait pas que ça se termine comme ça
Mais es ce vraiment lui qui avait fait cela?
Il restait prosté dans son coin
A cauchemarder l'esprit déja loin
A attendre je ne sais qui
A voir défiler sa sale vie.
mercredi 10 septembre 2008
LA SOLITUDE D'UNE JEUNE FEMME CELIBATAIRE
Elle était là à se toucher les seins
Le ventre et le bassin
Comme pour se donner une explication
Pourquoi n'était elle pas aimé d'un garçon.
Dans la rue elle passait inaperçu
A se fondre dans la foule des inconnus.
Mais elle désirait une nouvelle vie
Pour partager avec un autre ses envies.
De la solitude qu'elle avait vécu
Dés maintenant elle n'en voulait plus.
D'annonces en rencontres
Elle n'y était pas contre
Mais sa timidité maladive
Avait stoppé toutes ses initiatives.
Elle s'était maquillée ce matin
Pour elle pas pour quelqu'un
En espérant que le hasard de la vie
Lui fera découvrir le plaisir d'etre uni.
Le ventre et le bassin
Comme pour se donner une explication
Pourquoi n'était elle pas aimé d'un garçon.
Dans la rue elle passait inaperçu
A se fondre dans la foule des inconnus.
Mais elle désirait une nouvelle vie
Pour partager avec un autre ses envies.
De la solitude qu'elle avait vécu
Dés maintenant elle n'en voulait plus.
D'annonces en rencontres
Elle n'y était pas contre
Mais sa timidité maladive
Avait stoppé toutes ses initiatives.
Elle s'était maquillée ce matin
Pour elle pas pour quelqu'un
En espérant que le hasard de la vie
Lui fera découvrir le plaisir d'etre uni.
dimanche 7 septembre 2008
LA COLERE
Il y a des coléres
Qui rendent améres
Des faits divers
Qui nous font pas taire.
Des brulures de la vie
Qui nous donnent l'envie
De hurler notre mépris
Envers des abrutis.
Des irresponsables du volant
Qui provoquent des accidents
Aprés trop de beuveries
Insconcients de leurs conneries
Et qui s'aperçoivent aprés etre dégrisés
Des dégats qu'ils ont provoqués.
Et combien de portables allumés
Et de textos envoyés
Qui ont détruits
Des familles unies.
Que de vies sacrifiées
Ont été liés
A ces stupidités
Qui auraient pu etre évité.
Qui rendent améres
Des faits divers
Qui nous font pas taire.
Des brulures de la vie
Qui nous donnent l'envie
De hurler notre mépris
Envers des abrutis.
Des irresponsables du volant
Qui provoquent des accidents
Aprés trop de beuveries
Insconcients de leurs conneries
Et qui s'aperçoivent aprés etre dégrisés
Des dégats qu'ils ont provoqués.
Et combien de portables allumés
Et de textos envoyés
Qui ont détruits
Des familles unies.
Que de vies sacrifiées
Ont été liés
A ces stupidités
Qui auraient pu etre évité.
samedi 6 septembre 2008
LES BLEUS DANS L'AME
Sa jupe se souleva au gré du vent
Laissant apparaitre ses jambes d'enfant.
A 15 ans elle pensait devenir une femme
Mais une blessure avait blessé son ame.
Elle restait impassible sous l'orage
A attendre son amant d'un autre age.
L'eau de pluie coulait sur son visage
Qui effaçait un léger maquillage.
Ses longs cheveux blonds mouillés
Cachaient en parti ses épaules dénudés.
Sur la plage déserte elle regardait la mer
Pour ne garder qu'en souvenir son amour éphémére.
Ses yeux rougis
Trahissaient sa mélancolie.
Elle attendait un au revoir
Pour mieux garder l'espoir.
Elle ne voulait pas croire avoir pedu sa virginité
Lors d'un simple amour d'été.
Elle a pensé tant de fois qu'il viendrait
Que sa jeune vie à cet instant se détruisait.
Laissant apparaitre ses jambes d'enfant.
A 15 ans elle pensait devenir une femme
Mais une blessure avait blessé son ame.
Elle restait impassible sous l'orage
A attendre son amant d'un autre age.
L'eau de pluie coulait sur son visage
Qui effaçait un léger maquillage.
Ses longs cheveux blonds mouillés
Cachaient en parti ses épaules dénudés.
Sur la plage déserte elle regardait la mer
Pour ne garder qu'en souvenir son amour éphémére.
Ses yeux rougis
Trahissaient sa mélancolie.
Elle attendait un au revoir
Pour mieux garder l'espoir.
Elle ne voulait pas croire avoir pedu sa virginité
Lors d'un simple amour d'été.
Elle a pensé tant de fois qu'il viendrait
Que sa jeune vie à cet instant se détruisait.
vendredi 5 septembre 2008
NOUS LES HOMMES
Que dire de plus que ce qui a été dit
Tant de défauts nous collent à vie.
Des exemples il y en a tellement
Que les énumérés seraient lassant.
Si nous existions pas il faudrait nous inventer.
A entendre nos concubines parler
Ont se demandent ce qui les poussent à rester.
Téméraires sont celles qui ont le courage de divorcer
Et qui trouvent le moyen de se remarier peu aprés.
Y aurait il chez elles un coté maso
Pour vouloir un mec dans leur dodo!
A réfléchir un petit peu
Nous devons etre irremplaçables messieurs.
Et restons comme nous sommes
C'est à dire tout simplement des hommes.
Tant de défauts nous collent à vie.
Des exemples il y en a tellement
Que les énumérés seraient lassant.
Si nous existions pas il faudrait nous inventer.
A entendre nos concubines parler
Ont se demandent ce qui les poussent à rester.
Téméraires sont celles qui ont le courage de divorcer
Et qui trouvent le moyen de se remarier peu aprés.
Y aurait il chez elles un coté maso
Pour vouloir un mec dans leur dodo!
A réfléchir un petit peu
Nous devons etre irremplaçables messieurs.
Et restons comme nous sommes
C'est à dire tout simplement des hommes.
jeudi 4 septembre 2008
D'AVANT SA NAISSANCE
Il était confortablement installé
A l'intérieur recroquevillé
Pour attendre de sortir
Et partager de la vie les plaisirs.
Il écoutait tout ce qui se disait
Et sur son compte il y en avait
Pourvu qu'il soit beau
Intelligent et pas idiot.
Son pére voulait qu'il soit acteur
Et sa mére un imminent docteur.
Durant neuf mois il était habitué
A écouté leurs conseils avisés.
Il avait peur de ne pas etre à la hauteur
Puisqu'il entendait partout qu'il serait le meilleur.
Il était à l'écoute de tout
Des réves les plus fous.
Et une fois qu'il fut sorti
Ils étaient tous autour de son lit
Pour savoir si il ressemblait à ce qui avait été dit
Et vu leurs tétes il n'avait pas l'air d'etre leur idéal de petit.
A l'intérieur recroquevillé
Pour attendre de sortir
Et partager de la vie les plaisirs.
Il écoutait tout ce qui se disait
Et sur son compte il y en avait
Pourvu qu'il soit beau
Intelligent et pas idiot.
Son pére voulait qu'il soit acteur
Et sa mére un imminent docteur.
Durant neuf mois il était habitué
A écouté leurs conseils avisés.
Il avait peur de ne pas etre à la hauteur
Puisqu'il entendait partout qu'il serait le meilleur.
Il était à l'écoute de tout
Des réves les plus fous.
Et une fois qu'il fut sorti
Ils étaient tous autour de son lit
Pour savoir si il ressemblait à ce qui avait été dit
Et vu leurs tétes il n'avait pas l'air d'etre leur idéal de petit.
mercredi 3 septembre 2008
L'INCONNUE DU TRAIN
Elle était assise dans un coin du compartiment
A regarder le paysage défiler rapidement
Elle semblait si loin de la réalité
Par le décor qui lui était présenté.
Par moment elle jetait un oeil à ses voisins
Mais revenait aussitot à ses réves malsains
Trahis par ses yeux embuées de chagrin
Qu'elle essuyait d'un revers de la main.
L'homme installé à ses cotés lui tendit un mouchoir en papier
Qu'elle accepta sans méme sourcillier
Sans un regard pour le remercier
Tellement sa vie semblait déchirée
Par un fait qui venait de lui arriver.
Lorsque le train s'arréta à la gare annoncée
La dame se leva sans se précipiter
Pour se diriger à l'avant vers la porte de sortie désirée
Et de rester impassible sur le quai déserté.
Le train repartit sans qu'elle réapparu dans le compartiment
Que soudainement il s'arréta brusquement
Et qu'un cri se fit entendre à l'instant présent
Suivi de pas rapides résonnant sur le ciment.
A regarder le paysage défiler rapidement
Elle semblait si loin de la réalité
Par le décor qui lui était présenté.
Par moment elle jetait un oeil à ses voisins
Mais revenait aussitot à ses réves malsains
Trahis par ses yeux embuées de chagrin
Qu'elle essuyait d'un revers de la main.
L'homme installé à ses cotés lui tendit un mouchoir en papier
Qu'elle accepta sans méme sourcillier
Sans un regard pour le remercier
Tellement sa vie semblait déchirée
Par un fait qui venait de lui arriver.
Lorsque le train s'arréta à la gare annoncée
La dame se leva sans se précipiter
Pour se diriger à l'avant vers la porte de sortie désirée
Et de rester impassible sur le quai déserté.
Le train repartit sans qu'elle réapparu dans le compartiment
Que soudainement il s'arréta brusquement
Et qu'un cri se fit entendre à l'instant présent
Suivi de pas rapides résonnant sur le ciment.
lundi 1 septembre 2008
LE CHAT ET LA TORTUE
Un chat dans le jardin
Fut stoppé net dans son entrain
Par un intrus qu'il pensait etre qu'une pierre
Et qui n'était autre qu'une tortue de terre.
La petite béte pas affolée
Troubla le félin qui désirait jouer.
N'acceptant pas les amitiés nouvelles
Elle se transformant en tortue rebelle.
De sa téte relevée
Elle défia le félidé
Qui surpris par autant d'hostilité
S'en alla tout dépité.
Moralité de cette petite histoire
C'est que le chat à vouloir croire
Qu'il peut jouer avec n'importe quoi
Réfléchira avant par deux fois.
Fut stoppé net dans son entrain
Par un intrus qu'il pensait etre qu'une pierre
Et qui n'était autre qu'une tortue de terre.
La petite béte pas affolée
Troubla le félin qui désirait jouer.
N'acceptant pas les amitiés nouvelles
Elle se transformant en tortue rebelle.
De sa téte relevée
Elle défia le félidé
Qui surpris par autant d'hostilité
S'en alla tout dépité.
Moralité de cette petite histoire
C'est que le chat à vouloir croire
Qu'il peut jouer avec n'importe quoi
Réfléchira avant par deux fois.
vendredi 15 août 2008
BALLADE EN BORD DE MER
Assis en haut sur un rocher
Je regardais le soleil se lever
La beauté du paysage
M'apaisait davantage.
Les ennuis du quotidien
Etaient à cet instant bien loin.
La fraicheur du matin
Me donnait l'entrain
D'une longue ballade
Jusqu'à la rade.
Le réveil des mouettes
Me mit le coeur en féte.
Leurs cris stridents
Me changeait du silence d'avant.
Je me sentais moins seul maintenant
Et je continuais ma marche en avant
Conscient du trajet
Que j'avais à effectuer.
Par instant je m'arrétais
A regarder un bateau qui rentrait
Ou un pécheur à la ligne
Qui me disait bonjour d'un signe.
La mer était si belle
d'un bleu de couleur pastelle.
A ce moment là j'étais si bien
Tout me paraissait lointain
La vie des citadins
Le réveil tot des matins
Le train train quotidien
Des boulots sans lendemain.
Le soleil s'était complétement levé
Les mouettes avaient rejoint un bateau arrété
Qu'elles survolaient en espérant à manger
Le pécheur avait disparut avant que la marée se mette à monter
Et moi j'avais fait demi tour aprés ma ballade terminée.
Le soir venu je m'étais promis de recommencer
Cette promenade avant la fin des vacances d'été.
La lourdeur et la moiteur du temps
Ne me permis pas de m'endormir avant longtemps.
Je regardais le soleil se lever
La beauté du paysage
M'apaisait davantage.
Les ennuis du quotidien
Etaient à cet instant bien loin.
La fraicheur du matin
Me donnait l'entrain
D'une longue ballade
Jusqu'à la rade.
Le réveil des mouettes
Me mit le coeur en féte.
Leurs cris stridents
Me changeait du silence d'avant.
Je me sentais moins seul maintenant
Et je continuais ma marche en avant
Conscient du trajet
Que j'avais à effectuer.
Par instant je m'arrétais
A regarder un bateau qui rentrait
Ou un pécheur à la ligne
Qui me disait bonjour d'un signe.
La mer était si belle
d'un bleu de couleur pastelle.
A ce moment là j'étais si bien
Tout me paraissait lointain
La vie des citadins
Le réveil tot des matins
Le train train quotidien
Des boulots sans lendemain.
Le soleil s'était complétement levé
Les mouettes avaient rejoint un bateau arrété
Qu'elles survolaient en espérant à manger
Le pécheur avait disparut avant que la marée se mette à monter
Et moi j'avais fait demi tour aprés ma ballade terminée.
Le soir venu je m'étais promis de recommencer
Cette promenade avant la fin des vacances d'été.
La lourdeur et la moiteur du temps
Ne me permis pas de m'endormir avant longtemps.
mercredi 13 août 2008
LE POMMIER
Souvent j'ai pensé a vous
Tous les jours je l'avoue
Dans votre robe d'été
Qui me faisait révé.
Vous lisiez sous le pommier
A l'ombre prés des fleurs séchées
Sans meme vous apercevoir souvent tard
Que je vous observais à espérer un regard.
Vous étiez si belle
A monter sur votre échelle
Que j'aurai aimé vous suivre
A regarder d'en haut votre jardin vivre.
Maintes fois je vous ai désiré
Mais vous étiez si occupée
Entre votre potager et vos arbres fruitiers
Que je ne vous ai jamais solliciter à parler.
Souvent je vous voyais rire
Et partager des souvenirs
Avec un homme plus agé
Qui caressait vos cheveux frisés.
Puis un jour je vous ai surpris a pleurer
Sous votre pommier ce dernier été
Une lettre entre vos mains
Vous sembliez déja si loin.
J'aurai aimé tant vous consoler
Mais je n'ai pas eu le courage de vous approcher.
J'espére que vous saurez me pardonner
Mais je n'ai rien de vous a espérer.
Maintenant que vous étes partis
Dans le sud pour vivre une autre vie
Je me permet de vous écrire
Sans trop savoir si vous allez aimer me lire.
Tous les jours je l'avoue
Dans votre robe d'été
Qui me faisait révé.
Vous lisiez sous le pommier
A l'ombre prés des fleurs séchées
Sans meme vous apercevoir souvent tard
Que je vous observais à espérer un regard.
Vous étiez si belle
A monter sur votre échelle
Que j'aurai aimé vous suivre
A regarder d'en haut votre jardin vivre.
Maintes fois je vous ai désiré
Mais vous étiez si occupée
Entre votre potager et vos arbres fruitiers
Que je ne vous ai jamais solliciter à parler.
Souvent je vous voyais rire
Et partager des souvenirs
Avec un homme plus agé
Qui caressait vos cheveux frisés.
Puis un jour je vous ai surpris a pleurer
Sous votre pommier ce dernier été
Une lettre entre vos mains
Vous sembliez déja si loin.
J'aurai aimé tant vous consoler
Mais je n'ai pas eu le courage de vous approcher.
J'espére que vous saurez me pardonner
Mais je n'ai rien de vous a espérer.
Maintenant que vous étes partis
Dans le sud pour vivre une autre vie
Je me permet de vous écrire
Sans trop savoir si vous allez aimer me lire.
LE TOURNANT DE LA VIE
Je suis allonge dans un pré
Et je me demande ce qui m'est arrivé.
Je sens les odeurs de l'été
Qui me donne l'espoir de m'accrocher.
Le ciel est si lumineux
Qu'il me fait mal aux yeux.
Je me touche le corps
Pour savoir si je vis encore.
J'ai mal partout
Des pieds jusqu'au cou
Et lourde est ma téte
Comme un lendemain de féte.
J'ai envie de me souvenir
Mais rien ne semble me revenir
Mon ame est si vide
Et j'ai peur de devenir invalide.
J'ai besoin d'un profond sommeil
Mais au loin des sirénes me tiennent en éveil.
J'ai tellement la crainte de m'endormir
Et de ne pas profiter de la vie à venir.
J'entend se rapprocher des voix
Qui parlent de mort maintes fois.
J'aperçois des visages penchés sur moi
Si graves qu'ils me mettent en émoi.
Je me surprend à pleurer
Comme un enfant qui a perdu son jouet.
A etre autour comme ils le font
Ils me bouchent mon horizon.
Ma vie défile comme un compte à rebours
Avant que je ne perde connaissance pour toujours.
Et je me demande ce qui m'est arrivé.
Je sens les odeurs de l'été
Qui me donne l'espoir de m'accrocher.
Le ciel est si lumineux
Qu'il me fait mal aux yeux.
Je me touche le corps
Pour savoir si je vis encore.
J'ai mal partout
Des pieds jusqu'au cou
Et lourde est ma téte
Comme un lendemain de féte.
J'ai envie de me souvenir
Mais rien ne semble me revenir
Mon ame est si vide
Et j'ai peur de devenir invalide.
J'ai besoin d'un profond sommeil
Mais au loin des sirénes me tiennent en éveil.
J'ai tellement la crainte de m'endormir
Et de ne pas profiter de la vie à venir.
J'entend se rapprocher des voix
Qui parlent de mort maintes fois.
J'aperçois des visages penchés sur moi
Si graves qu'ils me mettent en émoi.
Je me surprend à pleurer
Comme un enfant qui a perdu son jouet.
A etre autour comme ils le font
Ils me bouchent mon horizon.
Ma vie défile comme un compte à rebours
Avant que je ne perde connaissance pour toujours.
mardi 12 août 2008
LE RETOUR DE LA FEMME VOLAGE
Elle avait passé six mois dans sa vie
Comme une souffrance et des ennuis
A lui faire des scénes de jalousies
De jours comme de nuits.
Que de fétes gachées à la surprendre
Des heures entiéres à l'attendre.
Ses mains avaient frappées
Lors d'un repas trop arrosés.
Sa valise à la main
Elle réapparut un matin
Sur le quai de la gare
Seule et le regard hagard.
Plus de maquillage
Illuminait son visage
Comme au temps des rendez vous volages
Avec des amants de passage.
Son retour n'avait pas été souhaité
Au village elle n'était pas aimé.
Son départ ce soir d'été
Avait été soulagement et gaité.
Depuis le destin ne l'avait pas épargné
Le pardon elle l'avait espéré
Mais plus personne ne la désirait
Elle s'en retourna à jamais.
Comme une souffrance et des ennuis
A lui faire des scénes de jalousies
De jours comme de nuits.
Que de fétes gachées à la surprendre
Des heures entiéres à l'attendre.
Ses mains avaient frappées
Lors d'un repas trop arrosés.
Sa valise à la main
Elle réapparut un matin
Sur le quai de la gare
Seule et le regard hagard.
Plus de maquillage
Illuminait son visage
Comme au temps des rendez vous volages
Avec des amants de passage.
Son retour n'avait pas été souhaité
Au village elle n'était pas aimé.
Son départ ce soir d'été
Avait été soulagement et gaité.
Depuis le destin ne l'avait pas épargné
Le pardon elle l'avait espéré
Mais plus personne ne la désirait
Elle s'en retourna à jamais.
LE HERISSON
A la tombée de la nuit
Doucement sans faire de bruit
Sous les feuilles enfoui
Il sortit de son abri.
Son royaume c'était le jardin
Qu'il traversait sans réel entrain
A la recherche d'une nourriture
En prédateur c'était sa nature.
A mon approche discréte
Il a peur de ce qui le guette.
Pourtant mon arrivée
n'a rien de méchanceté.
En boule il devient
Jusqu'à mon départ prochain.
Ce soir là il disparut
Dans son abri je pensais qu'il y étais revenu
Mais depuis la fin de la saison
Je ne revis plus mon hérisson.
Doucement sans faire de bruit
Sous les feuilles enfoui
Il sortit de son abri.
Son royaume c'était le jardin
Qu'il traversait sans réel entrain
A la recherche d'une nourriture
En prédateur c'était sa nature.
A mon approche discréte
Il a peur de ce qui le guette.
Pourtant mon arrivée
n'a rien de méchanceté.
En boule il devient
Jusqu'à mon départ prochain.
Ce soir là il disparut
Dans son abri je pensais qu'il y étais revenu
Mais depuis la fin de la saison
Je ne revis plus mon hérisson.
dimanche 10 août 2008
AU TEMPS DE L'ADOLESCENCE
Dans son pantalon trop grand pour lui
Qu'il remonte sans cesse sans le moindre souci
Il marche dans les rues de son allure chaloupée
Sa casquette de travers qu'l quitte que pour aller se coucher.
Avec ses copains il veut refaire le monde
Et critique sa copine qu'il trouve un peu ronde
Ou ses parents trop encombrants
Qu'il traite carrement de chiants.
Dans sa chambre devant une glace
Il regarde de prés les boutons qu'il a sur la face
Et est pret à les percer sans retenue
Pour en extraire le pus!
Il se sert d'un manche à balaie comme micro
Pour chanter et se déhancher à la façon des groupes pros
Et fume en méme temps un joint
Pour se redonner confiance quand il en a besoin.
Il est souvent mal dans sa peau
Qu'il éspére bientot ne plus etre un ado.
Qu'il remonte sans cesse sans le moindre souci
Il marche dans les rues de son allure chaloupée
Sa casquette de travers qu'l quitte que pour aller se coucher.
Avec ses copains il veut refaire le monde
Et critique sa copine qu'il trouve un peu ronde
Ou ses parents trop encombrants
Qu'il traite carrement de chiants.
Dans sa chambre devant une glace
Il regarde de prés les boutons qu'il a sur la face
Et est pret à les percer sans retenue
Pour en extraire le pus!
Il se sert d'un manche à balaie comme micro
Pour chanter et se déhancher à la façon des groupes pros
Et fume en méme temps un joint
Pour se redonner confiance quand il en a besoin.
Il est souvent mal dans sa peau
Qu'il éspére bientot ne plus etre un ado.
mercredi 6 août 2008
LE VARAN DE LOU
Dans la rue elle valsait
Elle chantait,elle hurlait
Et vociférait contre les passants
En les traitants de putes de gens.
Des jours elle grattait la guitare
Ou fumait de gros cigares.
Et d'autres elle buvait du rhum blanc
A la bouteille depuis le temps.
Son chapeau sur la téte
Elle aimait faire la féte
Pas dans les guinguettes
Mais sur les pavés de la VILLETTE.
Son nom de trottoir c'était MARY LOU
Mais pour les intimes LE VARAN DE LOU
A cause du gros lézard gravé dans son cou
Qui la distinguait des autres loulous.
Elle fréquentait les voyous du coin
Avec qui elle fumait des joints.
Elle aimait se faire remarquer
Partout ou elle passait à gueuler.
La noirceur de son visage
N'était pas du au breuvage
Mais à son pays le MALI
Qu'elle avait quitté il y a une décennie.
Depuis des mois que l'ont ne l'a plus revue
A trainer dans les cafés et les rues
Le calme est depuis revenu
Et personne ne se préocupe de ce qu elle est devenue.
Elle chantait,elle hurlait
Et vociférait contre les passants
En les traitants de putes de gens.
Des jours elle grattait la guitare
Ou fumait de gros cigares.
Et d'autres elle buvait du rhum blanc
A la bouteille depuis le temps.
Son chapeau sur la téte
Elle aimait faire la féte
Pas dans les guinguettes
Mais sur les pavés de la VILLETTE.
Son nom de trottoir c'était MARY LOU
Mais pour les intimes LE VARAN DE LOU
A cause du gros lézard gravé dans son cou
Qui la distinguait des autres loulous.
Elle fréquentait les voyous du coin
Avec qui elle fumait des joints.
Elle aimait se faire remarquer
Partout ou elle passait à gueuler.
La noirceur de son visage
N'était pas du au breuvage
Mais à son pays le MALI
Qu'elle avait quitté il y a une décennie.
Depuis des mois que l'ont ne l'a plus revue
A trainer dans les cafés et les rues
Le calme est depuis revenu
Et personne ne se préocupe de ce qu elle est devenue.
lundi 4 août 2008
APRES MA VIE...LA MORT
Devant ma page blanche
Ma mémoire flanche
Mes souvenirs me trahissent
Ma durée de vie s'amenuise.
J'écris que quelques mots
A mes parents à mes ados
Que je ne pourrais me libérer
Comme ils l'auraient souhaité.
Je revois par moments les visages
Leurs vies sans l'ombre d'un nuage
Comme un flash dans mon ame
Qui revient comme une flamme.
Le soleil qui s'invitait dans la maison
A l'époque ou il faisait bon.
Les éclats de rire des enfants
Qui fusaient à chaque instant.
Je crains la fin prochaine
Qui me lie comme à une chaine.
Mourir n'est pas un probléme
Je penses surtout a ceux que j'aime.
Je suis assis sur une chaise
Et j'ai mon coeur comme une braise
qui semble pret à s'arreter
A la moindre fébrilité.
La haut je serais dans l'inconnu
Comme un etre plutot perdu.
Si bien m'allait le bleu
Qu'il défile trop souvent devant mes yeux.
C'est la couleur préféré de la mort
C'est ce que disent les miraculés de ce sort.
Je me sens tout d' un coup si léger à naviguer sur les flots
Comme un bateau déchargé de tous fardeaux.
Cette fois j'ai vraiment peur
De ne pas etre à la hauteur
Mais pourtant à cet instant je suis si bien
Que je n'ai pas le courage de dire adieu aux miens.
Ma mémoire flanche
Mes souvenirs me trahissent
Ma durée de vie s'amenuise.
J'écris que quelques mots
A mes parents à mes ados
Que je ne pourrais me libérer
Comme ils l'auraient souhaité.
Je revois par moments les visages
Leurs vies sans l'ombre d'un nuage
Comme un flash dans mon ame
Qui revient comme une flamme.
Le soleil qui s'invitait dans la maison
A l'époque ou il faisait bon.
Les éclats de rire des enfants
Qui fusaient à chaque instant.
Je crains la fin prochaine
Qui me lie comme à une chaine.
Mourir n'est pas un probléme
Je penses surtout a ceux que j'aime.
Je suis assis sur une chaise
Et j'ai mon coeur comme une braise
qui semble pret à s'arreter
A la moindre fébrilité.
La haut je serais dans l'inconnu
Comme un etre plutot perdu.
Si bien m'allait le bleu
Qu'il défile trop souvent devant mes yeux.
C'est la couleur préféré de la mort
C'est ce que disent les miraculés de ce sort.
Je me sens tout d' un coup si léger à naviguer sur les flots
Comme un bateau déchargé de tous fardeaux.
Cette fois j'ai vraiment peur
De ne pas etre à la hauteur
Mais pourtant à cet instant je suis si bien
Que je n'ai pas le courage de dire adieu aux miens.
ILLUSION
Sur la plage sans un bruit
Elle apparut nue dans la nuit
De longs cheveux cachaient son regard
Elle venait de nulle part
D'un bateau échoué
Ou d'une planéte ignorée.
Sur la gréve elle étala son corps
Qu'elle dissimula d'un manteau brodé d 'or.
Puis elle dessina mon visage
Qui n'avait pas l'aspect de mon age.
Ensuite elle repartit d'ou elle était venu
Sans dire un mot elle disparut.
La pluie se mit soudainement à tomber
Le vent violemment à souffler
l'orage subitement à gronder.
Je voulus la suivre d'un pas déterminé
Quand mon réveil se mit à sonner.
Elle apparut nue dans la nuit
De longs cheveux cachaient son regard
Elle venait de nulle part
D'un bateau échoué
Ou d'une planéte ignorée.
Sur la gréve elle étala son corps
Qu'elle dissimula d'un manteau brodé d 'or.
Puis elle dessina mon visage
Qui n'avait pas l'aspect de mon age.
Ensuite elle repartit d'ou elle était venu
Sans dire un mot elle disparut.
La pluie se mit soudainement à tomber
Le vent violemment à souffler
l'orage subitement à gronder.
Je voulus la suivre d'un pas déterminé
Quand mon réveil se mit à sonner.
samedi 19 juillet 2008
UN JOUR JE TE RENCONTRERAIS
Je ne sais pas encore qui tu es
Mais un jour je te rencontrerais.
Dans une rame de métro
A la station SOLFERINO
Ou sur le rythme d'un tango
Dans le dancing du BALAJO.
Nous irons voir la tour EIFFEL
La vieille demoiselle
Qui brillera de tous ses feux
Spécialement pour nous deux.
Je te ferais voler sous les nuages
A u milieu des oiseaux sauvages
N'importe ou,ou tu voudras
Du moment que l'ont soit bien comme ça.
Je t'emménerais au fil de l'eau
En bateau sur les canaux
Ou à DINARD en pédalo
Jusqu'à la baie de SAINT MALO.
Je te ferais marcher dans les prés
A ceuillir les fleurs d'été
Ou à ramasser des champignons
En automne pendant la moisson.
Je t'embrasserais sur un banc
Ou au beau milieu d'un champs
En décembre ou en juillet
Ont aura tout le temps pour s'aimer.
Un jour tu verras
Ont se rencontreras
Comme disait la chanson
Jadis ou il faisait bon.
Mais un jour je te rencontrerais.
Dans une rame de métro
A la station SOLFERINO
Ou sur le rythme d'un tango
Dans le dancing du BALAJO.
Nous irons voir la tour EIFFEL
La vieille demoiselle
Qui brillera de tous ses feux
Spécialement pour nous deux.
Je te ferais voler sous les nuages
A u milieu des oiseaux sauvages
N'importe ou,ou tu voudras
Du moment que l'ont soit bien comme ça.
Je t'emménerais au fil de l'eau
En bateau sur les canaux
Ou à DINARD en pédalo
Jusqu'à la baie de SAINT MALO.
Je te ferais marcher dans les prés
A ceuillir les fleurs d'été
Ou à ramasser des champignons
En automne pendant la moisson.
Je t'embrasserais sur un banc
Ou au beau milieu d'un champs
En décembre ou en juillet
Ont aura tout le temps pour s'aimer.
Un jour tu verras
Ont se rencontreras
Comme disait la chanson
Jadis ou il faisait bon.
mardi 15 juillet 2008
LE PETIT GARCON
Agenouillé dans son coin
Il sanglote entre ses mains
Son papa n'est pas loin
A le consoler d'un calin.
La maman partie
Triste est ANDY.
Devant ses jouets
Il reste muet.
Depuis hier il n'a pas compris
Pourquoi elle s'était enfui
De la maison sans rien emporté
Et méme pas de l'avoir embrassé.
Il ne peut cacher sa tristesse
Son envie était d'avoir de la tendresse
Il pleure sa maman
Qui ne reviendra pas pour l'instant.
Il sanglote entre ses mains
Son papa n'est pas loin
A le consoler d'un calin.
La maman partie
Triste est ANDY.
Devant ses jouets
Il reste muet.
Depuis hier il n'a pas compris
Pourquoi elle s'était enfui
De la maison sans rien emporté
Et méme pas de l'avoir embrassé.
Il ne peut cacher sa tristesse
Son envie était d'avoir de la tendresse
Il pleure sa maman
Qui ne reviendra pas pour l'instant.
samedi 12 juillet 2008
UNE JOURNEE D'UNE VIEILLE DAME SEULE
La vie s'écoule doucement
Dans son fauteuil elle attend
Et reste silencieuse
Cette journée est annoncée pluvieuse.
Derriére ses rideaux tirés
Elle entrevoit les gens passés.
De temps en temps elle regarde ses mains
Qui ne lui servent presque plus à rien
Seulement à caresser son chat
Toujours fidéle dans ces moments la.
La pluie commence à claquer sur les carreaux
Le soleil arrivera que dans la soirée annonce la météo.
La vieille dame sait déja que personne ne viendra égayer sa journée
Elle restera encore et comme souvent esseuler.
Elle avait espérer la visite de ses enfants
La pluie a perturbé ce moment.
Elle s'accrochera à l'idée que demain
Quelqu'un viendra lui faire des bisous calins.
Dans son fauteuil elle attend
Et reste silencieuse
Cette journée est annoncée pluvieuse.
Derriére ses rideaux tirés
Elle entrevoit les gens passés.
De temps en temps elle regarde ses mains
Qui ne lui servent presque plus à rien
Seulement à caresser son chat
Toujours fidéle dans ces moments la.
La pluie commence à claquer sur les carreaux
Le soleil arrivera que dans la soirée annonce la météo.
La vieille dame sait déja que personne ne viendra égayer sa journée
Elle restera encore et comme souvent esseuler.
Elle avait espérer la visite de ses enfants
La pluie a perturbé ce moment.
Elle s'accrochera à l'idée que demain
Quelqu'un viendra lui faire des bisous calins.
mercredi 9 juillet 2008
LA PETITE
De pleurer elle en abuse
Et souvent meme elle s'en amuse
Par moment elle nous gate d'un sourire
Ou nous offre un éclat de rire.
Elle regarde de son berceau le plafond
Les lumiéres qui scintillent tout du long.
Elle essaie de nous dire des mots
Dans son langage qu'elle nous distribue comme un cadeau.
De son regard malicieux
Elle observe tout ceux
Qui deviendront à ses yeux
Les garants de sa vie en bleu.
Elle découvrira son monde de l'innocence
Les premiers pas de l'insouciance
Les chutes sans graves conséquences
Et l'avenir qui s'ouvrira comme une chance
A la meme cadence que le début d'une danse.
Et souvent meme elle s'en amuse
Par moment elle nous gate d'un sourire
Ou nous offre un éclat de rire.
Elle regarde de son berceau le plafond
Les lumiéres qui scintillent tout du long.
Elle essaie de nous dire des mots
Dans son langage qu'elle nous distribue comme un cadeau.
De son regard malicieux
Elle observe tout ceux
Qui deviendront à ses yeux
Les garants de sa vie en bleu.
Elle découvrira son monde de l'innocence
Les premiers pas de l'insouciance
Les chutes sans graves conséquences
Et l'avenir qui s'ouvrira comme une chance
A la meme cadence que le début d'une danse.
mardi 8 juillet 2008
BOUTONS D'OR ET COQUELICOTS
Nous apercevions les hirondelles voler tout en haut dans le ciel
Ce qui était annonciateur d'un temps de plein soleil.
De LESCHES à CHALIFERT
Nous traversions la ligne de chemin de fer
Ou le train chaque été
Ne passait qu'une fois dans la journée.
Nous nous retrouvions dans les champs
En culotte courte ou jeans pate d'éléphant
A courir à travers les épis de blé
Qui se recourbaient à chacune de nos courses effrénées.
Puis nous ramassions des coquelicots
Les boutons d'or et les pavots
Que nous formions en bouquet
Mais qui se fanaient peu de temps aprés.
Nous nous engagions dans des chemins boisés
Pour nous protéger de la chaleur de juillet
Ou nous allions dans des clairiére bien aérées
Pour ceuillir des fraises des bois trés sucrées.
Les week end avant les vacances d'été
Je retrouvais cette vie révée
Que la nature nous offrait
Chaque fois que j'y revenait
Ce qui était annonciateur d'un temps de plein soleil.
De LESCHES à CHALIFERT
Nous traversions la ligne de chemin de fer
Ou le train chaque été
Ne passait qu'une fois dans la journée.
Nous nous retrouvions dans les champs
En culotte courte ou jeans pate d'éléphant
A courir à travers les épis de blé
Qui se recourbaient à chacune de nos courses effrénées.
Puis nous ramassions des coquelicots
Les boutons d'or et les pavots
Que nous formions en bouquet
Mais qui se fanaient peu de temps aprés.
Nous nous engagions dans des chemins boisés
Pour nous protéger de la chaleur de juillet
Ou nous allions dans des clairiére bien aérées
Pour ceuillir des fraises des bois trés sucrées.
Les week end avant les vacances d'été
Je retrouvais cette vie révée
Que la nature nous offrait
Chaque fois que j'y revenait
dimanche 6 juillet 2008
LA DIFFERENCE
Sur un banc assises
Les deux amoureuses se bisent.
Transit par le froid d'hiver
Les passants les indifférent.
Ils observent leur différence
Elles se moquent de leur indécense.
Des caresses sous le manteau
Attirent les yeux des badauds.
Elles se réjouissent de provoquer
Pour leur comportement fait pour choquer.
Elles rient de voir les gens
Exquisser des regards défiants.
A leurs jolis minois
Qui cachent mal leur émois.
Les deux amoureuses se bisent.
Transit par le froid d'hiver
Les passants les indifférent.
Ils observent leur différence
Elles se moquent de leur indécense.
Des caresses sous le manteau
Attirent les yeux des badauds.
Elles se réjouissent de provoquer
Pour leur comportement fait pour choquer.
Elles rient de voir les gens
Exquisser des regards défiants.
A leurs jolis minois
Qui cachent mal leur émois.
jeudi 3 juillet 2008
LE CLOWN TRISTE
Les gamins hurlaient de rire
Les parents lui offraient des sourires.
Tout seul au milieu de la piste
Il amusait mais son coeur était triste.
Sous son maquillage et ses habits de derniére
Le clown blanc cachait la disparition de son auguste frére.
Solitaire depuis déja une semaine
Il ne ménagea jamais sa peine.
Dans sa loge au retour des applaudissements
Il s'éffondra comme un enfant.
Le spectacle était terminé
A tout jamais comme une fatalité.
Les parents lui offraient des sourires.
Tout seul au milieu de la piste
Il amusait mais son coeur était triste.
Sous son maquillage et ses habits de derniére
Le clown blanc cachait la disparition de son auguste frére.
Solitaire depuis déja une semaine
Il ne ménagea jamais sa peine.
Dans sa loge au retour des applaudissements
Il s'éffondra comme un enfant.
Le spectacle était terminé
A tout jamais comme une fatalité.
mercredi 18 juin 2008
MONSIEUR GABIN
Vous vous en étes allé une nuit,un matin
Je ne sais plus trés bien en novembre ça j'en suis certain
Et ce fut pour moi dans mon coeur beaucoup de chagrin
Que de perdre l'immense acteur que vous étiez monsieur GABIN.
Vos cendres furent dispersées en pleine mer
C'est ce que vous désiriez que plutot d'etre mis en biére.
Vous resterez toujours dans ma mémoire
Comme un homme que j'aurais aimé en réel voir.
Des grandes familles au pacha
En passant par MAIGRET ou le chat
Vous pouviez jouer tous les roles
Du plus sérieux au plus drole.
Votre casquette vissée sur votre téte
Et au bout de vos doigts votre éternelle cigarette
Vous étiez toujours sur les plateaux
A attendre de jouer dans vos films les plus beaux.
De votre allure de patriarche bourru
Vous impressionniez les premiers venus
C'est peut etre pour cette raison la
Que l'ont vous respectaient comme cela.
Je ne sais plus trés bien en novembre ça j'en suis certain
Et ce fut pour moi dans mon coeur beaucoup de chagrin
Que de perdre l'immense acteur que vous étiez monsieur GABIN.
Vos cendres furent dispersées en pleine mer
C'est ce que vous désiriez que plutot d'etre mis en biére.
Vous resterez toujours dans ma mémoire
Comme un homme que j'aurais aimé en réel voir.
Des grandes familles au pacha
En passant par MAIGRET ou le chat
Vous pouviez jouer tous les roles
Du plus sérieux au plus drole.
Votre casquette vissée sur votre téte
Et au bout de vos doigts votre éternelle cigarette
Vous étiez toujours sur les plateaux
A attendre de jouer dans vos films les plus beaux.
De votre allure de patriarche bourru
Vous impressionniez les premiers venus
C'est peut etre pour cette raison la
Que l'ont vous respectaient comme cela.
jeudi 12 juin 2008
LES FEMMES
Elles peuvent etre douces et fragiles
Caractérielles ou dociles.
Prendre dans leurs bras un enfant
Ou brandir leurs poings de mécontentement.
S'habiller élégamment chez SAINT LAURENT
Ou courir les soldes à AUCHAN.
Etre prétes pour une virée à moto
Ou fredonner maman do.
Etre amoureuse à l'extréme
Et rompre sans problémes.
Se masser le corps et se poudrer le visage
Pour tenter d'effacer l'outrage de l'age.
Etre chefs de production
Ou vendeuses chez CHAMPION.
Elles assument leur condition
Avec plus ou moins de conviction.
Malgré tout vous serez toujours les mémes
C'est sans doute pour cela que l'ont vous aimes.
Caractérielles ou dociles.
Prendre dans leurs bras un enfant
Ou brandir leurs poings de mécontentement.
S'habiller élégamment chez SAINT LAURENT
Ou courir les soldes à AUCHAN.
Etre prétes pour une virée à moto
Ou fredonner maman do.
Etre amoureuse à l'extréme
Et rompre sans problémes.
Se masser le corps et se poudrer le visage
Pour tenter d'effacer l'outrage de l'age.
Etre chefs de production
Ou vendeuses chez CHAMPION.
Elles assument leur condition
Avec plus ou moins de conviction.
Malgré tout vous serez toujours les mémes
C'est sans doute pour cela que l'ont vous aimes.
mardi 10 juin 2008
LES VACANCES DE MON ENFANCE
J'ai beaucoup de mal à réaliser
Que je ne reverrai plus ces gens que j ai aimé.
Le souvenir des virées sur la plage
Comme une tribu que nous étions
Peu importait nos ages
Nous faisions tout en communion.
Les tournois de volley ball sur le terrain voisin
Que nous faisions tous aprés le bain.
Les parties de boules aprés le diner
A la nuit tombante avant de se coucher.
Et la cagnotte que nous remplissions
Que chaque perdant s'obligeait a y mettre ses ronds
Pour s'offrir quand elle était pleine
Des gateaux a la créme,c'était l aubaine.
La belote chez le paysan copain
C'était un rituel quand le ciel n'était pas serein.
Et sa femme pendant ce temps la
Qui nous préparait des délicieuses merveilles ,je vous dis pas!
La nostalgie des basses marées
A se manger des huitres à peine levé
Ou à marée haute à jouer les rabatteurs amateurs
Avec des mulets qui se prenaient dans la senne comme par bonheur!.
Le cirque entre nous les gamins
Que nous avions installé pour les voisins
Qui payaient tous leurs places
Pour nous permettrent de s'offrir des glaces.
Ou sont ils passé tous ces gens?
Se souviennent-ils comme moi
De tous ces bons moments
Que nous passions chaque année au méme mois.
Que je ne reverrai plus ces gens que j ai aimé.
Le souvenir des virées sur la plage
Comme une tribu que nous étions
Peu importait nos ages
Nous faisions tout en communion.
Les tournois de volley ball sur le terrain voisin
Que nous faisions tous aprés le bain.
Les parties de boules aprés le diner
A la nuit tombante avant de se coucher.
Et la cagnotte que nous remplissions
Que chaque perdant s'obligeait a y mettre ses ronds
Pour s'offrir quand elle était pleine
Des gateaux a la créme,c'était l aubaine.
La belote chez le paysan copain
C'était un rituel quand le ciel n'était pas serein.
Et sa femme pendant ce temps la
Qui nous préparait des délicieuses merveilles ,je vous dis pas!
La nostalgie des basses marées
A se manger des huitres à peine levé
Ou à marée haute à jouer les rabatteurs amateurs
Avec des mulets qui se prenaient dans la senne comme par bonheur!.
Le cirque entre nous les gamins
Que nous avions installé pour les voisins
Qui payaient tous leurs places
Pour nous permettrent de s'offrir des glaces.
Ou sont ils passé tous ces gens?
Se souviennent-ils comme moi
De tous ces bons moments
Que nous passions chaque année au méme mois.
dimanche 1 juin 2008
LE QUAND DIRA T ON
Ce jour de 14 juillet,il grillait sa cigarette
A sa fenétre et regardait les autres faire la féte.
Ce n'était pas que ça l'amusait
Mais depuis qu'il était seul il s'habituait.
Le bonjour bonsoir des voisins
C'était son seul quotidien.
Personne ne le fréquentait
Car tout le monde s'en méfiait.
La disparition d'un petit garçon
était dans toutes les conversations
Accusant méme l homme en question
De l'avoir entérré dans le jardin de sa maison.
Personne ne pouvait imaginé
Que l'enfant retrouvé
S'était accidentellement noyé
En allant seul péché!
Conclusion le quand dirat on
Quand il vous tient c 'est pour de bon.
A sa fenétre et regardait les autres faire la féte.
Ce n'était pas que ça l'amusait
Mais depuis qu'il était seul il s'habituait.
Le bonjour bonsoir des voisins
C'était son seul quotidien.
Personne ne le fréquentait
Car tout le monde s'en méfiait.
La disparition d'un petit garçon
était dans toutes les conversations
Accusant méme l homme en question
De l'avoir entérré dans le jardin de sa maison.
Personne ne pouvait imaginé
Que l'enfant retrouvé
S'était accidentellement noyé
En allant seul péché!
Conclusion le quand dirat on
Quand il vous tient c 'est pour de bon.
vendredi 30 mai 2008
L'ECOLE DE MON ENFANCE
La pluie du mois de mai glaçait mon visage affable.
Mon béret dans une main et de l'autre mon cartable
J'avais l'insouciance de mon jeune age
De rester sous les gouttes malgré l'orage.
L'école n'était pas ma priorité premiére
Dans les rangs j'étais toujours à la traine derriére
A chahuter comme toujours avec 1 ou 2 copains
Et de me faire punir par le prof de latin.
A 16h 30 précise quand la cloche sonnait
Soit j'étais quitte pour l'étude et mes devoirs faits
Ou je trainais dans les rues
Comme un mome perdu.
En culotte courte et godillots
Il m'arrivait de prendre le métro
Curieux de voir les poinçonneurs
Qui maintenant me manquent d'ailleurs.
L'arrivée des premiers jours d'été
Coincidait avec les premiéres parties d'osselets
Puis les tournois de billes
Et la marelle pour les filles.
A 13 ans je ne me souciais guére de mon avenir
Seul comptait les vaçances à venir.
Pourtant l'école ne voulais plus de moi
Ce qui avait mis mes parents en émoi.
Quand j'y pense maintenant a bientot 60 balais
Je me dis que l'école ou j'étais
C'était pas si mal que ça
Malgré que j'aimais pas ça.
Mon béret dans une main et de l'autre mon cartable
J'avais l'insouciance de mon jeune age
De rester sous les gouttes malgré l'orage.
L'école n'était pas ma priorité premiére
Dans les rangs j'étais toujours à la traine derriére
A chahuter comme toujours avec 1 ou 2 copains
Et de me faire punir par le prof de latin.
A 16h 30 précise quand la cloche sonnait
Soit j'étais quitte pour l'étude et mes devoirs faits
Ou je trainais dans les rues
Comme un mome perdu.
En culotte courte et godillots
Il m'arrivait de prendre le métro
Curieux de voir les poinçonneurs
Qui maintenant me manquent d'ailleurs.
L'arrivée des premiers jours d'été
Coincidait avec les premiéres parties d'osselets
Puis les tournois de billes
Et la marelle pour les filles.
A 13 ans je ne me souciais guére de mon avenir
Seul comptait les vaçances à venir.
Pourtant l'école ne voulais plus de moi
Ce qui avait mis mes parents en émoi.
Quand j'y pense maintenant a bientot 60 balais
Je me dis que l'école ou j'étais
C'était pas si mal que ça
Malgré que j'aimais pas ça.
dimanche 25 mai 2008
LES FOUS DU STADE
Ils sont tous agglutinés dans le métro
A hurler des noms d'oiseaux.
Plus rien ne les arréte
Il ni à qu à voir leurs tétes.
De l'étudiant à l'employé
Aprés avoir quitté bureaux ou facultés
En costumes ou jeans serrés
Ils changent de comportement
Pour une soirée de déchainement.
Dans le stade ils sont comme fous
A se comporter comme des voyous
De banderolles faschistes
Au propos racistes.
Et à la sortie pour dégrader des voitures
Et se conduire comme des petits durs
Puis de retrouver leur femmes aimées
Et dorloter leurs nouveaux nés.
A hurler des noms d'oiseaux.
Plus rien ne les arréte
Il ni à qu à voir leurs tétes.
De l'étudiant à l'employé
Aprés avoir quitté bureaux ou facultés
En costumes ou jeans serrés
Ils changent de comportement
Pour une soirée de déchainement.
Dans le stade ils sont comme fous
A se comporter comme des voyous
De banderolles faschistes
Au propos racistes.
Et à la sortie pour dégrader des voitures
Et se conduire comme des petits durs
Puis de retrouver leur femmes aimées
Et dorloter leurs nouveaux nés.
vendredi 23 mai 2008
L' ENFANT DE LA PROSTITUEE
Il jouait dans la cour
Pendant qu'elle faisait l'amour.
Il ne voyait sa mére
Qu'avec des amants de misére.
Il occupait son temps
A attendre tout le temps
Qu elle veuille bien rentré
Aprés s'étre fait aimé.
Depuis sa naissance
Aucun pére à sa connaissance
N'était venu lui parler
L' aimer le cajoler.
Du haut de ses dix ans
Il cotoyait les passants
De la rue ménilmontant
Avec un applomb évident.
Il trainait son ennui
A dessiner ses envies
A faire des sourires
Sur un cahier pour se souvenir.
Pendant qu'elle faisait l'amour.
Il ne voyait sa mére
Qu'avec des amants de misére.
Il occupait son temps
A attendre tout le temps
Qu elle veuille bien rentré
Aprés s'étre fait aimé.
Depuis sa naissance
Aucun pére à sa connaissance
N'était venu lui parler
L' aimer le cajoler.
Du haut de ses dix ans
Il cotoyait les passants
De la rue ménilmontant
Avec un applomb évident.
Il trainait son ennui
A dessiner ses envies
A faire des sourires
Sur un cahier pour se souvenir.
dimanche 18 mai 2008
LES FILLES FACILES
En jeans moulé ou mini jupe plissée
Elle dandinent leur fessier
Dans les couloir du métro
Ou les rues de SAN FRANCISCO.
De toutes nationalités
Elles revendiquent leurs identités
Et sément la zizanie
Dans le coeur des maris.
Elles provoquent les hommes
Pour beaucoup d'argent en somme
Et balladent leurs corps dénudés
Sur les plages prés de SAINT TROPEZ.
Elles font frisonner les présidents
qui n'en demandent pas tant.
Et arrivent à leurs fins
Pour deux ou trois calins
Puis parviennent à obtenir
Un poste pour leurs avenirs.
Elle dandinent leur fessier
Dans les couloir du métro
Ou les rues de SAN FRANCISCO.
De toutes nationalités
Elles revendiquent leurs identités
Et sément la zizanie
Dans le coeur des maris.
Elles provoquent les hommes
Pour beaucoup d'argent en somme
Et balladent leurs corps dénudés
Sur les plages prés de SAINT TROPEZ.
Elles font frisonner les présidents
qui n'en demandent pas tant.
Et arrivent à leurs fins
Pour deux ou trois calins
Puis parviennent à obtenir
Un poste pour leurs avenirs.
mardi 13 mai 2008
LE PARADIS ARTIFICIEL
Leurs ames sont faites de réves
D'illusions sans tréves
A s'abimer le corps
A en redemander encore.
A offrir leur chair pour trois fois rien
Dans des endroits pas toujours sain
A des inconnus de passage
Qui profitent de leurs jeunes ages.
De piqures en poudres blanches
A snifer ou à relever leurs manches.
Ils sont dans leur monde meilleur
A oublier leur vie antérieur.
Dans leur chambre en cachette
Ou dans des lieux de fétes
Ils détruisent leur vie
A espérer le paradis.
Avant que leur compagnon de dérive
Ne décide qu il ne suive
Pour trop de mauvaises choses
Le chemin de l'overdose.
D'illusions sans tréves
A s'abimer le corps
A en redemander encore.
A offrir leur chair pour trois fois rien
Dans des endroits pas toujours sain
A des inconnus de passage
Qui profitent de leurs jeunes ages.
De piqures en poudres blanches
A snifer ou à relever leurs manches.
Ils sont dans leur monde meilleur
A oublier leur vie antérieur.
Dans leur chambre en cachette
Ou dans des lieux de fétes
Ils détruisent leur vie
A espérer le paradis.
Avant que leur compagnon de dérive
Ne décide qu il ne suive
Pour trop de mauvaises choses
Le chemin de l'overdose.
mercredi 7 mai 2008
LES AMANTS DU GRAND CERF
A l hotel du grand cerf les heures s'égrénent doucement
Dans la chambre des deux jeunes amants.
Personne ne désirait cette union
Leurs différences c'étaient la religion.
Allongés sur le lit
Ils se sont aimés toute la nuit.
Un verre posé sur la table de chevet
Le spectre de la mort rodait.
Main dans la main
Ils attendaient la fin.
Plus rien ne pouvait empécher
Leur funestre destinée.
Dans la chambre des deux jeunes amants.
Personne ne désirait cette union
Leurs différences c'étaient la religion.
Allongés sur le lit
Ils se sont aimés toute la nuit.
Un verre posé sur la table de chevet
Le spectre de la mort rodait.
Main dans la main
Ils attendaient la fin.
Plus rien ne pouvait empécher
Leur funestre destinée.
mercredi 19 mars 2008
UN SI JOLI MOIS DE MAI
La ville s'éveille sans un bruit
Aprés une nouvelle nuit de folie.
seule Dans le lointain une siréne
Se fait entendre vers les quais de seine.
Le jour à peine levé
Lassé par autant d'hostilité
Devant le décor présenté
PARIS est devenu abimé.
Les rues meurtries soignent leurs plaies
Les quidams ont les visages défaits.
Rien ne semble vrai
En ce matin de mai.
Des voitures renversées
Des vitrines brisées
C'est le spectacle proposé
Pour les touristes médusés.
Des hommes casqués et fatigués
Tiennent entre leurs mains des boucliers.
A l'horizon une brume s'éléve
C'est déja la fin de la tréve.
Aprés une nouvelle nuit de folie.
seule Dans le lointain une siréne
Se fait entendre vers les quais de seine.
Le jour à peine levé
Lassé par autant d'hostilité
Devant le décor présenté
PARIS est devenu abimé.
Les rues meurtries soignent leurs plaies
Les quidams ont les visages défaits.
Rien ne semble vrai
En ce matin de mai.
Des voitures renversées
Des vitrines brisées
C'est le spectacle proposé
Pour les touristes médusés.
Des hommes casqués et fatigués
Tiennent entre leurs mains des boucliers.
A l'horizon une brume s'éléve
C'est déja la fin de la tréve.
dimanche 9 mars 2008
DANS LE METRO
Sur le quai les gens s'impatientent
Trop longue est l attente
Quand le métro entre en gare
Tout le monde bougeonne contre le retard.
A l 'intérieur il y a celui qui se tient à la barre
Mal réveillé parce que couché trop tard
Et qui baille sans mettre sa main
Ce qui incommode son proche voisin.
La jeune femme assise qui se maquille
En ouvrant devant sa glace ses deux grosses billes
Et qui risque à tout moment d'y mettre son pinceau
Au moindre soubresaut du métro.
Un jeune homme au sac dans son dos
Qui se dandine au son de sa radio
Et qui empéche celui de derriére
De lire son livre de priére.
Une vieille dame debout qui espére sans trop y croire
Qu'une personne se lévera pour qu'elle puisse s'assoir.
Une femme à lunettes qui rouspéte dans un coin
Auprés d'un collégue qui rougit par tout son tintouin.
Le manouche au violon qui nous casse la téte
Plutot que de nous mettre le coeur en féte.
Et le conducteur qui n'arréte pas de nous répéter
Que la rame qui nous précéde est bloquée
Et que nous serons obligé de patienter
Encore cinq minutes avant d'arrivée.
Trop longue est l attente
Quand le métro entre en gare
Tout le monde bougeonne contre le retard.
A l 'intérieur il y a celui qui se tient à la barre
Mal réveillé parce que couché trop tard
Et qui baille sans mettre sa main
Ce qui incommode son proche voisin.
La jeune femme assise qui se maquille
En ouvrant devant sa glace ses deux grosses billes
Et qui risque à tout moment d'y mettre son pinceau
Au moindre soubresaut du métro.
Un jeune homme au sac dans son dos
Qui se dandine au son de sa radio
Et qui empéche celui de derriére
De lire son livre de priére.
Une vieille dame debout qui espére sans trop y croire
Qu'une personne se lévera pour qu'elle puisse s'assoir.
Une femme à lunettes qui rouspéte dans un coin
Auprés d'un collégue qui rougit par tout son tintouin.
Le manouche au violon qui nous casse la téte
Plutot que de nous mettre le coeur en féte.
Et le conducteur qui n'arréte pas de nous répéter
Que la rame qui nous précéde est bloquée
Et que nous serons obligé de patienter
Encore cinq minutes avant d'arrivée.
dimanche 24 février 2008
ONT OUBLIENT PAS...
Il y a des moments ou un deuil nous frappe
E t que la vie à cet instant nous échappe.
Il y a des souvenirs qui nous envahissent
Des remords qui nous trahissent.
Le visage d'un étre aimé
Devenu flou avec le temps
Pas au point de l'oublié
Mais beaucoup moins présent.
Un endroit qui revient dans nos mémoires
Qui permet de ne pas tout à fait y croire.
Des objets à la porté de mains
Qui ravivent notre chagrin.
Des rires qui remplissaient la maison
Absents depuis les disparitions.
Un sourire qui illuminait un visage
Plus la pour égayer notre entourage.
Des photos au fond d'un tiroir
Que l'ont ressort pour voir un soir
Les amis,les parents
Qui partageaient nos moments
Bons ou mauvais
Qu'avec le temps tout effaçait.
Des insomnies qui ternissent la vie
Des souvenirs qui s'estompent petit à petit
Mais surement pas jusqu'à l'oubli.
De la haut ils sont tous réunis
A s'inquiéter de nos faiblesses
A se féliciter pour nos richesses
A espérer que l'ont réussissent nos vies.
Ils assistent à notre défilé
A la méme période de chaque année
Devant des tombes bien alignées
Qui attendent des fleurs
Et nos coeurs en pleurs.
Pour nous la vie continue
Face à nos destins si imprévus.
E t que la vie à cet instant nous échappe.
Il y a des souvenirs qui nous envahissent
Des remords qui nous trahissent.
Le visage d'un étre aimé
Devenu flou avec le temps
Pas au point de l'oublié
Mais beaucoup moins présent.
Un endroit qui revient dans nos mémoires
Qui permet de ne pas tout à fait y croire.
Des objets à la porté de mains
Qui ravivent notre chagrin.
Des rires qui remplissaient la maison
Absents depuis les disparitions.
Un sourire qui illuminait un visage
Plus la pour égayer notre entourage.
Des photos au fond d'un tiroir
Que l'ont ressort pour voir un soir
Les amis,les parents
Qui partageaient nos moments
Bons ou mauvais
Qu'avec le temps tout effaçait.
Des insomnies qui ternissent la vie
Des souvenirs qui s'estompent petit à petit
Mais surement pas jusqu'à l'oubli.
De la haut ils sont tous réunis
A s'inquiéter de nos faiblesses
A se féliciter pour nos richesses
A espérer que l'ont réussissent nos vies.
Ils assistent à notre défilé
A la méme période de chaque année
Devant des tombes bien alignées
Qui attendent des fleurs
Et nos coeurs en pleurs.
Pour nous la vie continue
Face à nos destins si imprévus.
mardi 19 février 2008
APRES LA TEMPETE...
Le jour se levait sur PARIS et sa région
La météo avait annonçé rien de bon.
Les nuages circulaient déja trés tot
A la vitesse d'un cheval au galop.
Les bambous soudainement se pliérent sous le vent
Agitant leurs feuilles violemment.
La pluie se mit à tomber intensément
Sur les fleurs en les pulvérisant.
La tempéte dura jusqu'à la mi journée
Avant que le vent ce soit complétement calmé
Et que la pluie ce soit totalement arrété.
A l'horizon dans le ciel un trait séparait le gris du bleu
Le soleil commençait à darder ses rayons lumineux.
La nature était devenue subitement silencieuse .
Les oiseaux commençaient leur récolte minutieuse
A chercher des vers dans la terre boueuse.
Un chat discret jusque là avait repéré du fond du jardin
Un merleau trop occupé pour s'inquiété de son destin.
En haut la mésange,aprés avoir traversé son chemin de croix
Etait toute contente que la nature est reprise ses droits.
La météo avait annonçé rien de bon.
Les nuages circulaient déja trés tot
A la vitesse d'un cheval au galop.
Les bambous soudainement se pliérent sous le vent
Agitant leurs feuilles violemment.
La pluie se mit à tomber intensément
Sur les fleurs en les pulvérisant.
La tempéte dura jusqu'à la mi journée
Avant que le vent ce soit complétement calmé
Et que la pluie ce soit totalement arrété.
A l'horizon dans le ciel un trait séparait le gris du bleu
Le soleil commençait à darder ses rayons lumineux.
La nature était devenue subitement silencieuse .
Les oiseaux commençaient leur récolte minutieuse
A chercher des vers dans la terre boueuse.
Un chat discret jusque là avait repéré du fond du jardin
Un merleau trop occupé pour s'inquiété de son destin.
En haut la mésange,aprés avoir traversé son chemin de croix
Etait toute contente que la nature est reprise ses droits.
vendredi 15 février 2008
BOURGEOISE SEPARATION
Dans la grande salle à manger
Tout le monde était installé.
Le pére au bout de la table
Avait l'air de quelqu'un que l'on accable.
La mére à coté de lui
Etait miné par les ennuis.
Les enfants se lançaient des boulettes de pain
Sans méme se douter ce qui les attendaient demain
Car ça sera le pensionnat pour les deux gamins.
Le grand pére n'avait pas la téte des jours de fétes
Car il savait que bientot il ira en maison de retraite.
La séparation était inévitable
L'ambiance devenait détestable
La nouvelle avait fait grand bruit
Dans la famille des bourgeois nantis.
Tout le monde était installé.
Le pére au bout de la table
Avait l'air de quelqu'un que l'on accable.
La mére à coté de lui
Etait miné par les ennuis.
Les enfants se lançaient des boulettes de pain
Sans méme se douter ce qui les attendaient demain
Car ça sera le pensionnat pour les deux gamins.
Le grand pére n'avait pas la téte des jours de fétes
Car il savait que bientot il ira en maison de retraite.
La séparation était inévitable
L'ambiance devenait détestable
La nouvelle avait fait grand bruit
Dans la famille des bourgeois nantis.
mardi 5 février 2008
LE FILS PREFERE
Il habitait à PANTIN
Dans un meublé vu sur jardin
Sa mére 2 étages plus bas
Vivait là depuis 30 ans déja.
Il allait la voir tous les matins
Lui apporter des croissants et du pain
C'était son moment de détente et de calins
Aprés le temps passé dans des endroits malsains.
De lui elle ne savait pas bien
Du trottoir elle ne se doutait de rien
Du travail de nuit
Il ne lui avait pas tout dit.
Car sa vie c'était d'étre travesti
Dans une boite jusqu'à minuit
Et de tapiner jusqu'au matin
Sur le boulevard SAINT GERMAIN.
Dans un meublé vu sur jardin
Sa mére 2 étages plus bas
Vivait là depuis 30 ans déja.
Il allait la voir tous les matins
Lui apporter des croissants et du pain
C'était son moment de détente et de calins
Aprés le temps passé dans des endroits malsains.
De lui elle ne savait pas bien
Du trottoir elle ne se doutait de rien
Du travail de nuit
Il ne lui avait pas tout dit.
Car sa vie c'était d'étre travesti
Dans une boite jusqu'à minuit
Et de tapiner jusqu'au matin
Sur le boulevard SAINT GERMAIN.
dimanche 3 février 2008
LA PASSION AMOUREUSE
Avoir envie de se revoir
Quand l heure de se quitter est arrivée
Avec le fol et délicieux espoir
De te retrouver comme je t'avais laissé.
Rien pourtant ne laissait entrevoir
Cette passion qui nous étreint aujourd'hui.
Une idylle qui commença un soir
Et qui continue jusqu'à la folie.
Que deviendrais je sans toi?
Moi qui pense à nos émois
Qui peint sur la toile mon ennui
De ne pas t'avoir toute la nuit.
Quand l heure de se quitter est arrivée
Avec le fol et délicieux espoir
De te retrouver comme je t'avais laissé.
Rien pourtant ne laissait entrevoir
Cette passion qui nous étreint aujourd'hui.
Une idylle qui commença un soir
Et qui continue jusqu'à la folie.
Que deviendrais je sans toi?
Moi qui pense à nos émois
Qui peint sur la toile mon ennui
De ne pas t'avoir toute la nuit.
dimanche 27 janvier 2008
DEUX AMIS POUR UNE FEMME
Nous étions deux amis
Que l'amour avait détruit
Nous caréssions la meme idée
D'aimer et etre aimer
De la méme femme si convoitée.
Nous pensions que notre amitié
Resterait sans etre abimé
Depuis vingt ans passé
Personne nous avait séparé.
Nous l'avions rencontré
Ensemble lors d'un diner
entre ancien éléve de lycée.
Chacun de notre coté
Nous la revimes sans en parler
Toi tu ignorais notre passion
Moi je ne savais rien de votre liaison.
Tu la croyais à toi
Je la voyais avec moi.
Sa photo sur le piano
Trahissait notre amour nouveau.
Notre histoire à trois
Ne pouvait pas durer sans choix
Une lettre un matin
Nous parvins à chacun.
Elle avait décidé de mettre un frein
A nos relations sans fins.
Souvent depuis ce temps
Je me proméne en imaginant
Nous trois sur le chemin
Avançant face à nos destins.
Que l'amour avait détruit
Nous caréssions la meme idée
D'aimer et etre aimer
De la méme femme si convoitée.
Nous pensions que notre amitié
Resterait sans etre abimé
Depuis vingt ans passé
Personne nous avait séparé.
Nous l'avions rencontré
Ensemble lors d'un diner
entre ancien éléve de lycée.
Chacun de notre coté
Nous la revimes sans en parler
Toi tu ignorais notre passion
Moi je ne savais rien de votre liaison.
Tu la croyais à toi
Je la voyais avec moi.
Sa photo sur le piano
Trahissait notre amour nouveau.
Notre histoire à trois
Ne pouvait pas durer sans choix
Une lettre un matin
Nous parvins à chacun.
Elle avait décidé de mettre un frein
A nos relations sans fins.
Souvent depuis ce temps
Je me proméne en imaginant
Nous trois sur le chemin
Avançant face à nos destins.
vendredi 25 janvier 2008
LA DAME DU QUARTIER
Elle errait toutes les matinées
Dans les rues de son quartier
A fouiller dans les poubelles
A essayer de trouver l'essentiel.
Elle avancait à petit pas
En tenant à bout de bras son cabas
Rempli de légumes et de fruits à moitié pourris
Qu elle avait ramassé à la hate sur le marché fini.
La mendicité c'était pas fait pour elle
Elle acceptait seulement le réconfort de la RITOURNELLE
Le café des amis fidéles
La ou elle chantait tous les midis
Pour se faire du blé comme elle dit.
Puis aprés elle trainait à la croix rouge prés de chez elle
Pour trouver un peu de vétements et se faire belle
Et essayer de plaire pour une vie nouvelle.
Elle se plaignait de rien
Sauf d'un peu de calins.
Le peu de confort qu'elle se procurait
Lui donnait l'impression d'exister pour de vrai.
Dans les rues de son quartier
A fouiller dans les poubelles
A essayer de trouver l'essentiel.
Elle avancait à petit pas
En tenant à bout de bras son cabas
Rempli de légumes et de fruits à moitié pourris
Qu elle avait ramassé à la hate sur le marché fini.
La mendicité c'était pas fait pour elle
Elle acceptait seulement le réconfort de la RITOURNELLE
Le café des amis fidéles
La ou elle chantait tous les midis
Pour se faire du blé comme elle dit.
Puis aprés elle trainait à la croix rouge prés de chez elle
Pour trouver un peu de vétements et se faire belle
Et essayer de plaire pour une vie nouvelle.
Elle se plaignait de rien
Sauf d'un peu de calins.
Le peu de confort qu'elle se procurait
Lui donnait l'impression d'exister pour de vrai.
mardi 22 janvier 2008
L' EXECUTION
5 heures du matin dans la cour des condamnés
Ils étaient tous la alignés
A attendre les yeux bandés et poings liés
A étre bientot fusillé.
Ils avaient espérer jusqu'au bout
Une grace à genoux
Devant un président
Qui voulait la mort de tous les trafiquants.
Tous les fusils pointés vers eux
Etaient préts à faire feux.
Le bruit des balles crépitérent soudainement
Laissant place à un silence pesant.
Derriére un nuage de poussiére
gisaient les corps sur la terre.
Ils étaient tous la alignés
A attendre les yeux bandés et poings liés
A étre bientot fusillé.
Ils avaient espérer jusqu'au bout
Une grace à genoux
Devant un président
Qui voulait la mort de tous les trafiquants.
Tous les fusils pointés vers eux
Etaient préts à faire feux.
Le bruit des balles crépitérent soudainement
Laissant place à un silence pesant.
Derriére un nuage de poussiére
gisaient les corps sur la terre.
dimanche 20 janvier 2008
SEUL
Il était parti par un doux matin d'automne pluvieux
Comme à son habitude s'acheter des gauloises bleues.
Son imperméable gris sur le dos
Son visage des sombres jours plutot palot.
Tout le monde le connaissait dans le quartier
A trainer sa rancoeur et sa pitié
Depuis son licenciement de l'été dernier
Qu'il n'avait comme à chacun eu du mal à accepter.
Le jour ou il disparut des rues
Personne ne s'étonna de ne plus l'avoir revu.
Son corps recroquevillé fut découvert 3 semaines plus tard
Dans un endroit d'un bois à l'écart des regards.
Comme à son habitude s'acheter des gauloises bleues.
Son imperméable gris sur le dos
Son visage des sombres jours plutot palot.
Tout le monde le connaissait dans le quartier
A trainer sa rancoeur et sa pitié
Depuis son licenciement de l'été dernier
Qu'il n'avait comme à chacun eu du mal à accepter.
Le jour ou il disparut des rues
Personne ne s'étonna de ne plus l'avoir revu.
Son corps recroquevillé fut découvert 3 semaines plus tard
Dans un endroit d'un bois à l'écart des regards.
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